Sud QUOTIDIEN : LA UNE DE CE MARDI
APPEL AUX RETROUVAILLES LIBÉRALES : Le Pds et cie «douchent» Pape Diop
L’appel aux retrouvailles de la famille libérale, en perspective de 2017, lancé par Pape Diop, le patron de la Convergence démocratique Bokk Gis Gis (Cd/BGG), ne suscite pas le grand enthousiasme, ni la grande adhésion de la part de ses frères libéraux. Interpelés sur le sujet, des responsables du Parti démocratique sénégalais (Pds), formation mère des libéraux, ainsi que de certains de ses segments, ont indiqué que cette invite de Pape Diop est une pure « fantaisie politique » voire un non-événement. A l’instar d’Aliou sow, ancien ministre sous Wade, et autre Babacar Gaye, porte-parole du Pds.
168 BATIMENTSMENAÇANT RUINE ENREGISTRES : L’ex-siège de la Rts, Médina et Parcelles Assainies… les poudrières
Revenant sur les bâtiments qui menacent de s’écrouler recensés par la direction de la protection civile, dame Mbengue joint au téléphone, hier mardi 2 mars, signale qu’en dehors de l’ancienne maison de la rts, d’un immeuble à la Médina, la plupart des bâtiments menaçant ruines sont localisés aux Parcelles assainies de dakar.
VIVRE A LA SUEUR DE SON FRONT, BONNE GOUVERNANCE FONCIERE : Mgr Jean P. Bassène sermonne Etat et populations
la Journée Caritas est célébrée traditionnellement au Sénégal le 2ème dimanche de Carême. Pour cette présente édition, la communauté catholique a participé activement à cette recommandation des évêques, le dimanche 1er mars dernier, dans toutes les paroisses du pays. A cette occasion, Mgr Jean Pierre bassène, président de Caritas Sénégal, a invité les fidèles à vivre à la sueur de leur front. Quant aux décideurs, il leu a demandé de mettre les terres fertiles et bien sécurisées à la disposition des populations.
30 EDITIONS DE CAN. ET APRES ! SÉLECTIONNEURS, COACHS, FÉTICHEURS, MERCENAIRES OU FANTOMES : L’Afrique du foot adore les «sorciers blancs»
De simples hommes, ils sont passés pour certains, à «sorciers», voire magiciens des fois. Sur les terres de foot du continent, on n’a pas hésité à leur coller à tous, ces surnoms grâce à leur science, mais aussi et souvent, pour avoir gagné une Coupe d’Afrique des nations. Depuis sa première édition qui remonte à 1957, la Can semble avoir envoûté la jeunesse africaine et les politiques du continent ; à commencer par les chefs d’Etat dont certains comme le roi Hassan II du Maroc, n’ont pas hésité à aller chercher des entraineurs d’autres continents pour leur ramener à la maison, la petite bouteille en or. De Blagoje Vidinic en 1974, en passant par Just Fontaine, jusqu’ à Hervé Renard, récent vainqueur de la Can 2015, avec la Côte d’Ivoire, les entraineurs venus d’Europe surtout ont poussé le football d’un continent qui ne manquait pourtant pas de génie, vers les sommets. Mais, à quels prix pour des pays souvent sans grands moyens au plan sportif ?