Dakar, 9 oct (APS) - L’édition 2016 du Salon d’automne de Paris, une exposition annuelle d’œuvres d’art fondée en 1913, va accueillir du 13 au 16 octobre, des artistes de la dernière Biennale de Dakar, une initiative qui sera combinée avec la commémoration du 60e anniversaire du premier Congrès des écrivains et artistes noirs, organisé en 1956, a-t-on appris des organisateurs.
Le Salon d’automne accueille "pour la première fois des artistes africains", à l’initiative de l’ancien député européen Fodé Sylla, fondateur du think tank Un nouveau départ pour l’Afrique (UNDPA) et ambassadeur itinérant auprès du président de la République Macky Sall.
Le Sénégalais Omar Ba et le Tunisien Omar Bey, ainsi que d’autres artistes sélectionnés lors de la dernière édition de la Biennale de l’art africain contemporain Dak’art (3 mai-2 juin 2016) ont été retenus pour cet évènement partie d’une suggestion de M. Sylla, consistant à réserver "un espace africain" au Salon d’automne, en son édition 2016.
Outre ces deux artistes, d’autres sélectionnés du dernier Dakar vont participer à cette exposition, à savoir Gopal Dagono, Poku Cheremeh, Bill Bidjocka, Osvalde Lewat.
Quelque 35000 visiteurs sont ainsi attendus à cette exposition dont le sculpteur Ousmane Sow, membre de l’Académie française des Beaux-arts, a accepté d’être l’invité d’honneur, même s’il ne devrait pas être présent à la manifestation.
Les représentants de la Biennale de Dakar, dont le président du Comité d’orientation du Dak’Art 2016, Baïdy Agne, le directeur du Palais des Beaux arts de Bruxelles, les maires de Aubervilliers et de Paris sont pour leur attendus à cette exposition, selon Fodé Sylla.
"Cette exposition permettra de donner une plus grande visibilité à la création artistique africaine dans toute son originalité et aux artistes trop peu connus du grand public", peut-on lire dans un dossier de presse reçu des organisateurs.
"Pour la première fois et grâce à ses partenariats, ajoutent-ils, l’Afrique va faire son Salon avec une exposition mais aussi une journée de débats consacrée à l’apport des +Afriques+ à la culture universelle".
De fait, le programme de cette exposition sera "enrichi par une journée de débat et d’échanges", le dimanche 16 octobre, avec au menu un hommage au "grand éditeur, le regretté Alioune Diop", l’un des organisateurs, en 1956, le premier Congrès des écrivains et artistes noirs, indique un communiqué des organisateurs
Cette rencontre historique, dont le fondateur de la Revue "Présence africaine" était la cheville ouvrière, avait réuni des intellectuels les plus en vue de cette époque, Léopold Sédar Senghor, Aime Césaire, Frantz Fanon, entre autres, ‘et donna "une dimension universelle à la pensée noire".
A cette occasion, des curateurs, des galeristes comme Daniel Templon "échangeront sur le marche de l’art africain", en présence de personnalités françaises comme Jacques LANG et d’entrepreneurs tels que le Guinéen Kerffala Camara (KPC).
"Dans la même veine, conclut le communiqué, des politiques comme Julien DRAY ou Karim Keïta (député malien) vont se pencher sur les nouveaux défis de partenariat France/Afrique"
32,5 MILLIARDS D’UNE FILIALE DE LA BID POUR ACCOMPAGNER LA SONACOS
Dakar, 9 oct (APS) - Le Sénégal a obtenu de la Société internationale islamique de financement du commerce (ICFT, en anglais) "un prêt d’un montant de 75 millions de dollars, soit 32,5 milliards de FCFA pour accompagner la SONACOS S.A. dans la commercialisation des graines d’arachides", a appris l’APS, dimanche.
Ce concours financier de la filiale de la Banque islamique de développement (BID) "sera rétrocédé à la SONACOS S.A. pour l’achat des graines d’arachide", précise un communiqué reçu des services du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan.
Ce financement "sera accessible aux producteurs d’ici à la fin de ce mois d’octobre 2016", ajoute-t-il.
La Suneor, la plus grande industrie d’huilerie sénégalaise, a été rebaptisée SONACOS SA en juillet dernier. Elle portait le nom Suneor depuis 2005, année de sa privatisation au profit du groupe Adevens.
L’ancien fleuron industriel en butte à des difficultés jugées sérieuses, est revenu dans le giron de l’Etat, qui détient 99, 78 % des actions.
Début mai dernier, l’ancien directeur général de la Société nationale d’électricité (SENELEC), Pape Dieng, a été nommé directeur général de la Suneor, avec comme mission la relance de l’entreprise au côté de Youssoupha Diallo, nommé lui président du conseil d’administration.
M. Dieng confiait après sa nomination que les dettes de l’entreprise s’élèvaient à 54 milliards de francs CFA pour des pertes sur capital évaluées à 17 milliards de francs CFA.
"Nous avons trouvé l’entreprise dans une situation extrêmement difficile du point de vue des dettes, du point de vue des pertes au niveau du capital. Il faut renflouer la structure par un apport de fonds propres et restructurer la dette", avait-il expliqué lors d’un déplacement à Diourbel.
Il avait dans le même temps annoncé que la Suneor allait devoir vendre quatre hectares de son patrimoine foncier à Dakar, pour renflouer le capital de son usine et sécuriser son approvisionnement en arachides lors de la prochaine campagne de commercialisation.
Terra est une émission qui s’intéresse aux questions environnementales met à nu les agressions faites par l’homme sur la nature et les espèces qui vivent sur la planète.
Suivez ce débat passionné qu'il faut absolument regarder entre Matar Ba le président de PERLq et le premier adjoint au maire de Dakar Cheikh Gueye.
Une très bonne nouvelle pour le secteur touristique du pays : la France vient de sortir la Casamance de la zone de haut risque pour ses concitoyens ! Le début de la renaissance ?
La grande nouvelle est parvenue à notre rédaction à travers un communiqué qui stipule que "Sur proposition de l'Ambassade de France à Dakar, la +Carte Conseils aux voyageurs+ publiée par le Ministère des Affaires étrangères et du Développement international a été modifiée : la Casamance n'est plus classée comme étant une zone à risques".
Une excellente nouvelle qui permettra sans doute de relancer l'activité touristique dans cette zone sud du pays naguère appréciée des voyageurs français. En effet, très fréquentée dans les années 1970-1980, la région naturelle de la Casamance a vu ses activités économiques ébranlées, en particulier le tourisme par la crise qui la secoue depuis plus de 30 ans.
Les affrontements entre le mouvement indépendantiste du MFDC et l'armée nationale ont transformé la zone en champs de mines, pour ne pas dire champ de bataille. La région n'est plus la destination rêvée des touristes et même, certaines ambassades, dont la France, avaient formellement interdit leur ressortissant d'aller dans cette zone sud. Un véritable coup dur pour la Casamance. Depuis lors l'économie de cette zone tourne au ralenti. Le tourisme, principale source de revenus de cette partie du pays, décline. Les effets collatéraux sont nombreux pour l'écosystème touristique entre commerçants, hôteliers, village artisanat.
La verte Casamance possède d'innombrables atouts sur le plan naturel, culturel et aujourd'hui politique. Avec cette nouvelle, et la volonté des autorités à faire du Sénégal un hub touristique l'espoir est permis. La région naturelle pourra retrouver son lustre d'antan espérer revivre ses époques glorieuses avec cette bonne nouvelle de l'ambassade de France.
Cependant, la destination Sénégal se trouve dans une position incommode du fait de la concurrence des pays comme la Mauritanie, le Cap-Vert, et les pays du Maghreb (Maroc, Tunisie, Egypte, Algérie).
Au Sénégal, le secteur touristique est classé comme étant la seconde source de rentrée de devises derrière la pèche dans l'économie nationale. Le tourisme est dans certaine localité le premier pourvoyeur d'emploi et de richesse, c'est le cas de la verte Casamance, non seulement de par sa position, mais aussi de la richesse de sa faune et sa flore ainsi que sa diversité artistique et culturelle.
Avec l'avènement du président Macky Sall beaucoup de tentatives de relance de a filière ont été faites. Cela va de la suppression des visas d'entrée à l'exonération des taxes et impôts dans le secteur touristique. Couplé à cela les négociations de paix entre l'Etat du Sénégal et les combattants du MFDC sous l'égide d'Eglise catholique, le sud du Sénégal connait une accalmie. Ce qui a donné une lueur d'espoir a tout un chacun.
LE NOUVEAU SECTEUR PÉTROLIER APPELLE À UNE MUTUALISATION
Une économie qui se développe et s'enrichit comme celle du Sénégal avec le secteur pétrolier et gazier a besoin de mutualiser les forces, pour éviter une fuite massive de ses primes d'assurances a indiqué lundi dernier Mor Adj Administrateur Directeur Général de CNART- assurances.
L'arrivée du secteur pétrolier et gazier doit impliquer une nouvelle organisation afin de pouvoir augmenter les capacités de rétention des primes d'assurance au niveau local. C'est la conviction de Mor Adj qui s'exprimait lors de l'ouverture de la 21ème édition du forum de la réassurance africaine.
"Aujourd'hui, il est plus important dans une économie telle que la nôtre qui se développe et s'enrichit du secteur pétrolier et gazier de mutualiser les forces, d'augmentation des capacités de rétention des primes d'assurance au niveau local soit plus importante pour éviter une fuite massive de ses primes d'assurances. Et pour ce faire, il doit avoir une certaine solidarité entre compagnies; développer la coassurance et avoir recours à la réassurance à travers d'autres sociétés de réassurance dans la sous région" a soutenu monsieur Adj.
Une mutualisation sur laquelle a insisté Birima Mangara, Ministre du Budget venu présider la rencontre.
"l'industrie de la réassurance devrait travailler plus dans la perspective d'une mutualisation des capacités africaines de réassurance. Ceci dans l'optique de se positionner comme acteur majeur de développement. La mutualisation des capacités africaines de réassurance constitue une approche à développer afin d'accroître sensiblement la rétention de prime sur notre continent aux fins de parvenir à une contribution encore plus significative de l'industrie des assurances au financement de nos économies" a expliqué le Ministre.
Le secteur de l'assurance fait face à de nombreux défis, notamment l'élévation du niveau du capital des fonds propres, les nouveaux risques comme la cybercriminalité, la sécurité, les changements climatiques, l'apparition du digitale ou encore le respect des ratios de bonne gestion. C'est pourquoi, le forum a choisi comme thème: "L'Assurance et la réassurance africaine face à de nouvelles choix stratégiques".
Faire face à ces défis et les relever, pour Bachir Baddou, Président de l'Organisation Africaine des Assurances (OAA), par ailleurs patron de la Fédération Marocaine des Sociétés d'Assurance et de Réassurance (FMSAR), est la seule voie pour accompagner le dynamisme économique du continent. Pour le moment, malgré une croissance appréciable, le secteur de l'assurance est encore le maillon faible de cette évolution. Bachir Baddou y voit une opportunité.
"L'Afrique est un continent qui bouge avec une croissance appréciable, des populations s'émancipent, les industries se développement et l'assurance est nécessaire pour accompagner ce dynamisme croissant. Mieux, la part de marchés en Afrique dans le secteur est seulement de 1,4%" a plaidé l'assureur marocain.
Durant trois jours 350 experts, acteurs et observateurs venus d'une vingtaine de pays d'Afrique ont échangé sur tous ces sujets à travers des panels et ateliers.
Le Maroc est l'invité d'honneur de la foire internationale des régions, de l'agriculture et de l'agroalimentaire "Portugal Agro" 2016 ont annoncé dans un communiqué les organisateurs.
S'il y a un domaine dans lequel le Maroc fait de bonnes performances, c'est bien l'agriculture. La preuve, l'agriculture du royaume cherifien est à l'honneur lors de la 3ème édition de "Portugal Agro" prévue du 28 au 30 octobre à Lisbonne.
Organisée la Foire internationale de Lisbonne (FIL) et relevant de la Fondation AIP (Association industrielle portugaise), la Foire "Portugal Agro" est un rendez-vous qui réuni autant les professionnels que le grand public.
La distribution, l'hôtellerie, l'agriculture et de l'équipement, la restauration, du commerce de détail, ou encore la gastronomie, auront une place de choix au cours de ce salon. Concrètement, seront organisés des séances de tests de produits, des séances de dégustations et des rencontres gastronomiques. De plus, au cours d'ateliers culinaires et de showcooking, Portugal Agro, offre aux participants et visiteurs un véritable voyage à travers les saveurs de différents pays. Pour cette année , le Maroc aura une place de choix.
Avec quatre millions d'emplois, le secteur agricole marocain est l'un des principaux secteurs d'activité du royaume renseigne le site officiel du Ministère de l'agriculture. La population rurale est d'ailleurs estimée à 18 millions de personnes, ce qui représente 49% de l'ensemble des ménages au niveau national. A l'international, les importations agricoles représentent entre 14 et 24% des importations globales. Quant aux exportations agricoles, elles représentent entre 15 et 21% des exportations globales. Enfin le PIB agricole du Maroc a plus que doublé depuis les années 60.
LA BCEAO POUR DES SERVICES FINANCIERS SOUPLES ET PROTECTEURS
La BCEAO a organisé mercredi un atelier dédiée au partage du document-cadre de politique et de stratégie régionale d'inclusion financière dans l'UEMOA. Ont participé à cette rencontre l'ensemble des acteurs du secteur bancaire et de la finance.
Les acteurs du secteur bancaire et de la finance se sont donnés rendez-vous au Novotel pour échanger avec la BCEAO qui présentait sa nouvelle stratégie liée à l'inclusion financière. Venue représenter le patron de la BCEAO, madame Khady Beye Camara, après avoir salué la présence de tous les partenaires, s'est félicitée de la démarche de la banque consistant à déployer un système souple et incitatif pour que les populations aient un accès facile aux services financiers.
Une grande partie de l'UEMOA n'accède pas aux services financiers. C'est ce qu'à fait savoir François Sène Directeur de l'Agence Principale dans son propos. Selon lui, le partage du document-cadre de la nouvelle stratégie régionale d'inclusion financière dans l'UEMOA , a pour objectif de réunir l'ensemble des acteurs, de procéder à un état des lieux fédérateur et amener les populations par un système souple à les intéresser aux services financiers.
"Si les populations n'ont pas accès aux financements, elles ne peuvent pas développer leurs activités et avoir des opportunités d'accroître leurs revenus, pour générer des activités génératrices de revenus et un meilleur cadre de vie des populations de l'Union. Il s'agit ainsi de déployer la stratégie régionale d'inclusion financière et regrouper autour de la Banque centrale l'ensemble des acteurs pour porter l'information" a souligné François Sène.
Dans le document, il est rappelé la volonté de permettre aux populations, notamment les populations rurales, les jeunes, les femmes de savoir qu'il y a une nouvelle stratégie qui se développe et qui est appliquée de façon uniforme dans l'Union. Il s'agit également de d'offrir aux populations non seulement un système souple, mais un système qui également les protège.
"Il est question de renforcer l'éducation financière et la protection des clients de services financiers. De les protéger des risques de surendettement et des tarification abusive" peut-on lire dans le document.
D'un coût global 20 Milliards de FCFA, la stratégie, dont 17, 8 Milliards viennent des partenaires, va être déroulée sur toute la zone UEMOA. Un budget que d'ailleurs certains intervenants ont trouvé assez court.
C'est Antonio Guterres, l'ancien patron du Haut Commissariat pour les réfugiés, qui devient le 9ème secrétaire général de l'ONU.
Il était le favori même si un certain nombre d'États avaient milité pour la désignation d'une femme.
Le Conseil de sécurité a décidé de ne pas désigner un candidat ou une candidate de l'Europe de l'Est.
Quels sont les défis qui attendent le succcesseur de Ban Ki-moon ?
PAR Baye Dame Wade
ENJEUX DE GOUVERNANCE MINIÈRE
Au Sénégal, avec l'adoption récente du nouveau Code minier, l'espoir est permis pour un meilleur rééquilibrage dans la redistribution pour davantage d'équité et de perspectives de développement national, surtout au niveau local
"Le Sénégal souhaite la juste rémunération des contrats miniers et pétroliers, dans le respect des exigences d'équité, de justice sociale et de responsabilité sociétale de l'entreprise. En ma qualité de Président du Comité d'orientation du NEPAD, je renouvelle l'appel de l'Afrique à la mise en œuvre diligente de l'initiative CONNEX du G7 sur le soutien aux pays en développement dans les négociations de contrats complexes, en particulier dans l'industrie extractive".
Depuis la 70ème AG de l'ONU en 2015 jusqu'au récent Sommet du G7 en Chine, le Président Macky Sall profite de toutes les tribunes internationales pour réclamer une nécessaire renégociation des contrats miniers et pétroliers et un meilleur partage des fruits de l'exploitation de ces ressources dont regorgent les sous-sols de nos pays sous-développés.
En effet, c'est un paradoxe incompréhensible tellement les multinationales, grâce à des contrats taillés sur mesure, se taillent la part du lion. Les Etats et collectivités locales abritant les usines se partageant quelques miettes sous couvert de redevances minières aux budgets des Etats ou de Responsabilité sociétale (RSE-tape-à-l'œil) au bénéfice des populations, plutôt appauvries…
En effet, les questions posées par la gestion des mannes minière et pétrolière sont loin d'être simples. On ne peut plus laisser les multinationales continuer à piller nos ressources au risque de semer les graines de la discorde, lourdes de tensions socio-politiques, dans nos pays.
Certes, au Sénégal, avec l'adoption récente du nouveau Code minier, l'espoir est permis pour un meilleur rééquilibrage dans la redistribution pour davantage d'équité et de perspectives de développement national, surtout au niveau local. Des terroirs ruraux qui manquent de tout et qu'il faut mettre à niveau en termes d'infrastructures de base (pistes de production, écoles, centres de santé, etc.) et autres activités génératrices de revenus pour leurs populations, dépossédées de terres de cultures. Soit une vraie Stratégie RSE et non de façade pour juste se donner bonne conscience. Et l'exemple à suivre, d'après tous les acteurs et observateurs, c'est SGO dans son exploitation aurifère à Sabodala…
Dans le même sens, le Président Macky Sall semble avoir pris de la hauteur dans la polémique liée à la découverte du pétrole avec les soupçons de délits d'initiés touchant des proches. Mais avec la création du Comité d'orientation stratégique du pétrole et du gaz devant dé nir les orientations stratégique, aux plans technique et institutionnel, la sérénité devrait revenir dans les rangs des protagonistes dont les esprits étaient plutôt surchauffés…
La vérité est qu'il faut tendre vers plus de transparence dans la gouvernance de ces ressources minéralières. Des mécanismes multipartites tels que l'ITIE existent. Il faut les renforcer pour les crédibiliser davantage aux yeux des acteurs et de l'opinion. Soit la seule solution pour une gestion apaisée et équitable de ces ressources stratégiques mais aussi explosives. Il suffit de peut pour allumer un feu dont personne ne peut prévoir où ça peut aller…
Entre "Malédiction" et "Bénédiction", le Sénégal est à la croisée des chemins. On ose espérer que nos dirigeants actuels sauront entrer dans l'Histoire en tant qu'acteurs d'une gouvernance éclairée, en "bon père de famille", de ce Don du Ciel, enfoui dans les entrailles de la Terre et dans les bas-fonds de l'Océan. Que le Bon Dieu exauce notre prière. Amine !