VIDEOLA TYRANNIE DU PER DIEM
Si la de la CEDEAO a habitué des journalistes aux per diems, les Cap-Verdiens seraient ceux qui refusent cette grafifciation de l'institution régionale. Le journaliste Saliou Traoré se demande pourquoi tous les journalistes ne peuvent faire autant
Si le per diem n’est pas une pratique nouvelle dans la presse, force est de reconnaitre que le phénomène a pris de l’ampleur. Et incontestablement, cette pratique est une corruption qu’il faut bannir. Peu importe si la désigne comme frais de transport.
Dans son dernier panel de Cas d’Ecole, le Comité pour l’Observation des règles d’éthique et de déontologie (CORED) a posé ce débat qui a permis aux journalistes de réfléchir sur cette question en vue de trouver des solutions.
Des différents débats, il est ressorti que la précarité ne saurait expliquer l’acceptation des per diem. Par conséquent, il faut sensibiliser les acteurs sur la nécessité d’éradiquer le mal. En marge de cette rencontre Saliou Traoré, journaliste à EFE et membre du CORED a livré son opinion à SenePlus.
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