«TEODORO OBIANG NGUEMA, LE DERNIER ESPOIR D’UN CONTINENT»
UN HOMMAGE A «L’ENGAGEMENT ET AU COURAGE» DU PRÉSIDENT EQUATO-GUINÉEN
Un nouveau livre sera bientôt sur le marché. L’ouvrage est intitulé «Téodoro Obiang Nguéma: le dernier espoir d’un contient». Il porte l’empreinte de l’analyste des phénomènes sociopolitiques contemporains, Mohamed Kouakou Nda, et le philosophe et journaliste, Mohamed El Amine Thioune.
Les co-auteurs ont organisé, samedi, une conférence de presse pour présenter leur nouvelle œuvre littéraire. «L’ouvrage vise à rendre un hommage mérité au président de Guinée Equatoriale à la foi, à l’engagement et au courage sans faille du chef de l’Etat, considéré aujourd’hui comme l’un des pays à fort taux de croissance économique et de bonne gouvernance. Nous entendons restituer les lettres de noblesse et les ressorts d’action du président Obiang Nguéma qui pousse à l’accélération du rythme des changements politiques, économiques, sociaux et culturels en cours depuis son avènement au pouvoir par des actions concrètes de développement national et de bien-être continental», soutiennent-ils.
Et de poursuivre sur la lancée de la justification et surtout de la pertinence du choix du président équato-guinéen. «La Guinée Equatoriale sort de l’ordinaire en Afrique.
Avec une population de près d’1 million d’habitants répartie sur un espace réduit de 28000 km carré, ce bout de pays semble être un «paradoxe» face à des géants au plan démographique comme le Nigéria qui compte plus de 150 millions d’habitants, l’Angola qui fait plus d’1,2 million de km carré, le Mali ou la Mauritanie dans la région ouest-africaine qui font chacun plus de d’1.000.000 km carré».
Mais, devant la petitesse de ses mensurations géographiques et démographiques, affirment-ils, «la volonté de puissance de ses habitants, principalement de ses dirigeants de la trempe, du président Nguéma, a sorti de l’ombre et de l’ornière le pays que maints observateurs ont considéré comme un accident de l’histoire.
Il incarne le dernier espoir dans ce combat pour la dignité africaine que l’élite intellectuelle et politique du continent doit immortaliser».