VIDEODANS LES COULISSES DU 'PROJET NATALISTE' D'ELON MUSK
Père d'au moins 14 enfants, le milliardaire américain mènerait une mission secrète pour "ensemencer la terre avec plus d'êtres humains de haute intelligence". Il est convaincu que "la civilisation va s'effondrer" sans un redressement démographique

(SenePlus) - Selon une enquête du Wall Street Journal (WSJ) publiée le 15 avril 2025, Elon Musk, l'homme le plus riche du monde, aurait eu au moins 14 enfants avec quatre femmes différentes, mais le nombre réel pourrait être bien plus élevé. Le journal américain révèle les coulisses d'une mission personnelle du milliardaire : engendrer de nombreux enfants avec des femmes qu'il estime intelligentes pour contrer ce qu'il considère comme une menace démographique.
D'après le le quotidien américain, Elon Musk est animé par une vision inquiétante : la civilisation serait menacée par le déclin démographique. "Sans bébés, il n'y a pas d'avenir, tous les problèmes deviennent secondaires par rapport au problème de ne pas avoir de personnes sur la planète", aurait expliqué Martin Varsavsky, ami de Musk et fondateur d'une grande chaîne de cliniques de fécondation in vitro aux États-Unis, qui dit avoir discuté avec le milliardaire des risques liés à la baisse des taux de natalité.
Lors d'une conférence d'investissement en Arabie saoudite l'année dernière, Musk aurait exposé l'urgence de la situation : "Je pense que pour la plupart des pays, ils devraient considérer le taux de natalité comme le plus grand problème qu'ils doivent résoudre. Si vous ne faites pas de nouveaux humains, il n'y a pas d'humanité, et toutes les politiques du monde n'ont pas d'importance", rapporte le journal.
Le Wall Street Journal explique que Musk considère ses enfants comme une "légion", en référence aux anciennes unités militaires romaines qui pouvaient compter des milliers de soldats. Selon des sources proches du milliardaire citées par le journal, il "est motivé pour corriger ce moment historique en aidant à ensemencer la terre avec plus d'êtres humains de haute intelligence".
Le média américain révèle également que Musk aurait recruté des mères potentielles sur sa plateforme de médias sociaux X, et aurait même proposé à Ashley St. Clair, une influenceuse de droite avec qui il a eu un enfant, d'avoir recours à des mères porteuses pour avoir plus d'enfants plus rapidement. "Pour atteindre le niveau de légion avant l'apocalypse", aurait-il écrit dans un message texte consulté par le Wall Street Journal, "nous aurons besoin d'utiliser des mères porteuses."
L'article du WSJ détaille également comment Jared Birchall, qui dirige le family office de Musk, gère les accords financiers et de confidentialité avec les femmes qui élèvent les enfants du milliardaire. Ashley St. Clair, 26 ans, se serait vu offrir 15 millions de dollars et 100 000 dollars par mois en échange de son silence concernant leur enfant, prénommé Romulus.
Lors d'une conversation téléphonique de deux heures en décembre, Birchall aurait conseillé à St. Clair de ne pas emprunter la "voie légale" dans ces discussions, car cela "conduit toujours, toujours à un résultat pire pour cette femme que ce qu'il aurait été autrement", selon les propos rapportés par le journal.
Le Wall Street Journal identifie plusieurs femmes qui ont eu des enfants avec Musk, dont la musicienne pop Grimes (Claire Boucher) et Shivon Zilis, une dirigeante de Neuralink, l'entreprise de Musk spécialisée dans les interfaces cerveau-ordinateur.
Selon le journal, Zilis jouirait d'un "statut spécial" auprès de Musk. Diplômée de l'Université Yale, elle "était membre fondatrice de l'équipe d'investissement de Bloomberg Beta et a figuré sur la liste 'Forbes 30 Under 30' du capital-risque en 2015", précise l'article. Elle aurait quatre jeunes enfants avec Musk, qui "passe du temps chez elle à Austin et l'emmène à des événements publics de haut niveau".
Le Wall Street Journal révèle également que Musk aurait approché l'influenceuse en cryptomonnaies Tiffany Fong pour lui demander si elle était intéressée à avoir son enfant, selon des personnes familières avec le sujet. Les deux ne se seraient jamais rencontrés en personne.
D'après le journal, Fong "n'a pas donné suite avec Musk parce qu'elle imaginait avoir des enfants dans une famille nucléaire plus traditionnelle", mais a confié cette approche à quelques amis, dont Ashley St. Clair. Lorsque Musk a appris que Fong avait divulgué sa demande à d'autres personnes, il l'aurait réprimandée pour son manque de discrétion et aurait cessé de la suivre sur X, ce qui aurait entraîné une baisse de son engagement et de ses revenus sur la plateforme.
Cette enquête du Wall Street Journal offre un aperçu rare de la vie personnelle de l'homme d'affaires, actuellement conseiller principal du président Trump et responsable du Département de l'efficacité gouvernementale, où il s'emploie à réduire le personnel et les milliards de dollars du gouvernement fédéral.