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20 mai 2024
LIGUE 1: 7EME JOURNÉE, STADE DE MBOUR / MBOUR PETITE COTE
La septième journée du championnat sénégalais démarre aujourd’hui avec la rencontre entre AS Pikine et Cneps Excellence au stade Alassane Djigo de Pikine. Demain à Mbour, dans le derby de la Petite Côte, Stade de Mbour tentera de conserver les points
La septième journée du championnat sénégalais démarre aujourd’hui avec la rencontre entre AS Pikine et Cneps Excellence au stade Alassane Djigo de Pikine. Demain à Mbour, dans le derby de la Petite Côte, Stade de Mbour tentera de conserver les points de la victoire
AS PIKINE VISE LE PODIUM
Pour le compte de la sixième journée, As Pikine reçoit Cneps Excellence cet après-midi au stade Alassane Djigo. Accrochée par Casa Sport (0-0) lors de la précédente journée, l’équipe de la banlieue (5ème avec 9 points) compte frapper un grand coup pour se hisser sur le podium. Même si elle ne respire pas la grande forme (12ème, 6 points), l’équipe de Thiès compte tout faire pour ramener les points de la victoire de l’extérieur.
Demain, au stade la Tanière Bruno Metsu, Stade de Mbour fera face à Mbour Petite Côte. Une rencontre importante pour les Stadistes qui ambitionnent de jouer les premiers rôles cette année dans le championnat. Vainqueurs face à Niary Tally (2-1) dimanche passé, les joueurs du Stade de Mbour voudront obtenir la victoire face à leur voisin qui peine à enchaîner les résultats positifs.
DIAMBARS COMPTE REPRENDRE SON FAUTEUIL
Au stade Alboury Ndiaye, l’Asac Ndiambour accueille Diambars de Saly. Accrochés par Teungueth lors de la dernière journée, les académiciens de Saly (2ème, 11 pts) tenteront de prendre la première place du podium au terme de cette confrontation. A domicile, l’équipe de Louga essayera de garder les trois points de la victoire. Au stade Alassane Djigo, Dakar Sacré-Cœur va se mesurer au Casa Sport. Dans l’autre rencontre, Niary Tally va faire le déplacement à Deni Biram Ndao pour défier Génération Foot. Après avoir limogé leur entraîneur Pape Thiaw, les Galactiques ont l’obligation de ramener un résultat positif.
De leur côté, les Grenats (7ème, 8 pts) vont tenter de se rapprocher du podium à l’issue de cette partie.
En raison des compétitions africaines (Caf et Ligue des Champions), les rencontres entre Teungueth /AS Douanes et Jaraaf / US Gorée ont été reportées à une date ultérieure.
LA SOCIETE CIVILE INVITE LES PARTIES A LA RETENUE
Les organisations de la société civile sont profondément consternées par les événements liés à l’affaire opposant le leader de Pastef, Ousmane Sonko et la masseuse de l’institut «Sweet Beauté», Adji Sarr
Les événements survenus dans le cadre de l’affaire Adjji Sarr, du nom de cette jeune masseuse qui accuse Ousmane Sonko de viols et de menaces de mort, continuent de susciter de vives indignations au sein de l’opinion.
Préoccupés par la situation, les organisations de Société Civile comme Afrikajom, Osidea, la Ligue Sénégalaise des Droits Humains (Lsdh), le Cadre Unitaire du Sénégal (Cus), l’Ong 3D, la Raddho, le Réseau Siggil Jigeen, AfricTivistes, le Repsfeco et le Gradec se sont émus de la tournure de cette affaire qui est à l’origine de la violence notée le 09 février dernier. Pour préserver la paix sociale, ces organisations invitent les différentes parties à faire preuve de plus de retenue et de courtoisie.
Les organisations de la Société Civile comme Afrikajom, Osidea, la Lsdh, le Cus, l’Ong 3D, la Raddho, le Réseau Siggil Jigeen, AfricTivistes, le Repsfeco et le Gradec sont profondément consternées par les événements liés à l’affaire opposant le leader de Pastef, Ousmane Sonko et la masseuse de l’institut «Sweet Beauté», Adji Sarr.
Dans communiqué parvenu hier à la rédaction, elles dénoncent avec la dernière l’utilisation tendancieuse des faits supposés comme étant des viols ainsi que les actes d’intimidation qui sont à l’origine des événements du 09 février et la violence notée lors de cette même journée.
Consciente de la responsabilité des acteurs politiques et des autorités étatiques par rapport à cette affaire, les membres de la société civile les invitent à faire preuve de plus de retenue et de courtoisie dans leurs déclarations, afin de préserver la paix sociale. «Nous sommes convaincus que les acteurs politiques et les autorités étatiques doivent être soucieux de préserver les acquis démocratiques, fruits de longues années de lutte et de sacrifices des aînés, de garantir la stabilité du pays, de respecter l’Etat de Droit et l’indépendance de la justice», ajoutent-ils.
La Société Civile estime également que la présomption d’innocence doit être respectée ainsi que le respect des droits humains dans toute procédure judiciaire entre différentes parties prenantes, dans le cadre d’une action civile. «Et au regard des analyses des derniers événements, nous constatons une crise de confiance profonde des citoyens à l’égard des institutions», s’indignent les organisations de la Société Civile. Elles déplorent dans la même veine la dégradation continue des rapports entre le pouvoir et l’opposition. «Nous invitons les responsables des partis politiques à appeler leurs militants et surtout la jeunesse à faire preuve de responsabilité citoyenne et de respect des biens publics», indiquent Alioune Tine et Cie. Ils appellent aussi à la responsabilité des différentes parties prenantes afin d’éviter d’engager l’espace politique dans des tensions insoutenables en cette période de pandémie. Ils n’ont pas manqué d’appeler les Sénégalais à respecter la présomption d’innocence de tout individu interpellé dans le cadre d’une procédure judiciaire. Pour eux, les forces de l’ordre doivent faire preuve de plus de professionnalisme et de responsabilité dans l’encadrement des manifestations afin d’éviter les dérapages.
La population doit aussi s’abstenir, de l’avis de la Société Civile, de diffuser sur les réseaux sociaux des images, textes et vidéos, incitant à la violence et à la haine car les conséquences de tels actes sont le plus souvent irréversibles.
265 NOUVEAUX CAS ET 6 DÉCÈS ANNONCÉS
Le Sénégal a enregistré depuis le 2 mars, date d’apparition de la maladie dans le pays, 30.641 cas positifs de Covid-19 dont 25.162 guéris.
Dakar, 13 fév (APS) – Au total, 265 nouvelles contaminations de coronavirus et 6 décès ont été recensés au cours des dernières 24 heures au Sénégal, a annoncé, samedi, le ministère de la Santé et de l’Action sociale.
Ces nouvelles infections proviennent de tests virologiques réalisés sur un échantillon de 2.287 personnes, ce qui représente un taux de positivité de près de 12 %, a indiqué le directeur de la Prévention, le docteur El Hadji Mamadou Ndiaye.
Faisant le point quotidien sur la situation de l’épidémie, le porte-parole du ministère de la Santé a précisé que 93 parmi les nouveaux cas de contamination étaient suivis par les services sanitaires, les 172 étant issus de la transmission communautaires localisés à différents endroits du pays.
Il a dans le même temps officialisé le décès de 6 patients et la guérison de 272 autres alors que 61 malades sont dans un état grave.
Le Sénégal a enregistré depuis le 2 mars, date d’apparition de la maladie dans le pays, 30.641 cas positifs de Covid-19 dont 25.162 guéris. A ce jour, 4.737 patients sont encore sous traitement à domicile ou dans les structures dédiés et 741 décès ont été enregistrés.
LA FOIRE AUX DEMENTIS
Plus qu’une simple affaire de mœurs, le dossier concernant les accusations de viols et de menaces de mort portées par la masseuse Adji Sarr contre l’opposant Ousmane Sonko devient de plus en plus alambiqué
Accusé de viols et de menaces de mort par une masseuse, Ousmane Sonko est en train d’assister à la procédure de la levée de son immunité parlementaire. Mais à côté du volet juridique dont s’occupent ses avocats, ses partisans remuent ciel et terre pour démasquer ceux qu’ils accusent d’avoir comploté contre leur leader. Ainsi, on assiste à des accusations et des démentis aussi rocambolesques les unes que les autres.
Plus qu’une simple affaire de mœurs qui aurait pu être réglée tranquillement devant la justice, le dossier concernant les accusations de viols et de menaces de mort portées par la masseuse Adji Sarr contre l’opposant Ousmane Sonko devient de plus en plus alambiqué.
Même si l’Assemblée nationale a enclenché la procédure de la levée de l’immunité parlementaire du leader de Pastef, le procès semble se jouer déjà au tribunal de la presse et sur les réseaux sociaux, avec des rebondissements aussi spectaculaires les uns les autres, ponctués par des accusations et des démentis tous azimuts.
Tout est parti d’une information relayée par la presse le 05 février dernier faisant état d’une plainte déposée contre Ousmane Sonko à la section de Recherches de Colobane, dans laquelle on l’accuse de viols et de menaces de mort dans le salon de massage « Sweet Beauté ».
Aussitôt la nouvelle répandue comme une traînée de poudre, le député a réagi à travers sa page Facebook pour dire à ses amis, militants et sympathisants d’être rassurés parce qu’il n’a rien à voir avec ce qu’il qualifie de mensonges crapuleux.
Sans indiquer qu’il est allé au salon de massage plusieurs fois, Sonko affirmait qu’aucun homme politique n'a jamais été autant diffamé, calomnié et persécuté en si peu de temps, accusant au passage le pouvoir de tenter de le déstabiliser, et laissant entendre que Macky Sall n’a que sa liquidation en tête. Mais deux jours après, suite à la sortie de la patronne du salon de massage affirmant que Sonko venait se faire masser régulièrement chez elle, le parlementaire, ayant reçu une convocation des enquêteurs, a fait une déclaration le dimanche 07 février pour annoncer qu’il n’allait pas répondre à la Section de Recherches parce qu’il est député, mais aussi en confirmant qu’il fréquentait bel et bien le salon de massage « Sweet Beauté ».
Une annonce qui va enclencher une suite d’accusations et de démentis. Car, au-delà des manifestions de ses partisans pour « protéger » leur leader, ces derniers essayent de démontrer à l’opinion sénégalaise que les accusations contre Ousmane Sonko résultent d’un complot ourdi depuis le Palais de la République par le Président Macky Sall pour l’empêcher d’être candidat en 2024.
Ayant eu écho que l’homme qui a transporté Adji Sarr, la nuit durant laquelle elle accuse Sonko de l’avoir violée pour la dernière fois, son nom de famille est Mbaye et que le père de ce dernier est membre de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY), des soutiens de l’ancien inspecteur des Impôts et Domaines ont tout de suite ciblé Yakham Mbaye, le menaçant de s’en prendre à lui et à sa famille. Mais cette piste a été très vite abandonnée puisque la presse a rendu public le nom du « transporteur d’Adji Sarr », qui s’appelle Sidy Ahmed Mbaye.
Ainsi, certains esprits fertiles ont automatiquement pensé qu’il s’agissait de l’enfant du député Pape Sagna Mbaye. Mais le responsable de Benno Bokk Yaakaar n’a pas perdu de temps pour démentir ces allégations. Selon lui, son fils n’est ni de près ni de loin impliqué dans cette affaire car il était à l’étranger au moment des faits. A force de fouiner, la presse a fait savoir avant-hier dans la mi-journée que Sidy Ahmed Mbaye est le fils de Maodo Malick Mbaye de la mouvance présidentielle.
Mais ce dernier s’est fendu d’un communiqué pour préciser que c’est son neveu et que lui n’a rien à voir avec le complot dont on parle.
Cherchant toujours d’autres comploteurs, des partisans de Sonko ont indiqué hier matin sur les réseaux sociaux que c’est l’avocate Me Dior Diagne qui a non seulement rédigé la plainte contre Ousmane Sonko, mais aussi c’est elle qui héberge actuellement Adji Sarr. Etant au parfum de ces allégations, la robe noire a réagi via sa page Facebook pour démentir ces accusations et annoncer une plainte contre les auteurs de ces affirmations.
«MAMADOU NDOYE NOUS A DIT QU’IL ETE ELECTROCUTE AUX TESTICULES AU COMMISSARIAT CENTRAL DE DAKAR»
Guy Marius Sagna sur l’arrestation des militants de Pastef
L’activiste Guy Marius Sagna est très remonté contre les autorités policières. Pour cause, selon lui, les 20 militants du parti Pastef / Les Patriotes d’Ousmane Sonko, arrêtés lundi dernier lors des violentes manifestations, certains d’entre eux ont subi un traitement inhumain au commissariat central de Dakar. Ainsi il dénonce cette torture et prend pour responsable le président Macky Sall de tout ce qui arrivera à ces jeunes.
Le leader du Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (Frapp-France Dégage) se veut formel. Selon Guy Marius Sagna, le président Macky Sall sera rendu responsable de tout ce qui arrivera aux 20 militants du parti Pastef-Les Patriotes, d’Ousmane Sonko, arrêtés lundi dernier, lors des violentes manifestations et placés sous mandat de dépôt.
A l’en croire, ces derniers ont subi des tortures lors de leur garde à vue au commissariat central de Dakar. «Mamadou Ndoye, un des 20 encore entre les mains du dictateur Macky Sall, nous a dit avoir été électrocuté hier aux testicules au commissariat central de Dakar. Il souffre énormément. Terriblement !» s’indigne amèrement l’activiste sur son compte Facebook, en rappelant au président Macky Sall, l’engagement du Sénégal aux conventions internationales contre la torture. «Je comprends maintenant comment notre compatriote Pape Sarr, accusé injustement de vol de mouton, a été électrocuté au commissariat de police de Thiaroye jusqu’à ce qu’il y prenne feu. Il mourra dans ses bandages tels une momie à l’hôpital. Jusqu’à présent, pas de justice pour lui», ajoute-til.
Poursuivant son propos, l’activiste estime en outre que cette situation est liée à la volonté du président Macky Sall de liquider arbitrairement, injustement, anti démocratiquement, illégalement Ousmane Sonko. «C’est pourquoi des citoyens se sont dressés pour faire barrage à votre cabale politicienne. Donc, ces jeunes ne sont pas coupables : c’est vous Macky Sall qui êtes coupable de cette Sall cabale et de ses dégâts collatéraux », peste Guy Marius Sagna.
A noter que sont 20 personnes sont Mouhamed Naby Ndoye, Pape Niang, Noah Sambou, Mamadou Sarr, Ousseynou Dia, Mor Niang, Pape Malick Seck, Ousmane Diop, Omar Diouf, Abdoulaye Diène, Abdoulaye Faye, Amadou Der, Edouard Diatta, Ahmeth B. Sane, Mouhamed Thiam, Modou Konté, Diomaye Diafatte, Sékou Ndour, Wando Cissé et Laba Touré. Et Ils ont été arrêtés en marge de manifestations pour protester contre les accusations de viol et menaces de mort portées à l’encontre de leur leader Ousmane Sonko. Le député est accusé par une masseuse, Adji Sarr, 21 ans.
LE MALI DEFIE LE SENEGAL
Le Sénégal affronte ce samedi 13 février, l’équipe du Mali en finale du tournoi de la zone A de l’Union des fédérations ouest-africaines de football (UFOA/A).
Le Sénégal affronte ce samedi 13 février, l’équipe du Mali en finale du tournoi de la zone A de l’Union des fédérations ouest-africaines de football (UFOA/A). Toutes les deux équipes sont déjà qualifiées à la CAN U17 qui aura au mois de mars prochain au Maroc. Une finale qui promet entre les deux meilleures équipes du tournoi.
Les Lionceaux qui ont déjà survolé la phase de poules avec un carton offensif réalisé aussi bien contre les Babies Scorpions de la Gambie (4-2) et ensuite face aux «Djurtus» cadets de la Guinée- Bissau, les poulains de Malick Daff, vont essayer de finir en beauté. Mais aussi d’affirmer leur suprématie dans le football sous régional qui, on le rappelle, a été contesté par la Gambie lors du Tournoi U20 disputée il y a quelques mois à Thiès.
Un tournoi qui avait vu les Scorpions Gambiens ravir en finale le trophée et la qualification à la CAN 2021 au pays hôte. Face aux Aiglonnets, les Lionceaux auront cependant du répondant. Les cadets maliens ont également démontré leur puissance offensive.
A l’image de la première demi-finale où ils ont écrasé la Mauritanie sur la marque de (5-1). L’équipe du Mali a terminé la phase de poules avec la meilleure attaque du tournoi (15 buts) contre 12 buts pour le Sénégal.
LANCEMENT DE «KOULOU ZIAR SENEGAL» POUR LA PROMOTION DU TOURISME RELIGIEUX
Alors que la Covid-19 continue de porter un sacré coup au tourisme, un des secteurs qui en souffre le plus ou presque, l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT) cherche de nouvelles issues pour promouvoir la «Destination Sénégal»
Alors que la Covid-19 continue de porter un sacré coup au tourisme, un des secteurs qui en souffre le plus ou presque, l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT) cherche de nouvelles issues pour promouvoir la «Destination Sénégal». Ainsi a-t-elle paraphé une convention de partenariat avec le Regroupement National des Opérateurs Privés du Hajj (RENOPHUS) dans ce sens. Dénommé «Koulou Ziar Sénégal», ce partenariat vise à «renforcer la visibilité et l’attraction des pôles religieux».
«Koulou Ziar Sénégal», c’est la nouvelle trouvaille de l’Agence Sénégalaise de Promotion Touristique (ASPT) pour vendre le tourisme religieux au Sénégal. Pour son opérationnalisation, l’ASPT et le Regroupement National des Opérateurs Privés du Hajj (RENOPHUS), ont signé une convention de partenariat «pour renforcer la visibilité et l’attraction des pôles religieux. Ce partenariat va permettre de susciter activement une synergie d’actions pour inciter à la découverte des destinations de cultes du Sénégal aux résidents, à la Diaspora et aux touristes», informe une note reçue à la rédaction de Sud Quotidien hier, vendredi 12 février 2021.
Selon la source, dans le cadre de cette convention, les deux parties vont co-organiser des activités de sensibilisation et d’information au Sénégal et à l’étranger, mettre en œuvre un programme de promotion de l’offre «Tourisme Religieux de la Destination Sénégal» vers des clientèles cibles. Elles vont aussi «développer des programmes de circuits ‘’incoming’’ et des circuits de découvertes religieux adaptés à la cible nationale avec le concept ‘’Koulou Ziar Sénégal’’».
Mieux, pour matérialiser cette dynamique, «un mémorandum d’entente va permettre d’atteindre au mieux les objectifs fixés pour positionner le Sénégal comme une destination de référence en Afrique en matière de tourisme religieux. L’objectif est de mettre en exergue les atouts culturels de la destination pour une meilleure connaissance de l’offre tourisme religieux du Sénégal, du repositionnement de la ‘’Destination Sénégal’’ sur le volet religieux à travers une stratégie portée sur le ‘’Incoming’’», détaille le texte.
Dans ce sillage, conclut la même source, l’ASPT «va mutualiser ses efforts avec les professionnels du tourisme religieux au Sénégal en vue d’une structuration de l’offre dédiée au patrimoine religieux et d’accompagner les acteurs de ce segment dans la commercialisation de leurs produits», lit-on dans le document.
L'AVOCAT BRITANNIQUE KARIM KHAN ELU PROCUREUR GENERAL
Les pays membres de la Cour pénale internationale (CPI) ont élu vendredi 12 février un avocat britannique de 50 ans, Karim Khan, comme prochain procureur général, un poste exposé qui vaut à la titulaire actuelle d'être sous sanctions américaines.
Karim Khan, 50 ans, succèdera le 16 juin à la Gambienne Fatou Bensouda au poste de procureur général de la Cour pénale internationale. Il a été élu pour un mandat de neuf ans par 72 voix sur 122 vendredi. Il aura en charge des dossiers volumineux et des affaires complexes, dans un tribunal dont la légitimité est en permanence remise en cause.
Les pays membres de la Cour pénale internationale (CPI) ont élu vendredi 12 février un avocat britannique de 50 ans, Karim Khan, comme prochain procureur général, un poste exposé qui vaut à la titulaire actuelle d'être sous sanctions américaines.
Karim Khan a été choisi face à trois autres candidats européens au 2e tour de scrutin, remportant 72 voix sur les 122 exprimées. Spécialiste des droits humains, cet avocat a récemment dirigé une enquête spéciale de l'ONU sur les crimes du groupe État islamique. Lors de cette enquête, il avait appelé à des procès semblables à celui qu'ont connu les dirigeants nazis à Nuremberg. Il succédera le 16 juin à la procureure générale sortante, la Gambienne Fatou Bensouda, qui a mené des enquêtes controversées, notamment sur le conflit israélo-palestinien ou encore l'Afghanistan.
Karim Khan a été avocat de la défense dans de nombreuses affaires de la CPI, y compris pour le fils de l'ex-dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, Seif al-Islam. Il a d'abord fait ses armes en droit international à l'ancien Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie, où il a été conseiller juridique au bureau du procureur. Il est ensuite passé à la défense et a représenté le viceprésident kényan William Ruto devant la CPI.
"UNE INSTITUTION JEUNE"
Ce Britannique a aussi été avocat de la défense de l'ex-président libérien Charles Taylor devant un tribunal spécial pour la Sierra Leone et avocat au Tribunal spécial pour le Liban basé à La Haye, créé pour traduire en justice les assassins de l'ex-Premier ministre libanais Rafic Hariri en 2005.
La CPI compte au total 123 membres sur les 193 qui composent les Nations unies. Les États-Unis, la Russie, la Chine, ou encore Israël, ne font pas partie de la CPI. Le mandat du procureur est de neuf ans. La CPI est basée à La Haye. Celui qui sera le troisième procureur de la Cour depuis sa création en 2002 aura en charge des dossiers volumineux et des affaires complexes, dans un tribunal dont la légitimité est en permanence remise en cause. "Il y a beaucoup d'endroits dans le monde où la Cour pourrait agir", estime toutefois un ambassadeur sous couvert d'anonymat. C'est "une institution jeune" et "nous n'avons pas besoin de moins (de justice internationale) mais de davantage" de mise en responsabilité, ajoute-t-il.
SANCTIONS "INACCEPTABLES"
Les premières responsabilités du nouveau procureur consisteront à décider des prochaines étapes de l'enquête sur les crimes de guerre en Afghanistan et de l'enquête particulièrement controversée sur le conflit israélo-palestinien de 2014 à Gaza.
L'an dernier, l'administration de l'ex-président républicain américain, Donald Trump, avait pris pour cible Fatou Bensouda et un autre haut responsable de la CPI, leur imposant des sanctions, notamment une interdiction de voyager et un gel de leurs avoirs, en raison d'une enquête sur des crimes de guerre américains présumés en Afghanistan. Israël et les États-Unis se sont également fermement opposés à une autre enquête sur des crimes de guerre présumés par les forces israéliennes et les groupes armés palestiniens.
La semaine dernière, les juges de la CPI ont cependant déclaré la Cour compétente pour les faits survenus dans les territoires palestiniens occupés, ce qui ouvre la voie à une enquête pour crimes de guerre. L'administration du nouveau président démocrate Joe Biden n'a pas encore dit si elle comptait abandonner les sanctions à l'égard de Fatou Bensouda, qualifiées par cette dernière "d'inacceptables".
BILAN MITIGE
Fatou Bensouda laisse derrière elle un bilan mitigé, même si, selon des spécialistes, elle a élargi la portée de la CPI. Sous sa direction, l'ex-président ivoirien Laurent Gbagbo a été innocenté de crimes contre l'humanité, tandis que l'ex-vice-président de la République démocratique du Congo, Jean-Pierre Bemba, a été acquitté en appel. Le Kényan Uhuru Kenyatta a également vu des accusations de crimes contre l'humanité abandonnées. Mais Fatou Bensouda a récemment obtenu des condamnations très médiatisées à l'encontre de Dominic Ongwen, un enfant soldat ougandais devenu commandant de l'Armée de résistance du Seigneur, et du chef de guerre congolais Bosco Ntaganda.
La CPI est la seule cour permanente pour les crimes de guerre au monde. Elle a souvent été critiquée pour avoir essentiellement pris en charge des affaires de pays africains.
(France24.com avec AFP
22 CONTAINERS SAISIS, UN SUSPECT ARRETE
La Gambie donne des gages contre le trafic de bois de la Casamance
La Gambie est-elle en train de donner des gages et corps au énième accord de coopération, signé avec le Sénégal, le vendredi 15 janvier 2021, pour freiner le trafic illicite de bois de la Casamance, via le port de Banjul ? En tout cas, cette semaine, 22 conteneurs remplis de grumes ont été saisis par les autorités gambiennes et un présumé exportateur a été mis aux arrêts. Un procès est annoncé la semaine prochaine, avec une punition exemplaire de présume coupable.
Le ministre gambien de l’Environnement a confirmé cette semaine la saisie de 22 conteneurs remplis de grumes ainsi que l’arrestation du présumé exportateur, informe le correspondant de Emedia à Banjul, la capital de la Gambie. Accusé de complicité voire de négligence dans lutte contre la coupe abusive de bois en Casamance et son exportation via le port de Banjul, que les deux pays s’accordent de combattre ensemble, les autorités gambiennes semblent désormais prêt à donner des gages.
A en croire le ministre gambien en charge de l’Environnement, la surveillance a été renforcée sur les différents post frontaliers et les dépôts de bois identifiés dans la capitale. Actuellement plusieurs personnes sont sous les verrous dans le cadre de la lutte contre le trafic de bois, révèle la tutelle. «Nous avons saisi 22 conteneurs de bois rose récemment sur deux sites situés sur la périphérie de Banjul. Nous avons également saisi plus 400 troncs d’arbres le long de la frontière sud entre le Sénégal et la Gambie», s’est félicité Lamin Dibba, ministre gambien de l’Environnement, dans Emedia.
«POUR UNE PUNITION SEVERE ET EXEMPLAIRE»
Tout en assurant que son pays est loin d’être complice, le ministre gambien de l’Environnement souligne que le trafic de bois est une question complexe héritée du précédent régime. «Je crois qu’on nous fait un mauvais procès. Nous avons trouvé cette question pendante ici. Il fallait s’y prendre avec beaucoup de tact car de nombreuses personnes en ont fait leur business et y avaient lourdement investi. C’est ce que nous avons fait ces trois dernières années».
À en croire la tutelle, le gouvernement a, dans un premier temps, permis à tous ceux qui avaient des stocks de bois de pouvoir les écouler avant de couper le robinet. Cependant, l’on reconnait à demi-mot que malgré l’interdiction, des individus mal intentionnés tentent toujours d’utiliser des moyens illégaux pour exporter du bois via le port de Banjul. Et le ministère de révéler que le procès contre les trafiquants s’ouvre la semaine prochaine et tout est mis en œuvre pour «une punition sévère et exemplaire», promet-il toujours dans Emedia.
Plusieurs accords ont été signés entre le Sénégal et la Gambie pour mettre fin à la coupe abusive de bois des dernières réserves de forêts de notre pays situées dans sa partie méridionale. Et le dernier engagement en date de la Gambie à respecter ces accords remonte seulement à moins d’un mois. Le vendredi 15 janvier 2021, à l’issue d’une réunion organisée à Dakar sur la question, le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération internationale et des Gambiens de l’étranger, Mamadou Tangara, revenant sur la question de la coupe et du trafic illicite de bois des forêts de la Casamance, a soutenu que «ce n’est pas un problème gambien, ni sénégalais, mais un problème sénégambien». Avant de réaffirmer l’engagement du gouvernement gambien du président Adama Barrow de travailler, main dans la main, avec le président Macky Sall, pour qu’une solution pérenne soit trouvée, a rapporté le quotidien national «Le Soleil» dans sa livraison du samedi 16 et dimanche 17 janvier 2021.
MACKY ET SONKO, CHRONIQUE D'UNE RIVALITÉ POLITIQUE
Le pouvoir s’est toujours efforcé d’anéantir par divers stratagèmes la popularité naissante du leader de Pastef. Cela va de sa radiation de la fonction publique au désaveu de l’Assemblée dans l’affaire des 94 milliards, entre autres
Grande révélation de la politique sénégalaise dans la période qui a suivi la deuxième alternance politique ayant vu l’accession à la magistrature suprême de l’actuel chef de l’Etat, Macky Sall, tombeur du pape du Sopi, son ex-mentor, Ousmane Sonko a fait rêver une grande partie des Sénégalais, notamment les jeunes. Sa ligne politique «anti-système» basée sur la dénonciation, chiffres à l’appui des magouilles et autres manquements à la transparence dans la gestion des affaires publiques par les responsables du régime qui profitent du système politique en place de l’indépendance en 1960 à nos jours pour s’enrichir dans le dos du peuple sénégalais, lui avait très vite permis de gagner une popularité auprès de beaucoup d’électeurs. Une popularité que le régime s’est toujours efforcé d’anéantir par divers stratagèmes qui vont de la radiation de la fonction publique au désaveu de l’Assemblée nationale dans l’affaire des 94 milliards en passant par les multiples campagnes de diabolisation, concernant notamment ses orientations religieuses et aujourd’hui cette affaire de « viol répété » et de « menace de mort » présumée pour ne citer que celles-là.
Comme relevé par Sud quotidien dans sa livraison d’hier, le bureau de l’Assemblée nationale qui s’est réuni pour examiner la demande de levée de l’immunité parlementaire du député Ousmane Sonko accusé de « viol répété » et « menace de mort » a déclenché sans surprise le compte à rebours de cette procédure. A la sortie de la réunion d’avant-hier, jeudi, mandat a été ainsi donné à la commission des lois, chargée de statuer sur le fond de la procédure de l’immunité parlementaire de tenir une rencontre le lundi 15 février prochain à 10h, en vue de mettre sur pied la commission ad hoc chargée d’entendre Ousmane Sonko. Sous peu, le leader de Pastef va allonger la liste des responsables politiques membres de l’opposition qui ont été livrés par leurs collègues députés à la justice sous le régime en place.
Le dernier député de l’opposition à se faire enlever son immunité parlementaire avant Ousmane Sonko fut Khalifa Sall, ex-maire de Dakar le 25 novembre 2017. Accusé dans l’affaire dite de la Caisse d'avance à la Ville de Dakar, Khalifa Ababcar Sall est d’ailleurs l’un des rares députés de l’histoire de l’Assemblée nationale à ne jamais bénéficier de son immunité parlementaire. En effet, après la confirmation de son élection comme député au soir des législatives de 2017 par le Conseil constitutionnel, l’actuel procureur de la République s’est opposé à sa libération.
Auparavant, ce sont les anciens camarades du président Wade, aujourd’hui alliés de son successeur, Ousmane Ngom, Oumar Sarr et Abdoulaye Baldé qui ont fait l’objet d’une levée de leur immunité parlementaire en 2013 dans la cadre de la procédure de traque des biens mal acquis qui les visait. Barthélémy Dias est le premier parlementaire qui a vu son immunité parlementaire levée sous le régime en place.
Pour rappel, c’est dans la période allant de 2012 à août 2016 qu’Ousmane Sonko s’est révélé à l’opinion publique sénégalaise. Secrétaire général honoraire du Syndicat Autonome des Agents des Impôts et Domaines, syndicat dont il est d’ailleurs un des membres fondateurs et Premier secrétaire général (avril 2005 - juin 2012), Ousmane Sonko alors que l’espace politique sénégalais était refroidi par le lancement de la campagne de traque des biens mal acquis contre des dignitaires du régime libéral du président Abdoulaye Wade, n’avait pas hésité à occuper l’espace politique.
Après avoir porté sur les fonts baptismaux avec quelques amis le parti politique Pastef/Les patriotes, formation politique qui prône une « nouvelle voie de développement économique et social » pour le Sénégal, il a commencé à multiplier les sorties de dénonciations dehhs « magouilles » et « mafias » organisées au cœur de la République par des responsables du régime en place qui, selon lui, ont mis en place « un vaste système de fraude fiscale ».
Dans sa ligne de mire, on peut citer entre autres l’actuel chef de l’Etat, Macky Sall et son frère cadet Aliou Sall, Frank Timis et l’Assemblée nationale pour ne citer que ceux-là. Des accusations qui ont fini par pousser le gouvernement à initier une procédure qui a abouti à sa radiation de la Fonction publique par décret présidentiel, le 29 août 2016 pour manquement à l’obligation de discrétion professionnelle sans être au préalable auditionné par le Conseil de discipline, comme le prévoient les textes.
DE LA RADIATION A LA…REPRESENTATION
Seulement, après cette sanction décrétée par les autorités et qui a signé la fin de sa carrière comme Inspecteur principal des Impôts et des Domaines au niveau de la Direction Générale des Impôts et Domaines, Ousmane Sonko n’a pas mis du temps à trouver un point de chute. Il s’agit de l’Assemblée nationale. Candidat aux législatives de 2017, il est élu député après avoir recueilli environs 13 891 suffrages.
Profitant de la tribune que lui offre son statut de député, Ousmane Sonko continue de forger son image de farouche opposant du régime en place. Ses prises de position à l’hémicycle sont essentiellement dominées par la question de transparence dans la gestion du pétrole, du fer, du zircon, du foncier...
En janvier 2018, il publie un intitulé « Pétrole et gaz au Sénégal. Chronique d’une spoliation » dans lequel, il revient sur des « malversations dans la gestion des ressources naturelles du pays » opérés selon lui par le président Macky Sall et son entourage. Ce livre sera suivi par un autre consacré à son programme de campagne électorale. Dénommé « Solutions », ce livre qui livre un diagnostic des problèmes sociaux et économiques du Sénégal et des propositions de solution pour y remédier est publié dans la foulée de sa déclaration de candidature à l’élection présidentielle de 2019.
En réaction à cette candidature du leader de Pastef dont la popularité gagne de plus en plus du terrain, un débat sur ses orientations religieuses a été soulevé par certains proches du pouvoir en place. Taxé de « salafiste » qui aurait forcé ses épouses à porter le voile, Ousmane Sonko a été ainsi obligé de rompre le silence lors d’un rassemblement de son parti à la Place de la Nation sise à Colobane. « Ce débat est dangereux et contraire à notre Constitution. On n’interroge aucun autre candidat sur ses pratiques religieuses. Pourquoi le fait-on avec moi ? Oui, je suis musulman, mais je n’ai pas à développer davantage sur ce sujet», s’était-il défendu.
Toujours dans son combat contre le pouvoir en place, le leader de Pastef/Les patriotes a eu à faire plusieurs dénonciations de scandales présumés impliquant des responsables du régime en place dont l’affaire des 94 milliards qui a tenu en haleine le monde politico-judiciaire sénégalais entre le mois d’octobre 2018 et janvier 2021. Révélée au grand jour par Ousmane Sonko qui a décidé par ailleurs de déposer une plainte devant le Procureur de la République et le doyen des juges d’instruction contre Mamour Diallo, directeur des Domaines, Meissa Ndiaye, ancien chef de bureau des domaines de Ngor-Almadies et l’homme d’affaires Seydou Sarr pour escroquerie portant sur les deniers publics, faux, usage de faux, et concussion (94 milliards), cette affaire sera finalement classée sans suite.
Dans une ordonnance de refus d'informer datée du 18 janvier 2021 dernier, le doyen des juges Samba Sall a indiqué qu’Ousmane Sonko ne saurait justifier d’aucun préjudice subi directement par lui qui proviendrait de la commission des infractions en cause. Cette décision faisait suite à celle prise par la Commission d’enquête parlementaire mise en place par le bureau de l’Assemblée nationale pour tirer au clair les accusations du leader de Pastef/Les patriotes et qui a blanchi Mamour Diallo et compagnie. A l’époque, Mamour Diallo avait même annoncé en retour par le billet de ses avocats une plainte pour diffamation contre Ousmane Sonko.
MORT POLITIQUE… PROGRAMMEE
Le «mortal kombat» entre Ousmane Sonko, candidat arrivé entre temps en troisième position à la dernière présidentielle, et le régime en place connaitra divers avatars. Tous furent cependant marqués par une volonté manifeste du camp au pouvoir de museler l’opposant qui prenait de plus en plus du poids dans la sphère politique. Les tentatives furent multiples : l’avant dernière ayant coïncidé il y a tout juste deux mois avec cette menace brandie par le tout nouveau ministre de l’Intérieur Antoine Félix Diome de dissoudre le parti Pastef, en raison d’une campagne internationale de levée de fonds qui s’était révélée fort fructueuse. Le gouvernement arguait alors d’un0 financement occulte par des étrangers, toute chose interdite par le Code électoral et les lois en vigueur. Cette fois, Ousmane Sonko est cité dans une sulfureuse affaire de mœurs qu’il qualifie lui-même de « cabale politique » et qui pourrait à la longue concrétiser la mort politique programmée depuis longtemps du jeune leader de Pastef. Si lui et son camp ne trouvent pas entretemps les stratégies idoines pour contrecarrer les agissements des mains tapies dans l’ombre et qui œuvrent, selon certains esprits, à sa destruction systématique.