UADB, LES ETUDIANTS EN GREVE ILLIMITEE
La tension ne baisse pas à l’Université Alioune Diop de Bambey (Uadb). Pour demander la prise en compte de leur plateforme revendicative, les étudiants de l’Uadb, qui ont organisé une marche pacifique la semaine dernière, sont sortis hier dans la rue.

La tension ne baisse pas à l’Université Alioune Diop de Bambey (Uadb). Pour demander la prise en compte de leur plateforme revendicative, les étudiants de l’Uadb, qui ont organisé une marche pacifique la semaine dernière, sont sortis hier dans la rue. Et les altercations entre étudiants et Forces de l’ordre ont été chaudes : cinq pensionnaires de l’université, les étudiants, ont pris en otage deux policiers. Plus tard, tous seront libérés.
En attendant, la Coordination des étudiants de l’Uadb a décrété une cessation des activités pédagogiques jusqu’à nouvel ordre. Alassane Ndour, président de la structure, explique : «Nous demandons le rétablissement de la coordination et exigeons la prise en charge des victimes d’intoxication alimentaire. Nous voulons que les responsabilités soient situées et qu’il y ait des sanctions par rapport à cela.» Malgré cet appel, c’est toujours le statu quo. «Pour le moment, tout est rentré dans l’ordre, mais nous n’avons pas été contactés par les autorités internes de l’université.»La tension ne baisse pas à l’Université Alioune Diop de Bambey (Uadb). Pour demander la prise en compte de leur plateforme revendicative, les étudiants de l’Uadb, qui ont organisé une marche pacifique la semaine dernière, sont sortis hier dans la rue. Et les altercations entre étudiants et Forces de l’ordre ont été chaudes : cinq pensionnaires de l’université, les étudiants, ont pris en otage deux policiers. Plus tard, tous seront libérés.
En attendant, la Coordination des étudiants de l’Uadb a décrété une cessation des activités pédagogiques jusqu’à nouvel ordre. Alassane Ndour, président de la structure, explique : «Nous demandons le rétablissement de la coordination et exigeons la prise en charge des victimes d’intoxication alimentaire. Nous voulons que les responsabilités soient situées et qu’il y ait des sanctions par rapport à cela.» Malgré cet appel, c’est toujours le statu quo. «Pour le moment, tout est rentré dans l’ordre, mais nous n’avons pas été contactés par les autorités internes de l’université.»