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30 avril 2025
Sports
IL N'EST PAS QUESTION EN 2023 QU'ON NE RENTRE PAS AVEC LA COUPE
En 2023, les lions vont mettre leur titre de champions d’Afrique en jeu en Côte d’Ivoire. Et pour Matar Bâ, le ministre des Sports, il n’est pas question de revenir de chez Ouattara sans la coupe
En 2023, les lions vont mettre leur titre de champions d’Afrique en jeu en Côte d’Ivoire. Et pour Matar Bâ, le Ministre des Sports, il n’est pas question de revenir de chez Ouattara sans la coupe. Il a fait la déclaration à Sédhiou, lors de la tournée du trophée de la Can.
«Nous avons une bonne fédération, une excellente équipe, un bon entraîneur. Mais on a un chef d’État qui met l’argent qu’il faut. Qui investit. Donc pourquoi nous priver de gagner cette coupe d’Afrique. C’est pourquoi je veux le rappeler et je continue de le dire, il n’est pas question en 2023 qu’on ne rentre pas avec ce trophée. Nous allons rentrer encore avec ce trophée.
Mais avant cela, nous irons en coupe du monde et on ne se fixe pas de limites. On est la première équipe africaine, on est l’équipe qui compte les meilleurs joueurs d’Afrique en Europe, on a un État qui va mettre les milliards qu’il faut et mobiliser les conditions de performance. Pourquoi maintenant on se fixe des limites. Non, on n’accepte pas ces limites. Il faut aller jusqu’au bout de cette compétition.»
LE BAYERN PASSE À UNE TROISIÈME OFFRE POUR MANÉ
Selon le quotidien allemand Bild, le club bavarois préparerait une troisième offre à Liverpool s’élevant à 35 millions d’euros + 5 millions d’euros de bonus pour conclure le transfert du Champion d’Afrique
Selon le quotidien allemand Bild, le club bavarois préparerait une troisième offre à Liverpool s’élevant à 35 millions d’euros + 5 millions d’euros de bonus pour conclure le transfert du Champion d’Afrique. Les deux premières propositions à 25 millions d’euros + 5,5 millions d’euros et 27,5 millions d’euros + 7,5 millions d’euros avaient été refusées par les Reds qui souhaiteraient à minima récupérer les 41M€ investis sur le sénégalais en 2016. Selon des informations, Liverpool espère entre 40 et 50 millions d’euros pour libérer Sadio de sa dernière année de contrat qui court jusqu’en Juin 2023. Les négociations se poursuivent.
Âgé de 30 ans et ayant tout gagné chez ce club de la Mersey, l’international sénégalais veut ouvrir un autre chapitre dans sa carrière en rejoignant l’Allemagne et le Bayern Munich où le coach Julian Nagelsmann le veut pour renforcer sa ligne d’attaque, mais aussi compenser un éventuel départ du buteur polonais Robert Lewandowski. De son côté, Liverpool a déjà anticipé le départ de son numéro 10 avec le recrutement de l’attaquant uruguayen Darwin Nuñes pour 100 millions d’euros, bonus compris, en provenance du Benfica de Lisbonne.
LES DEMI-FINALES DE LA COUPE NATIONALE PROGRAMMÉES CE MERCREDI
Les demi-finales de la Coupe nationale seniors de football opposeront ce mercredi Etoile Lusitana à la Linguère de Saint-Louis, d’une part, et le Casa Sports à l’AJEL de Rufisque, d’autre part.
Dakar, 14 juin (APS) – Les demi-finales de la Coupe nationale seniors de football opposeront ce mercredi Etoile Lusitana à la Linguère de Saint-Louis, d’une part, et le Casa Sports à l’AJEL de Rufisque, d’autre part.
Détenteur du trophée, le Casa pourrait réaliser le doublé coupe-championnat après avoir été sacré dimanche dernier.
L’équipe fanion du sud du pays avait battu Diambars en finale de la Coupe nationale seniors.
LES LIONS DÉBUTENT LEUR STAGE LE 22 JUIN
BASKET Seconde fenêtre éliminatoires Mondial 2023, à Alexandrie
L’Equipe nationale de basket débute le 22 juin prochain, sa préparation pour la seconde fenêtre des éliminatoires du Mondial 2023, prévue du 1er au 3 juillet prochain, à Alexandrie.
C’est le 22 juin prochain que l’Equipe nationale de basket débute sa préparation pour la seconde fenêtre des éliminatoires du Mondial 2023, prévue du 1er au 3 juillet prochain, à Alexandrie. Un stage qui devrait concerner une bonne partie des joueurs qui ont disputé la première fenêtre à Dakar. Par contre, le groupe d’une vingtaine de joueurs, composé d’expatriés et de locaux, sera renforcé par certains cadres dont le pivot des Hawks d’Altanta, Gorgui Sy Dieng, absent lors de la première fenêtre. Actuellement en vacances, les Lions devraient disposer de suffisamment de temps pour préparer dans les meilleures conditions ces éliminatoires du Mondial 2023. Un stage qui va se faire en régime internat et prévu à Dakar Arena.
Deux séances par semaine
En attendant de disposer de tout le groupe, le staff des Lions et la Direction technique nationale ont finalement décidé d’effectuer deux séances par semaine avec le groupe déjà en place. Des séances nocturnes entamées depuis hier au stadium Marius Ndiaye afin de permettre aux joueurs locaux de pouvoir continuer à travailler avec leurs clubs en cette fin de saison marquée par des matchs à enjeux. Dans un Groupe D équilibré, le Sénégal (58) occupe la tête du classement, à la faveur d’une meilleure différence de points, devant la République démocratique du Congo (4), l’Egypte (47) et le Kenya (- 109). Les hommes de Boniface Ndong sont crédités d’un bilan de deux victoires face à l’Egypte (75-57) et le Kenya (100-55) contre une défaite face à la Rd Congo (57-62).
Les Lionnes débutent demain
Qu’en est-il des Lionnes ? Elles seront aussi en stage à partir de ce mercredi en direction des échéances de 2023. Par contre, à l’inverse des Hommes, les Dames seront en régime externat au stadium Marius Ndiaye. Un premier rassemblement qui va durer une quinzaine de jours à raison d’une seule séance quotidienne. Après un repos d’une semaine, les Lionnes reprendront du 7 au 24 juillet en régime interne. Reléguées à la quatrième place de l’Afrobasket pour la première fois, les Lionnes entament ainsi une nouvelle aventure avec une politique de rajeunissement que prône la Direction technique nationale. C’est dans cettte optique que le Dtn, Moustapha Gaye, avait publié, en avril dernier, une liste de 17 joueuses composée en majorité de jeunes expatriées. Une liste qui devait être complétée de joueuses locales. Il s’agit de Ndèye Maty Mbaye (Ascvd), Couna Ndao (Ascvd), Ndèye Fatou Ndiaye (Duc), Mbarka Diop (Duc), Ndèye Siry Diagne (Slbc).
MATCH AMICAL, ÇA TRAINE TOUJOURS POUR LE SÉNÉGAL
La déclaration de Aliou Cissé au soir de la rencontre entre le Sénégal et le Rwanda sur la préparation de l’équipe nationale pour le Mondial fait croire que les Lions ont peu de chance de livrer un match amical.
La déclaration de Aliou Cissé au soir de la rencontre entre le Sénégal et le Rwanda sur la préparation de l’équipe nationale pour le Mondial fait croire que les Lions ont peu de chance de livrer un match amical.
Si cette crainte se concrétise il y a fort à craindre pour la performance de nos représentants à ce grand rendez-vous sportif. Ce d’autant plus que nos adversaires à savoir l’Equateur et les Pays-Bas alignent les rencontres. Les Sud-Américains ont livré récemment deux rencontres contre le Nigeria et le Cap-Vert.
Le choix porté sur ces adversaires africains est loin d’être un hasard puisque le Sénégal avec qui ils partagent la poule A est du même continent. On peut penser donc que les Equatoriens prennent très au sérieux les champions d’Afrique.
Du côté de la Fédération sénégalaise de Football on a l’impression que les choses ne bougent pas encore où sont au point mort. En tout cas si on en croit le patron du football sénégalais Mr Augustin Senghor l’espoir n’est pas permis de voir les Lions livrer des matchs de préparation «les équipes africaines n’ont pas d’espaces pour organiser les matchs. Il sera difficile voire impossible de jouer un match amical. La meilleure façon d’aider les sélections africaines c’est d’arrêter les éliminatoires du mois de septembre pour leur permettre de faire leur préparation» a-t-il fait comprendre.
En faisant allusion à la CAF et à la FIFA l’on peut penser que seules ces instances peuvent sauver les représentants africains à partir d’un réaménagement du calendrier des éliminatoires. Et pourtant pendant ce temps en Europe les équipes se livrent à des rencontres très intéressantes sous forme de tournoi comme la Ligue des Nations.
D’ailleurs l’autre adversaire de poule du Sénégal les Pays-Bas, y prend part et se frotte à de grandes nations de football comme la Belgique et la Pologne. Pendant ce temps notre pays traîne les pieds et peine à trouver de véritables partenaires pour avoir quelque chose dans les jambes.
La seule alternative pour l’heure est les rencontres des éliminatoires de la prochaine CAN. De quoi susciter des interrogations à savoir est-ce que d’ici la Coupe du monde il sera possible de livrer un match amical. Et au cas où le souhait de voir le réaménagement du programme de ces éliminatoires n’aboutit pas on risque d’être très en retard par rapport à nos futurs adversaires.
D’ici là peu de temps nous sépare du début du Mondial et tout manquement au niveau de la préparation peut se payer cash. Souhaitons qu’on n’en arrive pas là. Mais pour l’heure ce qui se dessine n’augure rien de bon pour l’équipe nationale du Sénégal.
LA RÈGLE DES CINQ CHANGEMENTS DÉFINITIVEMENT ADOPTÉE
C’est officiel. La règle des cinq changements a été adoptée, ce lundi, par l’Ifab (International football association board), lors de sa 136e Assemblée générale annuelle (Agm) qui se déroulait à Doha, la capitale du Qatar, pays hôte de Coupe du monde
C’est officiel. La règle des cinq changements a été adoptée, ce lundi, par l’Ifab (International football association board), lors de sa 136e Assemblée générale annuelle (Agm) qui se déroulait à Doha, la capitale du Qatar, pays hôte de la prochaine Coupe du monde du 21 novembre au 18 décembre 2022. Cette nouvelle réglementation du football sera officialisée à partir du 1er juillet prochain voire quatre mois avant le démarrage des joutes mondiales.
Sur la question, rappeler que les joueurs, suite à une demande de la Fifa en mai 2020 pour protéger leur bien-être des pendant la pandémie mondiale, l’Ifab a introduit un amendement temporaire donnant aux compétitions nationales et internationales de haut niveau la possibilité d’autoriser les équipes à utiliser jusqu’à cinq remplaçants ; cette disposition a été prolongée plusieurs fois avant son adoption définitive ce lundi. Lors de la réunion d’aujourd’hui (ndlr : lundi), l’Ifab a accepté les recommandations pour que cette option soit introduite de manière permanente dans les Lois du Jeu 2022/23.
« L’Agm, présidée par le Président de la Fifa, Gianni Infantino, et à laquelle assistaient des représentants de la Fifa, de la FA (Angleterre), de la FA irlandaise, de la FA écossaise, de la FA du Pays de Galles et de l’administration de l’Ifab, a également discuté des essais en cours sur les substituts en cas de commotion cérébrale, des alternatives possibles au hors-jeu et des derniers développements technologiques pour soutenir les officiels de match », explique le communiqué de l’Ifab.
Le manque de respect envers les arbitres et leur sécurité ont été identifiés comme des problèmes mondiaux. Les membres ont convenu de mettre en place des initiatives pour s’attaquer à ces problèmes, y compris des essais potentiels avec des caméras corporelles portées par les arbitres dans le football adulte de base.
Confirmation des trois temps de changements en plus de la mi-temps à la réunion d’hier de l’Ifab. Le Board a également décidé d’augmenter le nombre de remplaçants sur la feuille de match : on passe de 12 à 15. En gros, on va passer à une liste à 26 joueurs au Mondial.
LE COJOJ ET LE MINISTÈRE DE L’EDUCATION NATIONALE EN PARTENARIAT
Le ministère de l’Education nationale et le Comité d’organisation des Jeux olympiques de la jeunesse (COJOJ) Dakar 2026, ont procédé ce lundi, à la signature d’un accord de partenariat, a constaté l’APS
Le ministère de l’Education nationale et le Comité d’organisation des Jeux olympiques de la jeunesse (COJOJ) Dakar 2026, ont procédé ce lundi, à la signature d’un accord de partenariat, a constaté l’APS
«On doit relever le double défi d’une organisation réussi et irréprochable et une participation positive avec l’atteinte de performances sportives de haut niveau », a insisté Mamadou Talla sur la mobilisation autour de cet événement olympique, une première en terre africaine. M. Talla a rassuré de l’accompagnement de son ministère qui "est le principal bénéficiaire des jeux olympiques de la jeunesse, du fait de la tranche d’âge concernée 15-18 ans, qui se trouve essentiellement dans nos écoles et établissements’’.
Dans cette perspective, le ministre de l’Education nationale a révélé que le chef de l’Etat a signé le 02 décembre dernier, "le décret de création de la Fédération sénégalaise du sport scolaire (F3S)". "Permettez-moi de vous demander, dans votre rôle de mère de toutes les fédérations, de faciliter la future collaboration avec cette dernière", a-t-il lancé au président du Comité national olympique et sportif sénégalais (CNOSS), Mamadou Diagna Ndiaye.
Cette collaboration, a-t-il fait savoir, permettra au ministère de l’Education nationale de développer des programmes et des projets dans plusieurs domaines, citant la promotion et le développement du sport et de l’éducation physique à l’école, la relance des compétitions interscolaires, la mobilisation des acteurs de l’école autour JOJ Dakar 2026’ Dans le même sillage, Mamadou Diagna Ndiaye est revenu sur la nouveauté d’une telle organisation en Afrique, mais également sur le nombre d’athlètes et de pays participants. "Il s’agit d’embarquer toute la communauté éducative du pays dans la préparation de cet évènement inédit en Afrique et au Sénégal", a dit Diagne.
En effet, a-t-il ajouté, "ce sont 4676 jeunes athlètes âgés de 15 à 18 ans, issus des quatre coins du monde et de 206 comités nationaux olympiques, qui séjourneront dans notre pays’’. "Notre accord jette les bases pour des actions et initiatives concrètes comme entre autres l’organisation de sessions de formation des enseignants aux valeurs de l’olympisme pour leur meilleure diffusion en milieu éducatif, l’établissement du Brevet olympique, civique et sportif et le label Dakar 2026 au profit des meilleurs élèves et établissements scolaires", a-t-il ajouté.
S’adressant au ministre et à ses collaborateurs, Mamadou Diagna Ndiaye a salué la collaboration entre les deux équipes. "Elles ont posé les premiers jalons avec la participation de qualité d’enseignants à la première session de formation des formateurs au programme d’éducation aux valeurs olympiques’’, a-t-il rappelé, soulignant que cette formation était conduite par le Comité international olympique (CIO) à Dakar du 23 au 28 avril derniers. "Le partenariat est signé aujourd’hui avec le ministère, mais nous avons commencé à travailler depuis plus d’un an’’, a conclu le président du CNOSS.
SADIO MANE SE SENTIRA MIEUX AU BAYERN
Courtisé par le Bayern Munich, qui a vu sa première offre rejetée par Liverpool, l’attaquant des Lions serait mieux dans le club allemand. C’est en tout cas la position de son sélectionneur en équipe nationale, Aliou Cissé.
Courtisé par le Bayern Munich, qui a vu sa première offre rejetée par Liverpool, l’attaquant des Lions serait mieux dans le club allemand. C’est en tout cas la position de son sélectionneur en équipe nationale, Aliou Cissé.
« Sadio a joué à Salzbourg en Autriche, qui est frontalier, et cela veut dire qu’il ne va pas en terrain inconnu. Pour moi, le club où il se sentira le mieux, c’est le Bayern« , tranche Cissé qui n’a pas manqué de relever le style de jeu de l’équipe allemande.
« Le Bayern, c’est l’intensité, un football de pression avec un entraineur allemand », explique « El Tactico », dans les colonnes de Source A.
Pour rappel, le Bayern a également offert 40 millions d’euros à Liverpool comme indemnité de transfert. Ce n’est pas loin de ce qu’exige le club anglais afin de se séparer de sa star et c’est pourquoi le transfert serait en très bonne voie.
JE SUIS À L’AISE AU MAROC
L’ancien entraîneur de Diambars, Pape Babacar Gadiaga, déclare qu’il se sent bien au Maroc, un pays qu’il a choisi de rejoindre pour notamment mettre sa famille à l’abri du besoin
Dakar, 13 juin (APS) - L’ancien entraîneur de Diambars, Pape Babacar Gadiaga, déclare qu’il se sent bien au Maroc, un pays qu’il a choisi de rejoindre pour notamment mettre sa famille à l’abri du besoin et où il a fait monter l’Union Touarga de Rabat (élite marocaine) au terme de la saison 2021-2022.
"Au Maroc, je suis venu pour un projet technique, mais je ne vais pas vous mentir aussi, c’est pour gagner ma vie, mettre ma famille, ma femme qui s’est beaucoup sacrifiée pour moi, à l’aise", a confessé le technicien sénégalais trouvé à Rabat.
Gadiaga, qui a quitté la France en 2003 pour intégrer l’institut Diambars comme "un pari", estime que s’il devait prendre sa retraite au Sénégal en tant que technicien, il aurait été obligé de "demander de l’argent pour joindre les deux bouts".
"Et c’est pourquoi, à un certain moment, j’avais décidé de quitter le Sénégal pour retourner en France, où mon épouse était déjà et reprendre le cours de ma vie", a-t-il dit.
Il explique que c’est à ce moment-là, après le début de la Covid-19 en 2020, que l’opportunité de rejoindre le Maroc s’est présentée.
L’ancien adjoint d’Alain Giresse en sélection nationale A a tenu à remercier le technicien sénégalais Demba Mbaye qui a joué un rôle dans l’aboutissement de ce projet.
"C’est un bon projet sur le plan technique, et je me retrouve en tant que travailleur dans la mesure où je peux mettre à l’abri ma famille", a précisé le technicien, qui a fait monter son équipe dans l’élite et a joué un quart de finale de la Coupe du Trône, perdu (1-3) contre le FUS de Rabat.
La qualité de vie au Maroc est meilleure qu’en Europe, estime le technicien sénégalais, qui a vécu pendant plusieurs années en France.
"C’est proche de la France et ma famille, notamment ma femme, vient me rendre visite tous les mois et j’ai l’opportunité d’aller à Fès à chaque fois pour le pèlerinage", a indiqué le natif du quartier de Bopp, à Dakar.
En tant que technicien, il considère que c’est un rêve de travailler au Maroc où les conditions sont réunies avec des infrastructures de très haut niveau pour les entraînements et la compétition.
"Pendant la saison, j’ai joué une compétition extrêmement compliquée où le mot d’ordre est la gagne, tout est fait pour atteindre les objectifs", a-t-il dit, soulignant qu’en cas de mauvais résultats, le technicien peut rapidement en faire les frais.
La pression du résultat est permanente, rappelle le technicien sénégalais, qui a eu un bilan de 15 victoires, 10 matchs nuls et cinq défaites en championnat.
Au sujet d’un éventuel retour à Diambars où il a passé 17 ans de sa vie, Gadiaga a répondu qu’on ne peut jamais dire jamais.
"Mais actuellement, je suis vraiment bien au Maroc où je gagne bien ma vie et je suis bien sur le plan professionnel", a-t-il insisté, ajoutant cependant avoir l’ADN Diambars en lui.
"Je suis imbibé, marqué Diambars. Je ne reste pas un jour sans avoir des nouvelles de l’institut par les résultats du club où par le canal des anciens pensionnaires, ça restera à jamais", a-t-il assuré.
Il a rappelé avoir décidé de partir lorsqu’il a senti que ses ambitions de gérer les équipes nationales seniors et olympique, n’avaient pu être assouvies.
SALAH MET LES CHOSES AU CLAIR SUR SA RELATION AVEC MANÉ
Interrogé par France Football, Mohamed Salah assure qu'il y a aucune animosité entre lui et Sadio Mané, son coéquipier à Liverpool. L'Égyptien assure même le contraire
Sadio Mané et Mohamed Salah ne sont pas en froid. Malgré de nombreuses rumeurs concernant d'éventuelles tensions entre les deux joueurs de Liverpool, l'international égyptien assure que tout ce passe bien avec son coéquipier, sur le terrain comme en dehors.
"Si on parle de rivalité entre nous, d'égoïsme, je suis en total désaccord. Je ne sais pas d'où ça vient... J'ai une belle relation avec Sadio, nous échangeons normalement, nous sommes assis côte à côte dans le vestiaire. Notre intérêt est que Liverpool gagne tous les matchs, donc nous nous efforçons de nous passer le ballon pour inscrire le plus de buts possible. Cherchez un joueur de mon profil en Premier League, vous n'en trouverez aucun qui adresse autant de passes décisives que moi", explique-t-il dans les colonnes de France Football.