SenePlus | La Une | l'actualité, sport, politique et plus au Sénégal
28 avril 2025
Femmes
VIDEO
NA ÑU KO WAXTAANEE AK NDAW-YI
EXCLUSIF SENEPLUS #Enjeux2019 - Pour Ndioro Ndiaye, l'école doit être le lieu d'éducation, de prépraration et de sensibilisation des enfants contre les violences faites aux femmes - VIDÉO EN WOLOF
#Enjeux2019 - L’ambassadeur de la campagne On Billion Rising, Ndioro Ndiaye a procédé le 14 février 2019 à son lancement officiel sous le thème ‘’ Enjeux de l’égalité femmes-hommes et la lutte contre toutes formes de violences faites aux femmes dans la société sénégalaise’’. Elle livre au micro de SenePlus, les enjeux de cette question éminemment sociétales.
Voir la vidéo.
VIDEO
ATTENTION ! ELLES SONT LÀ
EXCLUSIF SENEPLUS - Nous sommes dans une société qui occulte le signalement, mais les violences exercées à l’encontre des femmes séniores ou en situation d’extrême vulnérabilité se passent chez nous, estime Penda Seck Diouf
C’est une question sociétale. Tous les jours la presse relaie des informations portant sur les violences basées sur le genre. Ce qui est plus inquiétant selon Penda Seck Diouf, c’est que ces violences se passent dans la sphère privée, familiale et s’exercent avec des armes. Elle prône un changement de regard à l'égard des femmes victimes de violences.
Voir la vidéo.
VIDEO
POUR UNE ENTIÈRE APPLICATION DES PEINES CONTRE LES VIOLENCES SEXUELLES
EXCLUSIF SENEPLUS #Enjeux2019 - Dior Fall Sow regrette le prétexte de situation atténuante pris par les juges pour justifier des peines moins lourdes prononcées contre certains auteurs de violences sexuelles
#Enjeux2019 - Selon Dior Fall Sow, la loi pénale bien que renforcée ne réprime pas suffisamment les cas de violence sexuelle. Selon l'avocate, certains juges en charge de ces questions rechignent à appliquer la loi dans toute sa rigueur.
‘’Un enfant de moins de 13 ans violée, normalement le juge doit appliquer les 10 ans prévus. Il n'y a pas sursis à exécution", déclare t-elle, ajoutant que la stricte application des peines prévues contribue à dissuader les indélicats.
Voir la vidéo.
VIDEO
NOUS NE DEVONS PAS COMMETTRE CETTE ERREUR
EXCLUSIF SENEPLUS - Brûler les cartes et les bulletins de vote équivaudrait à donner une victoire à Macky dès le premier tour - VIDÉO EN MANDINGUE
Youssouf Ba et Fanseyni Djité |
Publication 15/02/2019
Les sénégalais ne sont pas trop emballés par l’appel de Wade qui veut empêcher la tenue de l’élection présidentielle. Selon Khady Diamé et Bourama Seydi, brûler les cartes et les bulletins de vote équivaudrait à donner une victoire à Macky Sall dès le premier tour.
Leur réaction en vidéo.
VIDEO
L'ÉCOLE COMME REMPART AUX VIOLENCES FAITES AUX FEMMES
EXCLUSIF SENEPLUS #Enjeux2019 - Nous devons en parler, éduquer et préparer nos enfants pour que cela cesse – Ndioro Ndiaye lance la campagne de One Billion Rising, destinée au Sénégal
#Enjeux2019 - L’ambassadeur de la campagne On Billion Rising, Ndioro Ndiaye a procédé le 14 février 2019 à son lancement officiel sous le thème ‘’ Enjeux de l’égalité Femmes-Hommes et la lutte contre toutes formes de violences faites aux femmes dans la société sénégalaise’’. Elle livre au micro de SenePlus, les enjeux de cette question.
Voir la vidéo.
LA GRANDE ÉMISSION RADIO "CONFLUENCES"
AUDIO
SONKO, LA GRANDE MARCHE
EXCLUSIF SENEPLUS #Enjeux2019 - Que vaut Ousmane Sonko au-delà de ses propos détonnants ? Qu'en est-il de son programme de campagne ? Elgas et son équipe lèvent le voile sur le leader de Pastef en compagnie de Jacques Habib Sy, depuis Paris
#Enjeux2019 - Sonko, c’est à la fois un engagement patriotique, un sens aigu du travail et un propos clair porté par l'ensemble de la population dans une atmosphère inédite. Jacques Habib Sy se veut catégorique, l'engouement autour du leader de Pastef a moins avoir avec sa personne qu'avec l'état déliquescent du pays. Quand vous avez un jeune qui se lève pour dire stop, cela emporte l'adhésion de la masse", indique l'invité de Confluences. Selon ce dernier, le candidat de la coalition SonkoPrésident prône une rupture fondamentale dans la gestion de la chose publique. "Il est hors de question d’accepter les contrats avalisés par Macky Sall dans le secteur pétrolier", déclare Habib Sy, ajoutant qu'il vaut mieux renégocier ces contrats que de "demeurer esclave".
Selon Joel Assoko, les programmes économiques du candidat sont néanmoins peu chiffrés et cela n'est pas de nature à rassurer l'opinion. Il en veut pour preuve, ses propositions de réduction de la dette dans le financement de l'Etat. "Comment y parvenir ?", s'est interrogé le chroniqueur de Confluences.
Mohamed Mbougar Sarr quant à lui se dit circonspect sur ce qu'incarne le leader de Pastef. "J'ai un problème avec d'un côté ce discours moral fort et l'aspect politique du candidat", fait-il savoir. Aminata Thior abonde dans son sens en relevant les négociations en cours entre Sonko et Abdoulaye Wade. "Il n'y a jamais eu de marchandage de quoi que ce soit. Nous avons échangé avec Wade sur l'avenir du Sénégal et nous voulons cheminer avec des gens au parcours sain", a objecté Habib Sy.
La candiature annoncée à un nouveau mandat de Bouteflika en Algérie a notamment retenu l'attention d'Aminata Thior, au plan international. Le Venezuela devenu, selon Mbougar Sarr, un enfer à deux diables, a fait l'objet de la rubrique Guillotine.
Retrouvez l'intégralité de l'émission en audio.
PAR NDAMBAW KAMA
OÙ EN EST LA LUTTE CONTRE LES VIOLENCES SEXUELLES ?
EXCLUSIF SENEPLUS #Enjeux2019 - Il incombe aux candidats de s’approprier notre lutte pour interpeller les consciences et faire advenir un Sénégal où être une femme ne signifie pas être une victime potentielle face aux porcs qui se baladent dans nos rues
#Enjeux2019 - #TontonSaïSaï, #Nopiwouma, #MeToo, et plus récemment #Doyna sont des hashtags qui représentent des mouvements nés pour libérer la parole des femmes face aux violences sexuelles. Cette prise de conscience, d’abord chez les femmes, puis les intellectuels et les militants de la société civile dit quelque chose de la profondeur du combat pour les droits des femmes dans notre pays, notamment chez les jeunes.
L’émergence de cette parole symptomatique du ras-le-bol des femmes sur les violences sexuelles récurrentes a connu un déclic avec #MeToo, qui faut-il le rappeler, est né en 2007. Même si les multiples accusations d’agression et de harcèlement sexuels envers le producteur américain, Harvey Weinstein, ont fait renaitre le mouvement en 2017. En effet, plus de 80 femmes l’ont accusé publiquement de viol ou de tentative de viol. La vague Weinstein a emporté plusieurs autres personnalités aux Etats-Unis et a donné naissance à d’autres mouvements comme #balancetonporc en France.
Mais face au tollé qui a suscité une vague de ras-le-bol mondial, le succès de ces initiatives semble dépendre du statut de développement économique et culturel du pays. Par conséquent qu’en est-il des mouvements africains, notamment du Sénégal ?
Le trio magique sénégalais (maslaa, mougn, soutoureu) est le plus grand ennemi de la prise de conscience ou de la dénonciation des maux qui gangrènent notre société, notamment les agressions sexuelles. Économiquement, les femmes subissent des situations de séquestrations dues à la dépendance financière.
Culturellement, elles sont tenues de garder le silence sur plusieurs points, sinon le poids du jugement de la société leur sera retenu. Quand elles osent parler, elles reviennent rapidement sur leurs mots souvent parce que les personnes qui sont censées les soutenir et les accompagner sont les premières à leur jeter la pierre : la manière dont elles sont accueillies chez elles (« tu vas briser la famille ! »), au niveau des autorités (« tu étais habillée comment ? Qu’est ce que tu faisais là ?») et même dans les centres médicaux où le personnel médical peut tenir des discours déplacés envers les jeunes femmes afin de savoir si elles étaient vierges ou pas.
Même s’il reste un long chemin à parcourir, nous nous devons de célébrer les petites victoires. Nous sommes passés d’une acclamation du journaliste Cheikh Yérim Seck pourtant accusé de viol, à la démission du professeur Songué Diouf de l’émission Jakaarlo pour apologie du viol. Le progrès est relatif mais ce qui est sûr, c’est que les mentalités évoluent. Les langues se délient et les populations font plus attention à ce qu’elles disent et à ce qu’elles partagent, notamment sur les réseaux sociaux. C’est déjà une première victoire symbolique avant d’aller plus loin dans le combat.
Nous n’en sommes pas encore à balancer nos porcs mais #Nopiwouma a montré au Sénégal qu’il y avait une faim de partage d’émotions. La plupart des témoignages ont en commun que les victimes parlaient de manière anonyme de leurs agressions pour la première fois. Les traumatismes ne sont pas faits pour être enterrés dans les têtes mais pour être traités à travers un suivi psychologique qui au final permet à la victime de guérir et éventuellement de poursuivre une vie normale. Les sentiments réprimés resurgissent tout le temps d’une manière ou d’une autre.
La résistance s’organise chez les femmes. Des barrières tombent et d’autres vont tomber dans le sens d’une avancée des luttes pour les droits des femmes. Mais des réticences existent. Car pendant que le mouvement s’amplifie, les médias traditionnels ne communiquent que très peu, faisant ainsi preuve d’un désintérêt coupable sur un fait social important.
C’est là qu’internet joue un rôle important dans la structuration d’une campagne nationale sur les violences sexuelles. En effet, la moitié de la population sénégalaise a accès à Internet et plusieurs se sont engouffrés sur le succès des campagnes digitales, surtout dans un monde où la toile va bientôt remplacer la télévision.
Je dois finir par rappeler en revanche, que le succès des luttes pour les droits des femmes ne sera pas effectif sans l’aide des hommes. Et c’est rassurant de voir que beaucoup commencent à s’approprier la bataille. Il incombe ainsi aux cinq hommes candidats à la présidentielle du 24 février de s’approprier notre lutte pour interpeller les consciences, changer les mentalités et faire advenir un Sénégal où être une femme ne signifie pas une victime potentielle face aux porcs qui se baladent dans nos rues et habitent nos maisons.
La graine est plantée mais elle nécessitera un dur labeur et beaucoup de patience pour éclore. Prenons la parole car la première thérapie est orale. C’est là aussi que nous attendons nos femmes et hommes politiques pour la tenue d’un débat responsable sur les violences sexuelles durant cette campagne électorale.
Ndambaw Kama est titulaire d’un master en Economie aux USA et d’un MBA International au Sénégal. Chroniqueuse, elle tient depuis plusieurs années le blog de critique sociale www.worldofnk.com. Elle a lancé le mouvement #Nopiwouma contre les violences au Sénégal.
LA CONDUCTRICE EST FINALEMENT DÉCÉDÉE
Plongée dans le coma depuis l'accident, Mously Mbaye, a finalement rendu l'âme, hier, à l'hôpital général Yoff
La conductrice de la voiture qui a fait l'accident, dimanche dernier à Sicap Amitié 1, est décédée. Plongée dans le coma depuis l'accident, Mously Mbaye, a finalement rendu l'âme, hier, à l'hôpital général Yoff, où elle était internée, renseigne Rewmi Quotidien.
Pour rappel, Mously a perdu dans l'accident ses deux filles qui devaient fêter leur anniversaire ce mois de février. 9 victimes étaient à bord de la 4X4 Toyota Rav 4 de couleur grise conduite par celle qui a perdu l'année dernière, durant la même période, son mari.
VIDEO
EN FINIR AVEC LE PRÉSIDENTIALISME NÉOCOLONIAL
EXCLUSIF SENEPLUS #Enjeux2019 - Changement institutionnel, Gouvernance sociale, Gestion des richesses économiques – Boubacar Diop Buuba liste les priorités de la société sénégalaise
#Enjeux2019 - Enseignant à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar, Boubacar Diop Buuba estime que l’enjeu prioritaire du développement du Sénégal concerne le présidentialisme néocolonial qui gangrène les sociétés africaines. ‘’Un président de la République tout puissant qui a droit de vie et de mort sur les personnes. Mais c’est incroyable’’, tonne-t-il. Voilà l’enjeu prioritaire, selon Boubacar Diop.
Sur le débat autour de l’émergence du Sénégal Buuba est catégorique : ‘’On aurait du émerger il y a longtemps. On vient de redécouvrir des richesses enfouies. Mais je signale que dans les années soixante, ces richesses étaient déjà identifiées. Comment on est resté aussi longtemps sans que le sénégalais puisse profiter de cette manne ?", s'interroge-t-il.
Par ailleurs, Boubacar Diop pense que la politique du nouveau président devrait être fondée sur la gouvernance sociale telle que définie lors des Assises nationales avec ses cinq volets, dont : l’éducation, la santé, la culture, le dialogue social et le sport.
Voir vidéo.
VIDEO
DES RÉPONSES SANS PARTI PRIS POLITICIEN
EXCLUSIF SENEPLUS - C'est avec la franchise qu'on lui connait que Moustapha Diakhaté a évoqué les perspectives d'avenir du Sénégal face à Boubacar Diop Buuba, Charles Faye, et Abdoulaye Cissé dans l'émission Sans Détour - BANDE ANNONCE
C’est avec sa franchise légendaire que Moustapha Diakhaté a répondu aux différentes questions des éditorialistes de www.seneplus.com. Invité de l’émission Sans Détour, il a fait face au professeur Boubacar Diop Buuba, Charles Faye, et Abdoulaye Cissé pour débattre des enjeux auxquels la société sénégalaise est confrontée, à l'orée de la présidentielle du 24 fevrier prochain.