GRAND-PLACE - LA UNE DE CE MERCREDI

FACE A L’OFFENSIVE DU PS ET DE REWMI : L’Apr aphone ?
- Macky obligé d’aller seul au charbon
- Mimi, «réserviste» au front
- Au lieu d’agir les «apéristes» ne font que réagir
- En dehors des ripostes sporadiques de jeunes engagés, c’est le désert
- Abdoulaye Khouma : «Que ceux qui ont des responsabilités mouillent le maillot marron beige»
- Nourou Niang : «les apéristes sont soit peureux soit non percutants»
DEESSE MAJOR RAPPEUSE : «J’ai été femme de ménage»
De son vrai nom Ramatoulaye Diallo, Déesse Major, évolue dans la musique, plus particulièrement dans le Hip-hop. Etant l’une des rares filles à avoir opté pour le rap, Déesse Major entretient de bonnes relations avec ses paires. Son style, très osé, a facilité sa place dans le milieu. C’est d’ailleurs sa marque de reconnaissance. A travers ses vidéos clips et apparitions sur scène, on croirait avoir à faire à une jeune fille sadique et sans éducation et la côtoyer peut faire basculer cette idée car cet artiste est une femme très pieuse. Mieux, elle a vécu une enfance bien mouvementée. De femme de ménage à chanteuse en passant par commerçante, son parcours renferme des souvenirs pas très roses. Habillée d’une longue robe blanche, qui traduit la pureté de son coeur de femme, et une mini veste rose, assortis à ses jolis hauts talons aux bouts pointus, Ramatoulaye Diallo, disciple de Baye Niasse, a reçu chaleureusement l’équipe deGrand Place venue à sa rencontre pour s’enquérir de ses nouvelles. L’entretien s’est déroulé dans son somptueux salon aux fauteuils en cuir orange et noir. En sus, de jolies vaisselles rangées dans des placards en bois Djibouti teinté en noir, une moquette marron aux dessins beiges font partie du décor. Déesse Major se livre.