La Cour des comptes fouille le maire Amadou Diarra
Ça sent le roussi chez le maire de la commune de Pikine Nord. «L’As» a appris que la Cour des Comptes fouille depuis trois mois la gestion du maire Amadou Diarra. Selon certaines indiscrétions, les vérificateurs ont relevé de nombreux manquements sur la gestion de l’édile de Pikine Nord, le néo-apériste. Des contrats fictifs, une masse salariale dépassant les normes, un non-respect du code général des collectivités territoriales etc. Ce sont là les quelques dysfonctionnements relevés par les auditeurs de la Cour des Comptes. Après plus de 3 mois d’audit de la gouvernance de M. Diarra, les vérificateurs ont auditionné hier, tour à tour, les adjoints du maire, après avoir entendu Amadou Diarra himself accusé de faire dans la gestion solitaire. D’après nos interlocuteurs, même ses adjoints sont mis à l’écart à l’exception du 1er adjoint qui signe certains documents grâce à leur relation amicale. «Quiconque exige une application des textes, lors des réunions en commission, est considéré comme un ennemi par le maire», révèlent nos sources qui ajoutent que la transhumance de l’édile de Pikine à l’Alliance pour la République (Apr) est motivée en partie par les manquements relevés par les vérificateurs de la Cour des Comptes dans sa gestion de la municipalité. Cela l’aurait poussé à draguer le pouvoir. En atteste son discours lors de la cérémonie de pose de la première pierre de la Maison de la Jeunesse et de la Citoyenneté présidée par la ministre de la Jeunesse, Néné Fatoumata Tall.
Simon et Kilifeu face au juge d’instruction aujourd’hui
L’affaire d’escroquerie aux visas impliquant Kilifeu est loin de connaître son épilogue. C’est le juge d’instruction du 2e cabinet, Abdoulaye Alassane Thioune, qui a hérité du dossier dans lequel est également cité le Y en a marriste Simon. Pour ce dernier, le parquet vise le chef de tentative de trafic de migrants, puisque Thierno Amadou Diallo a soutenu devant les enquêteurs que Simon lui aurait loué son passeport français. D’ailleurs, les deux rappeurs ont bénéficié d’un retour de parquet, car le juge ne s’est pas encore imprégné de leurs dossiers. Ainsi, ils feront face à leur destin aujourd’hui à la suite de leur convocation par le juge du 2e cabinet, à 9 heures. Pour rappel, dans une vidéo qui circule sur le net, on voit le rappeur Kilifeu qui marchande avec son ami Thierno pour qu’il lui trouve des visas pour sa femme et son enfant qui devaient quitter le Sénégal le 16 juillet dernier. Ce dernier lui aurait remis pas moins de 4 millions Cfa.
Opération coup de poing de la Police de Grand Yoff
La Police de Grand Yoff a mené lundi dernier pendant la journée une opération contre l’exploitation illégale de débits de boissons dans sa circonscription. Les éléments de la brigade de recherches ont investi les moindres recoins de leur secteur. Ce qui a permis l’interpellation de 11 personnes dont 03 pour exploitation illégale de débit de boissons et 08 pour ivresse publique manifeste. En plus, les hommes du Commissaire Abdou Sarr ont saisi un important lot de matériels composé de 06 bouteilles de 20 litres de vin, d’une caisse contenant 51 canettes de bière Royal Dutch, d’une caisse contenant 17 bouteilles de bière ordinaire et de 05 canettes de bière de marque Codys.
Incendie à la résidence La Palmeraie : le gérant en prison
Karafa Djiba, le gérant de la résidence «La Palmaraie», a été déféré hier au parquet du tribunal de Mbour par la police de Saly. Le procureur n’a pas cherché midi à quatorze heures pour le placer sous mandat de dépôt. Après l’incendie qui a emporté le couple Tabarez et son enfant, Karafa Djiba a été arrêté par les éléments du commissariat de police urbaine de Saly. À la fin de l'enquête, les enquêteurs ont retenu les délits d’homicide involontaire et de mise en danger de la vie d'autrui.
Le CRD poursuit sa logique de construction d’une coalition
Les défections de Thierno Alassane Sall et de l’ancien juge Ibrahima Dème ne feront pas varier le Congrès de la Renaissance Démocratique (Crd) de son ambition de construire une grande coalition aux élections locales. Dans un communiqué reçu à «L’As», le CRD dit prendre acte des départs du mouvement ‘’Ensemble’’ dirigé par l’ancien juge Ibrahima Dème et le parti La République des Valeurs de l’ancien ministre Thierno Alassane Sall, de la coalition mise en place par le Parti Démocratique Sénégalais (Pds). C'est un regret, après avoir donné leur accord pour la participation du CRD à la mise en place d’une coalition électorale de l’opposition, qu'ils se soient rétractés, se désole la Conférence des Leaders du CRD. Cependant, les leaders de cette coalition restent toujours dans leur phase de construction de la nouvelle coalition électorale de l’Opposition, avec Jotna, le Pds, Bgg et Aj/Pads.
Sen’Eau défend la qualité de ses compteurs
La Sen’Eau qui est vouée aux gémonies depuis quelques temps par Sos Consommateurs et certains de ses clients apporte la réplique. Elle estime qu’il n’y a pas à chercher les justifications de la cherté des factures d’eau dans la qualité des compteurs. La Sen’Eau dément formellement le fait qu’on dise que les compteurs d'eau sont à l'origine des consommations élevées, qui ne sont dues en réalité qu'à la présence accrue d'eau, à une meilleure pression ainsi qu'à la présence de fuites dans certains cas dans les maisons. Selon son service de communication, ce sont des compteurs de grande qualité, certifiés et testés individuellement dès leur sortie d'usine, qui sont installés dans les maisons. Avant de préciser que les marques commandées (ITRON et DIEHL) sont les meilleures du marché international. La boite a démenti également le fait qu’un stock de 17 000 compteurs de marque Itron sont considérés comme «non conformes» par la Division de la Métrologie. Pour une baisse des factures d’eau, Sen’Eau exhorte ses clients à suivre leur consommation pour éviter le gaspillage de l'eau.
Une année scolaire mouvementée dans le privé laïc
Le Syndicat Indépendant de l’Enseignement Privé du Sénégal (Sieps) menace d’en découdre avec le patronat dès la rentrée scolaire. Selon le secrétaire général du syndicat, Socé Fall, les directeurs des écoles privées refusent de se conformer à la législation sociale. A l’en croire, ces derniers ne paient pas à leurs agents les congés scolaires et même pendant les grandes vacances. Ce qui a installé les enseignants dans la précarité. Mais Socé Fall prévient que cette situation précaire ne peut plus continuer. Il réclame la mise en place d’une direction autonome de l’enseignement privé au Sénégal.
Déclassification de la forêt des filaos
Le feu couve à Guédiawaye à cause du récent déclassement de la bande des filaos. Des populations de cette localité qui saluent la signature du décret de déclassification de la forêt des filaos pour la construction d’équipements collectifs dont des écoles, des postes de santé, des villages artisanaux…, s’insurgent contre la volonté de certains promoteurs privés, de connivence avec le service des impôts et domaines et du cadastre, pour faire main basse sur ces parcelles. Cela est inacceptable, selon le président des délégués de quartiers de Guédiawaye, Hamidou Diallo. Ils demandent au chef de l’Etat de sévir contre les promoteurs véreux soutenus par certains services de l’administration pour éviter une révolte des populations.
Colère des restauratrices
Fatiguées de leurs dures conditions de travail et de vie à cause de la cherté des prix des denrées de première nécessité, des femmes restauratrices ont tenu un point de presse pour annoncer une marche dans les rues sur l’ensemble du territoire pour dénoncer cet état de fait. Ce, après l’échec de leur rencontre avec le chef de cabinet du ministre du Commerce qui, selon elles, a voulu déplacer leurs problèmes sur le terrain politique. Ces femmes demandent aux guides religieux, aux acteurs de la société civile de les soutenir dans la lutte, à travers des manifestations populaires contre la cherté de la vie.
Thiès accueille la 1ére sous-station entièrement numérique…
Pour étendre, renforcer et améliorer la fiabilité de son réseau de transport et de distribution, Grid Solutions de GE Renewable Energy a annoncé avoir récemment mis en service la première sous-station haute tension entièrement numérique sur le continent africain. Il s’agit d’un post construit à Thiès et intégré dans le programme de la Senelec. Cette action conduite par Vinci Energies West Africa est une manière de rendre le réseau électrique du pays plus performant. Selon Wassel Bouaouda, directeur de projet exports de ladite structure, ce projet phare a été rendu possible grâce à la solide synergie entre les équipes de Vinci Energies West Africa et à l’expertise numérique de Grid Solutions de GE. L’objectif est d’apporter la flexibilité des applications logicielles mais aussi de faciliter l’échange de données plus sûr et plus efficace entre plusieurs dispositifs. Par conséquent, les données en temps réel peuvent être analysées pour optimiser l’utilisation des actifs et maximiser la fiabilité du système. La sous-station permet aussi d’alimenter les concessions en électricité, mais aussi de gérer l’alimentation du réseau à partir de diverses sources d’énergie renouvelable. A noter que ce contrat de projet a été signé entre GE et Vinci Energies en 2018.
Démarrage de la 2e session du CESE
La deuxième session ordinaire de l’année 2021 du Conseil économique, social et environnemental (CESE) a été ouverte hier, par le président de l’Institution, Idrissa Seck. Evoquant les thèmes, Idrissa Seck, indique que l’Institution en rapport avec les structures et experts compétents en la matière, va identifier les solutions appropriées contre l’érosion côtière afin de préserver le littoral sénégalais long de 700 kilomètres. A l’en croire, l’étude de cette problématique est d’autant plus urgente que cette côte, très vulnérable, abrite les plus grands établissements humains et l’essentiel des activités économiques et touristiques du pays. A travers la thématique sur le numérique, le Cese veut contribuer à l’opérationnalisation de la Stratégie Sénégal numérique (SN 2025), en identifiant les énormes niches d'emplois dans ce secteur, et apportant sa pierre au Programme d'urgence pour l'Emploi et l'Insertion des Jeunes. Par ailleurs, Idrissa Seck a installé les nouveaux conseillers que sont Mme Anna Faye et Abdou Aziz Dieng.
Livre : Mor Talla Gaye peint Idrissa Seck
Restons avec Idrissa Seck pour dire qu’il fait l’objet d’un livre écrit par notre confrère Mor Talla Gaye. Sans doute le président du Cese n’aimerait pas lire l’ouvrage de M. Gaye intitulé : Idrissa Seck, l'ombre du passé. Le titre de la postface annonce la couleur. «Idy, graine sans fleur», peut-on lire. Après avoir connu le sommet de sa gloire, fait-il remarquer, Idrissa Seck est redevenu un banal opposant. «Un nouveau bébé vient agrandir ma galerie de Portraits. Cette fois-ci, c'est Idrissa Seck, Président du Cese, ancien Premier ministre, personnage "controversé" de la scène politique qui dévoile ses traits sénégalais», écrit l’auteur sur Facebook.
KEEMTAAN GI - Des leaders ? Non, des dealers !
Nous en sommes donc à ce niveau de décrépitude ! C’est le Père Léo qui doit se retourner dans sa tombe de voir ce pays qu’il a construit avec méthode et rigueur porter des guenilles. Jusque-là, on s’accommodait de leurs stupidités qui consistaient à se chamailler comme de garnements mal éduqués. Et à l’occasion, si ça les démangeait, se donner des coups de poings. De quoi nous sortir de la morosité de leurs débats si puérils face aux enjeux auxquels fait face ce charmant pays des paradoxes. Il faut tout de même reconnaitre que notre si avachie Assemblée nationale, on nous l’a bien changée. Les ados ne gardent que des images révoltantes de cette institution. Tandis que les adultes et surtout les vieillards, eux, se souviennent d’épiques échanges entre parlementaires distingués et cultivés. Il s’agit bien sûr de ceux qui ont vécu sous le magistère de Senghor. A l’époque, n’entraient à l’Assemblée que des gens de bonne moralité. Et voilà que celui qui nous promettait une gestion sobre et vertueuse fait siéger la racaille et des malotrus Place Soweto. Des individus ce qu’il y a de plus infâme dans notre société. Il y eut d’abord un insulteur public dont il fit le premier vice-président de ce cénacle avant de lui donner l’occasion de plastronner au Parlement de la CEDEAO dont il a même été le président. L’ignominie ! Cette page douloureuse fermée, on découvre un hideux faux monnayeur. Libéré officiellement pour raison de santé, il nargue le bon peuple se disant même mystique avec des kilos de grigris au corps. Qui s’y frotte… Une belle façon de tirer la langue à la Justice et aux magistrats qui se garderont de lui faire payer son crime économique. Depuis quelques jours, on découvre, toujours dans cette Assemblée, d’autres spécimens de gens de peu de vertu. Ils s’exerçaient à un juteux trafic de passeports diplomatiques. «Divorçant » et « mariant » des dames à la pelle pour leur faire bénéficier de ce sésame qui ouvre toutes les portes. Dire que l’un d’eux préside, en plus d’être député, préside un Conseil départemental ! Un véritable ripou qui pensait plus à ses poches qu’au bien-être de ses administrés. Les pauvres ! Hélas, ils sont nombreux des gens comme ces députés à toutes les stations de l’Etat à se comporter comme des malfrats. Et si on n’arrête pas la machine judiciaire, toute la racaille de la République élirait domicile à Rebeuss d’où elle ressortirait, hélas, rapidement. En application de la jurisprudence Bougazelli ! KACCOOR BI
FATWA CONTRE LES SIFFLETS A TOUBA L’IMPOPULARITE DE MACKY…HOMOLOGUEE PAR SERIGNE BASS ABDOU KHADRE !
En prenant les devants pour interdire les huées et les sifflets contre le président Macky Sall, Cheikh Bass Abdou Khadre voulait sans doute bien faire. Bien faire pour que le chef de l’Etat soit dignement accueilli par les populations de Touba à la dimension de son rang. « Le Khalife déplore ce phénomène nouveau qui commence à exister dans la cité. On voit de plus en plus des gens manifester leur colère dans la rue. Cette manière de faire est prohibée et intolérable. Que ceux qui ont envie de se faire entendre viennent lui parler ou passent par ses représentants. Mais il ne tolérera plus que de tels comportements se reproduisent... » a-t-il fait savoir dans une déclaration vidéo aux allures d’une fatwa en prélude de la visite du président Macky Sall à Touba à l’occasion du grand Magal. Ce sera le samedi prochain. Et le porte-parole de Touba de marteler fermement que le Khalife général ne va plus tolérer des velléités de sabotage à l’encontre du président Macky Sall. A l’analyse, Serigne-Bi a bien fait de s’adresser à ceux qui profitent de la visite du président de la République pour régler des comptes politiques. Malheureusement certains spécialistes en matière de communication publique se disent convaincus qu’en voulant bien alerter ou avertir, Cheikh Bass Abdou Khadr a fini par « homologuer » l’impopularité du président Macky Sall à Touba. Autrement dit, sa déclaration a eu le contraire de l’effet recherché au niveau du public !
MAGAL DE TOUBA 3500 AGENTS DE SANTE SERONT DEPLOYES
3500 agents de santé seront déployés à Touba dans le cadre du magal 2021. Le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Abdoulaye Diouf Sarr, en visite hier à Touba a informé de la mise en place d’un tel dispositif pour amoindrir certainement l’impact de la covid-19 sur les pèlerins. «Globalement, nous sommes satisfaits et nous pouvons dire que le magal va se faire dans les meilleures conditions parce que toutes les dispositions au plan sanitaire sont en place», a-t-il dit mardi au terme d’une visite qu’il effectuait à Touba dans le cadre des préparatifs du magal 2021 prévu les 25 et 26 septembre prochains. Cette visite avait pour but de faire le point sur le dispositif sanitaire mis en place en perspective de cet évènement religieux annuel qui se tient en commémoration du départ en exil de Cheikh Ahmadou Bamba, fondateur du mouridisme, une des principales confréries musulmanes sénégalaises. La Pharmacie nationale d’approvisionnement (PNA), par exemple, «a pris toutes les dispositions pour que les médicaments ne soient pas une difficulté pour les structures et les postes de santé «, s’est réjoui Abdoulaye Diouf Sarr. Concernant le volet prévention, le Service d’hygiène, dont les équipes ont été déjà déployées à Touba, est en train de prendre des dispositions pour assurer ses interventions à l’occasion du magal. Il en sera de même pour la gestion des urgences médicales par le SAMU national, qui va inaugurer une unité à Touba à l’occasion du magal, a indiqué le ministre. «Cela permet à cette structure d’urgence de gérer et de se déployer dans le cadre d’une stratégie de proximité», s’est-il félicité. Pour la deuxième année consécutive, le magal de Touba, qui se tient dans un contexte de pandémie, va se dérouler dans le respect strict des mesures barrières. C’est dans cette optique que le ministère de la Santé et de l’Action sociale «a mis en place 2 millions de masques pour permettre aux pèlerins de disposer de masques nécessaires pour respecter les mesures barrières», a indiqué Abdoulaye Diouf Sarr.
GUINEE ALPHA CONDE ETAIT-IL DEVENU GATEUX?
Les langues commencent à délier à propos de l’état de santé mentale de l’ancien président guinéen Alpha Condé capturé et déposé par le colonel Mamady Doumbouya. Tenez ! C’est un secret de polichinelle que le président Alpha Condé compte de nombreux amis et proches parmi les personnalités influentes et autres autorités sénégalaises. Dans le lot, un influent patron des médias. Justement, ce dernier a raconté au « Témoin » que, lors de son dernier séjour à Conakry, il avait été reçu en audience par un président Alpha Condé devenu manifestement gâteux. Pourquoi donc pensez-vous au défunt président tunisien Habib Bourguiba ? « Je n’ai jamais connu mon ami Alpha Condé dans un tel état mental. Pis, il peinait à me reconnaitre physiquement alors pourtant qu’il m’avait fait appeler. Depuis ce jour, je me suis rendu compte que l’ancien président guinéen souffrait de troubles mentaux. Peutêtre, ces signes pathologiques constatés par son entourage ont-ils dû accélérer sa chute ! » se désole notre confrère ami de longue date d’Alpha Condé. Agé de 83 ans, l’ex-président guinéen a été capturé par des militaires lors d’un coup de force le 5 septembre 2021.
ETATS-UNIS LE LUTTEUR JAGUAR ACCUSE D’AGRESSION SEXUELLE
Mamadou Ndoye, plus connu sous le sobriquet de Jaguar, âgé de 40 ans et habitant de Woonsocket, dans le Rhode Island, aux Etats-Unis, a été accusé de pédophilie au premier degré, d’agression sexuelle et de nombreux autres chefs d’accusation d’agression, dans l’intention de commettre un acte de pédophilie. Selon le site Léral.net, le procureur général Peter F. Neronha s’est fendu d’un communiqué, le 30 juin 2021, relayé par Patch et repris, ce lundi 13 septembre 2021 par le site Taggat.sn. Dans ledit document, il est indiqué qu’un lutteur sénégalais aurait commis un délit de pédophilie et d’agression sexuelle. Par ailleurs, notre compatriote a été inculpé par le Grand Jury du comté de Providence pour des chefs d’accusation comprenant « un chef d’accusation de pédophilie au premier degré, trois chefs d’accusation d’agression sexuelle au premier degré, un chef d’accusation d’agression avec l’intention de commettre un acte de pédophilie au premier degré, et cinq chefs d’accusation d’agression avec l’intention de commettre une pédophilie au second degré », a énuméré le procureur général Nerhona. Ce dernier a aussi signalé que les procureurs ont affirmé que les actes présumés ont eu lieu à Woonsocket, à diverses dates, entre le 11 septembre 2014 et le 25 mai 2021. «L’enquête a été menée par la police de Woonsocket. Mamadou Ndoye a été mis en accusation le 28 juin dernier, devant la Cour supérieure du comté de Providence », a-t-il fait remarquer. Pour rappel, le lutteur C. Faye âgé de 63 ans, a été aussi arrêté pour pédophilie sur une mineure de 9 ans
05 morts dans un accident entre Thiès et Tivaouane
Un grave accident de la circulation a fait hier 5 morts, entre Thiès et Tivaouane, précisément à hauteur de Koudiadiène. Le drame implique 3 véhicules (deux cars «Ndiaga Ndiaye» et un camion). Deux corps sans vie ont été dénombrés sur le coup avant que trois blessés graves ne succombent. Les victimes sont deux hommes, deux dames et un enfant. A l’origine de cette catastrophe, un car «Ndiaga Ndiaye» roulant dans le sens Thiès-Tivaouane, qui tentait de dépasser un camion, s’est retrouvé face à face avec l’autre car «Ndiaga Ndiaye». Il y a eu un choc frontal. Les sapeurs-pompiers ont eu beaucoup de peine pour extraire les corps et les blessés.
Le vigile aurait loué la villa au couple Tabarez sans aviser…
Après l’incendie d’une villa de la résidence «La Palmeraie», qui a emporté un couple et son enfant, la police qui a ouvert une enquête a arrêté le vigile. Le nommé Karafa Djiba est actuellement dans les locaux du commissariat urbain de Saly. Selon une source proche de l’enquête, le vigile en garde à vue devrait être déféré au parquet du tribunal de Mbour pour homicide involontaire et mise en danger de la vie d’autrui. En effet, le sieur Djiba est soupçonné d’avoir loué la villa au couple Tabarez sans en informer le propriétaire. Selon certaines indiscrétions, ce couple venu de Saint-Louis, plus précisément du quartier Sor, était dans la ville balnéaire pour passer quelques jours de vacances. Le couple n’était pas à ses premières vacances dans la villa. Malheureusement cette fois-ci, un court-circuit électrique a provoqué l’incendie qui a abrégé leur vie.
Le ministre Alioune Sarr à la résidence «La Palmeraie»
Restons à la résidence «La Palmeraie», pour dire que le ministre du Tourisme et des Transports aériens, Alioune Sarr, s’est rendu sur les lieux du drame. A la tête d’une délégation, Alioune Sarr a constaté les dégâts causés par les flammes. Très affecté par drame, le ministre du Tourisme a été laconique avec la presse. Il s’est contenté juste de compatir à la douleur de la famille éplorée et d’évoquer la problématique de sécurité.
Assane Diouf devant la barre mercredi prochain
Sale temps pour les activistes, dira l’avocat Me Cheikh Khoureysi Ba. L’affaire Assane Diouf est allée très vite. Son dossier a été traité en mode fast track. L’activiste qui a eu une altercation, lors de son live nocturne, avec un automobiliste, a été cueilli par la police. Ce qui est bizarre dans cette affaire, selon la robe noire, c’est que l’automobiliste n’a pas jugé opportun de porter plainte contre l’activiste, mais sur ordre de la hiérarchie, les policiers qui avaient procédé à l’interpellation des deux hommes sur les lieux de la bagarre ont retenu Assane Diouf qui est poursuivi du chef de destruction des biens d’autrui. Après une nuit de garde à vue, l’activiste a été présenté au procureur de Pikine Guédiawaye. A l’issue de son face-à-face avec le procureur de Pikine-Guédiawaye, Assane Diouf a été libéré. Seulement, il va comparaître devant le tribunal demain.
2e session ordinaire du Cese
La deuxième session ordinaire du Conseil Economique, Social et Environnemental (Cese) se tiendra du 14 septembre au 12 novembre prochain. L’annonce est faite par la cellule de communication de l’institution dirigée par Idrissa Seck. Mais, les travaux se dérouleront en visioconférence en raison des restrictions liées à la Covid-19. Pour cette session, les deux thèmes portent sur : «Erosion côtière» et «Révolution numérique et Employabilité des jeunes». Le premier thème sera étudié dans le cadre de l’intercommission composée par la commission du Cadre de vie, de l’Environnement et du Développement durable et la Commission du Développement territorial et local. Le second thème sera examiné dans le cadre de l’inter-commission constituée de la Commission du Développement industriel, de l’Energie et des Technologies, de la Commission du Cadre de vie, de l’Environnement et du Développement durable et de la Commission de la Jeunesse, de l’Education, de la Formation, de l’Emploi et du Travail.
Mouvement ensemble pour Guédiawaye
Les jeunes de Guédiawaye ont décidé de mutualiser leurs forces pour développer leur localité. Réunis autour du mouvement «Ensemble pour Guédiawaye» (EPG), ces jeunes d’ici et de la diaspora ont montré, face à la presse hier, leur volonté de réunir tous les mouvements associatifs de la localité pour changer leur localité. Une association qui se veut inclusive. De l’avis du président du comité de pilotage Tamsir Amadou Salif Ba, plus de 50 ans après sa création, Guédiawaye a connu des progrès timides dans les domaines politiques, économique, social, culturel etc. Ce qui pousse aujourd’hui « ses fils à mobiliser toutes les ressources humaines pour développer ensemble la ville. Même s’il reconnaît que des évolutions ont été notées relativement à son statut politique et administratif, l’ancien directeur général de l’Agence de l’Informatique de l’Etat (Adie) renseigne que l’avancement de la ville demeure largement insuffisant au regard du potentiel immense dont elle regorge. A l’en croire, Guédiawaye est l’une des zones les plus prisées de la région de Dakar du fait de ses atouts environnementaux. Pour Tamsir Salif Ba, chaque ressortissant de Guédiawaye doit trouver sa place dans EPG en y apportant son talent, ses compétences et ses ambitions.
17.000 compteurs de Sen’Eau impropres à l’utilisation
Les soupçons du président de Sos Consommateurs, Me Massokhna Kane, ont été confirmés par la Division de la Métrologie du ministère du Commerce. L’avocat avait alerté sur la mauvaise qualité des compteurs de Sen’Eau qui sont à l’origine des factures d’eau trop chères. La Division de la Métrologie qui s’était saisie du dossier, avait convoqué toutes les parties prenantes pour assister aux tests sur lesdits compteurs au laboratoire d’étalonnage du Port Autonome de Dakar (PAD). Le résultat est sans équivoque. Le nombre de compteurs défectueux de marque «Itron» avait dépassé le seuil de tolérance d’erreurs conformément à la réglementation en vigueur, confirmant ainsi la position de SOS consommateurs. Ce qui signifie, d’après un communiqué signé par Me Kane, que tout le stock de 17.000 compteurs de marque «Itron» a été considéré comme «non conforme» et donc mauvais et impropre à l’utilisation. Ainsi, SOS consommateurs demande au ministère du Commerce de saisir immédiatement le stock des 17.000 compteurs de marque Itron détenus par Sen’Eau, en vue de sa destruction au nom de la protection des consommateurs sénégalais. L’avocat invite les consommateurs à s’opposer à l’installation de tout compteur de cette marque ou le cas échéant, d’en demander le changement s’ils ont déjà été installés. Sen’Eau est invitée à rembourser les usagers.
EL Hadji Diadji Condé sous mandat de dépôt
El Hadji Diadji Condé a été placé hier sous mandat de dépôt par le juge du 2e cabinet. «Selon Libération online», le sort des députés de Benno Bokk Yaakaar (Bby) Mamadou Sall et Boubacar Biaye, trempés dans cette affaire de trafic de passeports diplomatiques, est désormais entre les mains du juge instructeur.
Alpha Condé : «Je préfère être tué que de signer ma démission»
«Je préfère être tué que de signer ma démission.» C’est ce que Alpha Condé a indiqué à la délégation de la Cedeao qui l’a rencontré récemment, d’après «Jeune Afrique». Selon la même source, «l’ancien Président guinéen demeure détenu dans l’antenne des forces spéciales installée dans une aile du Palais du peuple, à l’entrée de Kaloum, et plus précisément dans la suite où vivait précédemment le lieutenant-colonel Mamady Doumbouya».
Daba Ndiaye ébouillante la femme de son beau-frère
On dit souvent que la femme du beau-frère est la pire des rivales. Diatou Ba en est la preuve illustrative. La dame vit le calvaire chez son époux. Tout cela, parce qu’elle ne s’entend pas avec sa belle-sœur et avec la femme de son beau-frère, Daba Ndiaye. Elle a eu une altercation avec cette dernière qui l’a aspergée d’eau chaude, sur le dos et le postérieur. Elle s’en est sortie avec une Incapacité Temporaire de Travail (Itt) de 10 jours. Diatou Ba avait déposé une plainte. Devant la barre hier, les séquelles de ses blessures étaient toujours lisibles. D’après Diatou Ba, sa belle-sœur et la prévenue se moquaient d’elle et lui jetaient des piques. Le jour des faits, poursuit la victime, elle a croisé à la boutique Daba Ndiaye qui l’a menacée après leur bagarre. De retour à la maison, cette dernière a fait bouillir de l’eau. N’eussent été les voisins qui ont crié pour qu’elle se sauve, c’est sur le visage que Daba Ndiaye allait lui verser l’eau chaude. La prévenue reconnaît avoir causé des blessures à la victime. Pour le ministère public, la prévenue a bien mûri son plan en faisant bouillir de l’eau. Cela aurait pu être pire, de l’avis du parquetier qui a requis 8 mois de prison ferme. Daba Ndiaye est condamnée à 02 ans dont 08 mois ferme. Elle devra allouer 200.000 Fcfa à Diatou Badiane.
Hôpital Psychiatrique de Thiaroye
L’hôpital psychiatrique de Thiaroye rencontre de nombreux problèmes. En effet, la structure sanitaire de niveau 03 souffre de vétusté, d’un manque de psychiatres et de matériel. Ce qui a poussé le responsable local du Sdt/3S de la structure sanitaire, Ousseynou Wade, à exiger des autorités étatiques plus de considération pour leur espace de travail très fréquenté.
Gakou veut déboulonner Aliou Sall
Absent de la scène politique de Guédiawaye depuis plusieurs mois, le leader du Grand parti (Gp) Malick Gakou a refait surface à travers la coalition Yewu askan wi. Et c’est pour annoncer son intention de déboulonner les maires de la mouvance présidentielle dont ceux de Benno Bokk Yaakaar y compris celui de la Ville de Guédiawaye Aliou Sall. Ce dernier, qui est arrivé en 2013 à Guédiawaye, a réussi à s’imposer dans l’espace politique jusqu’à décimer les bases de Gakou dont la commune de Sahm notaire. Et la question qu’on se pose est de savoir si Gakou pourra inverser la tendance. C’est dire que la bataille politique de Guédiawaye aura lieu.
Fuites d’hydrocarbures à Dalifort
Les populations de la commune de Dalifort courent un réel danger avec des fuites d’hydrocarbures des pipelines de la Société Africaine de Raffinage (Sar) au niveau des bassins de rétention, qui peuvent affecter les yeux. Nos sources signalent qu’une équipe de l’administration dirigée par le Gouverneur de Dakar, Al Hassan Sall et le Préfet de Pikine étaient hier sur les lieux avec les autorités du ministère de l’Environnement et de la Sar pour procéder à l’inspection des lieux en vue de trouver des solutions
DROITS NUMÉRIQUES : PLUS DE 54 MILLIONS FCFA RÉPARTIS ENTRE LES ARTISTES
Dakar, 13 sept (APS) - La Société sénégalaise du droit d’auteur et des droits voisins (Sodav) a démarré, lundi, le paiement des droits numériques aux artistes pour un montant global de 54 millions 104 mille 116 francs CFA, a appris l’APS.
Ce montant concerne le premier semestre 2021, précise la Sodav, dans un communiqué de presse reçu à l’APS.
Le paiement de ces droits numériques est destiné aux auteurs de musique et chanteurs religieux.
Pour la musique, les ayants droit se partageront la somme de 20 millions 898 mille 455 francs CFA, tandis qu’une enveloppe de 33 millions 205 mille 661 francs CFA sera répartie entre les auteurs religieux.
La présidente du conseil d’administration (PCA) de la Sodav, Ngoné Ndour, a été réélue pour un mandat de trois ans lors d’une assemblée générale organisée par la Sodav en juin dernier.
LES CHIFFRES DE LA PAUVRETÉ À LA UNE DES QUOTIDIENS
Dakar, 14 sept (APS). Les chiffres de la pauvreté au Sénégal révélés par l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD) sont largement commentés par les quotidiens reçus mardi l’APS.
Selon Walfadjri, ‘’La pauvreté gagne du terrain au Sénégal’’.
’’Alors que le gouvernement s’enorgueillit d’un +Sénégal émergent+, la majorité de la population se considère comme étant pauvre. Une étude de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd) montre que le nombre de pauvres a augmenté au Sénégal (5 832 008 en 2011 contre 6 032 379 en 2018). Pire, 50,9 % des sénégalais se +considèrent comme pauvres+’’, écrit Walf.
Le nombre de pauvres a augmenté entre 2011 et 2018 au Sénégal, passant de 5, 8 millions à plus 6 millions alors que le taux de pauvreté monétaire a enregistré une baisse de cinq points sur la même période, a-t-on appris de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), lundi.
Le taux de pauvreté monétaire est estimé à 37,8% entre 2018 et 2019, soit une baisse du niveau de pauvreté de cinq points par rapport à 2011 (42,8%). Malgré cette baisse du taux de pauvreté, le nombre de pauvres a augmenté au Sénégal (5 832 008 en 2011 contre 6 032 379 en 2018), a indiqué la structure dans les résultats d’une enquête rendus publics le même jour.
L’enquête harmonisée sur les conditions de vie des ménages (EHCVM) a, dans le même temps, révélé que la pauvreté était, sur la même période, davantage accentuée en milieu rural (53,6% contre 19,8% pour le milieu urbain) où il ressort une baisse plus importante du niveau de pauvreté par rapport à 2011 (5,2 points contre 2,1 points pour le milieu urbain).
Les résultats de l’enquête ont également fait ressortir que le taux d’extrême pauvreté était passé de 12,2% à 6,8% entre 2011 et 2018.
Le Sénégal a réalisé, sur l’initiative de la Commission de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA), une enquête harmonisée sur les conditions de vie des ménages (EHCVM) financée par la Banque mondiale (BM).
L’EHCVM est une des composantes principales du programme d’harmonisation et de modernisation des enquêtes sur les conditions de vie (PHMECV) dont l’objectif est de renforcer les capacités des Etats membres de l’union dans la conception, la mise en œuvre, le traitement et l’analyse des données d’enquêtes pour l’évaluation de la pauvreté, a rappelé l’ANSD.
’’Conditions de vie au Sénégal, les pauvres en hausse’’, affiche à la Une Le Quotidien.
’’Le nombre de pauvres au Sénégal, malgré le recul du niveau de la pauvreté monétaire de 5 points de pourcentage, est passé de 5 millions 832 mille 008 en 2011 à 6 millions 032 mille 379 en 2018, soit une hausse de plus 200 mille individus’’, écrit le journal.
Il précise que ‘’c’est du moins ce qui ressort du tout dernier rapport final de l’Enquête harmonisée sur les conditions de vie des ménages (Ehcvm) de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (Ansd)’’.
’’Plus de 6 millions de pauvres au Sénégal’’, affiche à la Une le quotidien Kritik, relevant qu’avec un taux de pauvreté de 65,7%, la région de Sédhiou ‘’remporte le trophée’’.
Sud Quotidien note que ‘’le nombre de pauvres passe à 5, 8 millions à plus de 6 millions’’.
Selon Vox Populi, ‘’le taux de pauvreté baisse, le nombre de pauvres augmente. Sédhiou est la région la plus frappée par la pauvreté, Dakar, la moins touchée’’.
L’Info souligne que ‘’d’après une enquête de l’ANDS, la pauvreté est en hausse au Sénégal’’. Et le journal de noter que ‘’l’insécurité alimentaire est une réalité au Sénégal particulièrement à Kolda, Kédougou, Séddhiou, Tamba et Matam’’.
D’après le rapport final, des disparités sont notées sur le niveau de pauvreté selon le milieu de résidence, souligne Lii quotidien, ajoutant que l’analyse montre que les ménages du monde rural sont plus exposés au phénomène de pauvreté que ceux du milieu urbain.
Le journal L’As relève que ‘’dans son étude (….) l’ ANSD a fait le profilage de la pauvreté lui permettant d’identifier et de caractériser les pauvres. Il s’agit de la taille du ménage, du sexe, de l’âge et de la situation matrimoniale’’.
’’Sous ce rapport, les enquêteurs ont conclu que les ménages dirigés par des femmes sont moins pauvres que ceux dirigés par les hommes’’, ajoute la publication.
Alors que les chiffres de la Covid-19 sont sur une tendance baissière depuis plusieurs semaines, le quotidien Enquête prévient que ‘’le Sénégal n’est pas à l’abri d’une nouvelle vague’’.
’’Le Sénégal n’est pas épargné par une nouvelle poussée épidémique. Cette précision est du directeur du Centre des opérations d’urgence sanitaire (COUS). Le docteur Alioune Badara Ly faisait, lundi, l’évolution de la pandémie dans le pays’’.
Dans un entretien avec L’Observateur, Dr Alpha Amadou Sall, administrateur général de l’Institut Pasteur de Dakar, soutient qu’’’Il ne faut pas exclure une 4e vague de coronavirus. Il faut préparer le scénario où la Covid-19 pourrait devenir une endémie’’.
Dans le quotidien Le Soleil, le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) souligne que ‘’le Sénégal est un exemple pour la justice internationale’’. Karim Khan était en visite au Sénégal où il a été reçu par le président Macky Sall.