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LES LÉGISLATIVES, UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT POUR LE POUVOIR ET L’OPPOSITION

Le scrutin du 31 juillet prochain sera très disputé entre l’opposition et le pouvoir en place. L’avis est du Professeur d’histoire à l’université Columbia aux États Unis d’Amérique, Mamadou Diouf

Nando Cabral GOMIS  |   Publication 28/03/2022

Selon le professeur Mamadou Diouf, le Sénégal va vers des élections législatives très discutées entre l’opposition et le pouvoir en place. Invité du jour de l’émission Objection de la radio Sudfm hier, dimanche 27 mars 2022, l’enseignant d’histoire à l’université Columbia aux États unis d’Amérique (U.S.A) a indiqué qu’une cohabitation politique à l’issue de ces élections pourrait être une voie salutaire pour l’application des conclusions des Assises nationales.

Les Législatives du 31 juillet prochain seront très discutées entre l’opposition et le pouvoir en place. L’avis est du Professeur d’histoire à l’université Columbia aux États Unis d’Amérique (U.S.A), Mamadou Diouf. Interpellé hier, dimanche 27 mars lors de son passage dans l’émission Objection par notre confrère Baye Oumar Guèye, sur les enjeux de ces prochaines élections devant permettre le renouvellement du mandat des députés, le Professeur d’histoire à l’université Columbia aux États Unis d’Amérique soutient qu’«elles seront une question de vie ou de mort pour les deux groupes». Poursuivant son propos, l’enseignant chercheur qui confirme la nouvelle configuration de la classe politique engendrée par les résultats des Locales du 23 janvier dernier convoque trois raisons à titre d’argumentaires. La première raison porte, selon lui, sur «  l’énigme du troisième mandat » qui « est en train d’avoir un impact considérable sur la vie politique sénégalaise  ».

Et d’affirmer  : «  C’est tout à fait clair que les résultats des élections locales n’expriment pas seulement des choix de candidats qui étaient en liste mais ils expriment aussi une réaction contre le troisième mandat. Le signal qui a été donné est un signal qui semble dire clairement qu’il ne faudrait pas que le président ait un troisième mandat ». « Mais en gardant le silence, il (le Président-ndlr) accentue la crise », a tenu à faire remarquer le professeur Mamadou Diouf. Avant de préciser : « La deuxième chose importante, on en a parlé, il y a longtemps. Si vous vous rappelez bien, je disais que ce que j’ai toujours trouvé extraordinaire, c’est que le président ait fait tout une campagne électorale pour être réélu, et qu’il n’ait jamais dit qu’il allait supprimer le poste de Premier ministre. Et dès qu’il a été réélu, il a supprimé ce poste de Premier ministre. Et ce, à quoi on assiste depuis quelques années, c’est qu’il n’a pas obtenu ce qu’il voulait par cette suppression. Il est incapable… et ça, ça va être un élément dans ce qui va se passer pour les élections législatives ».

Dans la foulée, l’enseignant chercheur fera savoir  : «  La troisième chose, c’est qu’aujourd’hui l’opposition sait qu’elle peut gagner les élections législatives et imposer au président Sall une cohabitation et s’il y a cohabitation, il ne peut plus se représenter». Interpellé sur les enjeux de cette cohabitation politique pour la démocratie sénégalaise, le professeur Mamadou Diouf estime que cela pourrait être une voie salutaire pour l’application des conclusions des Assises nationales. « Le Sénégal a un atout très important. S’il y a une cohabitation, une majorité de l’opposition à l’Assemblée nationale, elle peut réviser et ramener les conclusions des Assises nationales qui sont consensuelles. La majorité des Sénégalais veut ça, c’est ça le basculement qui peut arriver. Autrement dit, une cohabitation peut désormais aider à réviser de manière approfondie le régime politique sénégalais », renseigne-t-il.

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