Saint-Louis, 20 oct (APS) - Les mécanismes de mise en œuvre du Programme de développement durable et inclusif de l’agrobusiness au Sénégal (PDIDAS) constituent une réponse aux problèmes liés à la gestion du foncier dans ses zones d’intervention, a indiqué, mardi à Saint-Louis (nord), Aïda Djigo Wane, directrice générale adjointe de l’Agence de promotion des investissements et des grands travaux (APIX).
 
"Le PDIDAS est une réponse aux problèmes de la gestion du foncier dans ses zones d’intervention, à travers une gestion inclusive impliquant les populations, les collectivités locales et l’Etat dans un partenariat gagnant-gagnant avec les investisseurs", a-t-elle notamment indiqué.
 
La responsable de l’APIX intervenait lors d’un atelier d’information et de sensibilisation des maires des neuf communes impactées par le projet dans les régions de Saint-Louis et Louga.
 
La rencontre tenue à Ngallèle, dans la commune de Saint-Louis, a notamment permis de présenter les enjeux du projet, les schémas de partenariat et de gestion foncière, de session et de découpage des terres que le PDIDAS implique.
 
Des maires et autres représentants des collectivités locales, des membres de l’unité de coordination du projet ont participé à l’atelier organisé à l’initiative de l’APIX, agence d’exécution en charge du volet ‘’Appui aux acteurs des filières’’.
 
Le PDIDAS vise à développer une agriculture commerciale inclusive et une gestion durable des terres dans ses zones d’intervention. 
 
Financé à hauteur de 40 milliards de francs CFA par la Banque mondiale, le projet ambitionne de lever une masse critique de contraintes liées à la réalisation d’infrastructures et de promouvoir un appui institutionnel au secteur privé suivant toutes les chaînes de valeur de l’agrobusiness, lit-on dans son document de présentation.
 
La mise en œuvre du PDIDAS devra à terme permettre l’aménagement de 10.000 hectares de terres, la création d’emplois dont plus de la moitié pour les femmes et les jeunes, l’intensification et la diversification de la production agricole, le désenclavement des zones aménagées et l’amélioration du cadre de vie.

Dakar, 20 oct (APS) – Le Fonds souverain d’Investissements stratégiques du Sénégal (FONSIS) et ses partenaires dans le projet PARENTERUS, vont signer ce mardi la convention de prêt pour le financement partiel d’une unité industrielle de production de solutés injectables.

La cérémonie de signature est prévue à 12h à la Primature sous la présidence effective du Premier ministre, Mouhammad Boun Abdallah Dionne, indique le communiqué transmis à l’APS. 

La société PARENTERUS S.A met en place une unité industrielle pharmaceutique visant la production de flacons de perfusions de 500ml pour le marché sénégalais et sous régional à ‘’des coûts plus abordables pour la population et une participation positive à l’amélioration de la balance commerciale car ces produits sont à ce jour totalement importés’’, selon le FONSIS.

Dans ce projet, la société est en partenariat avec un pharmacien promoteur, des investisseurs privés, des partenaires techniques et stratégiques, et la Caisse des Dépôts et Consignations du Sénégal (CDC), indique la même source.

D’un coût global de 6,5 milliards FCFA pour une production annuelle de 12 millions de flacons, le Projet est implanté dans la Commune de Diender, dans la région de Thiès, souligne t-on.

Cette unité industrielle aura un impact majeur sur l’économie locale avec la création de 72 emplois directs à partir de la première année d’exploitation et de recettes fiscales pour l’Etat et les collectivités locales, selon le communiqué.

La pose de la première pierre de l’usine est prévue en novembre pour un début de production en 2017, selon la même source

Dakar, 20 oct (APS) – Les quotidiens reçus mardi à l’APS s’intéressent largement aux changements opérés au sein de la Police nationale à travers les nominations intervenues lundi en Conseil des ministres.

‘’Macky Sall chamboule la Police’’ après le départ de Anna Sémou Faye, remplacée récemment à la tête de l’institution par Oumar Maal. ‘’Macky Sall et Abdoulaye Daouda Diallo (le ministre de l’Intérieur) ont vraiment le sang chaud. Ils ont complètement chamboulé la Police. Après avoir limogé Anna Sémou Faye, ils ont mis sens dessus dessous la Police’’, écrit La Tribune.

Pour Le Populaire, ‘’Macky Sall fait le ménage derrière Anna’’, tandis que Enquête parle d’un ‘’grand virage’’. Selon ce journal, Macky Sall ‘’mise sur de nouveaux hommes’’. Sur la base de ‘’sources dignes de foi’’, poursuit encore ce même journal, ‘’ce changement constaté n’a rien d’anormal, au contraire, c’est une suite logique, l’aboutissement de réflexions stratégiques sur la marche à imprimer à la Police’’.

Dans cette série de nominations, L’As constate ‘’(le) retour en grâce des bannis de Anna Sémou Faye’’. Le journal note par exemple que le patron des renseignements généraux de la région de Dakar, le commissaire Pierre Mendy, dont ‘’on disait qu’il entretenait des relations exécrables avec Anna Sémou Faye, devient directeur de la surveillance du territoire (DST)’’.

L’As relève aussi que tous les postes stratégiques ‘’ont changé de chef à l’exception de la direction de la police judiciaire et trois commissaires (ont été) envoyés à la retraite’’.

De son côté, le journal Libération note qu’Abdoulaye Niang, ancien directeur général de la Police, a été réhabilité. M. Niang, démis de ses fonctions à la suite d’une affaire de drogue dans laquelle la justice a décerné un non-lieu total, devient Inspecteur général de la Police, écrit Libération.

Usant de jeu de mots, L’Observateur évoque l’arrivée du nouveau patron à la tête de la Police en titrant : ‘’Un Mal pour le bien de la Police’’. ‘’Officiellement, c’est ce matin dans l’enceinte de l’Ecole nationale de la police et de la formation permanente que le nouveau Directeur général de la Police nationale va être installé dans ses nouvelles fonctions’’, souligne L’Obs.

’’Seulement, ajoute le journal, le remplaçant d’Anna Sémou Faye a du pain sur la planche. Le nouveau patron de la Police doit donner un grand bain à l’institution pour rendre sa peau plus lisse. Pour rendre la Police sénégalaise plus belle, plus attrayante et plus efficace’’.

Revenant sur les chamboulements marqués par l’absence de nomination de femmes, Le Quotidien titre : ‘’La Police débute Mal’’.

Dakar, 20 oct (APS) - L’Ambassade des Etats-Unis à Dakar organise, du 24 au 31 octobre prochain, la 9ème édition du Festival international des arts hip-hop de Kaolack, annonce un communiqué transmis à l’APS.

 Ce festival se tiendra en partenariat avec l’Association "Jeunesse Action Développement" (AJAD), l’Alliance française de Kaolack et le centre culturel régional de Kaolack.

Selon la même source, l’objectif de cette fête hip-hop est de vulgariser et de promouvoir les talents émergents en leur offrant des plateaux d’expressions artistiques pour susciter leur notoriété dans le paysage culturel national.

Le festival connaîtra la participation de l’artiste américaine Charlène Chi-chi Smith, qui animera les sessions de formation hip-hop, au centre culturel régional de Kaolack.

Les incontournables pour ceux qui veulent se lancer dans le marché de l'immobilier en ligne;  Un design adapté à la technologie mobile, une mise en page centrée sur l’image et des alertes de propriétés pour les utilisateurs - ces caractéristiques sont devenues incontournables pour tous les sites d'immobilier.

Pour les agents et les développeurs qui cherchent à commercialiser leur entreprise en ligne, le portail immobilier mondial Lamudi a compilé une liste des 10 meilleures caractéristiques dont tout site de biens immobiliers a besoin.

1. Un design réactif : un design réactif améliore l'expérience de visionnement en s’adaptant à l’appareil particulier d'un utilisateur. Comme les smartphones deviennent de plus en plus populaires, cela est devenu un élément essentiel de la conception web. Votre site web doit être en mesure de s'adapter à différentes tailles d'écran à travers le téléphone mobile, la tablette et l’ordinateur de bureau.

2. Grand contenu : développer une stratégie de contenu est une façon intelligente de générer du trafic vers votre site web et de promouvoir votre entreprise en ligne. Commencez par l'introduction d'un blog avec un contenu fort qui positionne votre entreprise comme un leader dans le domaine, et intégrez cela avec une stratégie de médias sociaux.

3. Centré sur l’image : vous n’obtenez pas suffisamment de demandes concernant une propriété que vous avez énumérée ? Pensez visuel. Les chasseurs de maisons s’attendent à obtenir une visite virtuelle de la propriété avant de se décider à l'inspecter. Pensez à toujours incorporer des images de haute qualité et professionnelles de l'intérieur et de l'extérieur de chaque propriété.

4. Recherche personnalisée : assurez-vous qu’il est facile pour les visiteurs de votre site web de trouver des biens immobiliers qui répondent à leurs besoins. Permettez-leur de les filtrer grâce un large éventail de critères, y compris le nombre de chambres, de salles de bains, de places de parking, la gamme de prix et autres.

5. Un bon SEO : en utilisant l'optimisation des moteurs de recherche, ou SEO, il sera plus facile pour les personnes en recherche de propriétés de trouver votre site. Boostez votre classement Google en introduisant des techniques de SEO telles que l'amélioration des titres de page et l'optimisation des images. En cas de doute, suivez ce guide à partir de Google.

6. Cartes intégrées : comme le dit le vieux refrain, l’emplacement signifie tout dans l'immobilier. L'ajout de cartes à vos annonces donne la plus claire image possible de l'endroit où un bien est situé.

7. Alertes de propriété : introduisez des alertes de propriété correspondante qui informent votre client de base quand une maison qui correspond à leurs besoins arrive sur le marché, que ce soit via un message-texte, des push de notifications ou un email.

8. Contact facile : assurez-vous qu’il est aussi facile que possible pour vos clients d'entrer en contact avec vous. Introduisez une option de contact sur chaque propriété inscrite sur votre site web, permettant aux visiteurs d'envoyer une demande à propos d’une maison directement à partir de la page.

9. Une approche donnant la priorité au mobile : actuellement, il y a plus de personnes à travers le monde qui font une recherche sur le web à partir d’un appareil mobile que d’un ordinateur de bureau. Concevez votre site web de manière à être adapté au mobile en premier lieu, puis, après seulement, à l’ordinateur de bureau. Cela signifie que votre site web doit pouvoir se charger rapidement et être à faible bande passante.

10. Lancez une newsletter : utilisez un bulletin d'information à destination de votre clientèle de base existante et la tenez-la informée lorsque de nouvelles propriétés sont mises en vente ou en location.

Lancé en 2013, Lamudi est un portail immobilier mondial qui se concentre exclusivement sur les marchés émergents. La plate-forme à croissance rapide est actuellement disponible dans 32 pays en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique et en Amérique latine, avec plus de 800 000 annonces immobilières à travers son réseau mondial. Le portail immobilier leader sur le marché propose aux vendeurs, acheteurs, propriétaires et locataires une plate-forme sécurisée et simple d’utilisation pour trouver ou répertorier des biens immobiliers en ligne.

Dakar, 19 oct (APS) – L’Union pour le renouveau démocratique (URD) dirigée par Djibo Ka, s’est fixée comme objectif la réélection de Macky Sall pour un second mandat lors de la prochaine présidentielle, a soutenu son porte-parole Diégane Séne.

’’Nous n’avons qu’un seul souci : sa réélection (celle de Macky Sall). C’est notre seule et unique préoccupation à l’URD’’, a dit le porte parole de la formation politique de Djibo leity Ka dans un entretien paru lundi dans le journal Le Soleil.

L’URD dont les responsables ont été reçus samedi par Macky Sall, a signé récemment un accord avec l’Alliance pour la République (APR), mouvance présidentielle.

Au sujet de cette rencontre, Diégane Sène a déclaré : ’’Cette forte mobilisation prouve aussi que les militants adhérent à l’idée’’’.

’’Si vous voyez ces centaines de personnes au palais samedi qui représentent ces Sénégalais qui n’ont pas pu venir, cela témoigne très largement de leur engagement’’, a t-il ajouté.

Selon lui, les partisans de l’URD trouvent que ’’Macky Sall est quelqu’un qu’il faut soutenir’’.

Le ’’souci’’ de l’URD ’’est que le président de la République soit réélu et qu’il fasse son dernier mandat, qu’on puisse voir la continuité de ses bonnes actions qu’il est en train de faire pour ce pays’’, a dit M. Sène.

Pour Diègane Sène, ’’tous les Sénégalais savent qu’il (Macky Sall) est sur la bonne voie (...)’’.

’’Tous les démocrates sincères et honnêtes citoyens qui n’ont rien à se reprocher qui se lèvent à 5 h du matin et qui ne se couchent qu’à 23 heures ou minuit et qui gagnent leur pain à la sueur de leur front, tous ces gens sont obligés de reconnaitre qu’il (Macky Sall) est sur la voie qu’il faut pour le Sénégal et le soutenir’’, a dit M. Sène.

Latmingué (Kaolack), 18 oct (APS) - L’Institut de l’arachide, qui sera construit dans la commune Latmingué (Kaolack), va permettre à ses pensionnaires et aux producteurs locaux d’acquérir "toutes les connaissances sur l’arachide", a indiqué, dimanche, le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, Papa Abdoulaye Seck.

"Au niveau de cet Institut, on pourra acquérir toutes les connaissances sur l’arachide, de la production jusqu’à la mise en marché", a-t-il expliqué à l’étape de Kaolack d’une tournée qu’il effectue, dans le cadre de la campagne agricole 2015-2016.

Accompagné des techniciens de son ministère, d’autorités locales et d’élus locaux, le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural a visité les parcelles de démultiplication de semences de riz de base, dans la commune de Thiaré, ainsi que des sites d’arachide dans la commune de Latmingué.

L’installation de cet Institut à Latmingué "va amener des étudiants du monde entier et cela fera de Latmingué une véritable capitale de la connaissance scientifique en ce qui concerne la culture de l’arachide", a-t-il souligné.

Le ministre a salué la décision du gouvernement d’implanter cet Institut à Latmingué, une localité qui, historiquement, "a eu à jouer un rôle et jouera un rôle extrêmement important en ce qui concerne la production et la promotion de l’arachide".

"Donc, l’Institut de l’arachide va se trouver dans une zone arachidière, a-t-il poursuivi. Ce qui est une bonne chose et fera la jonction entre les connaisances universitaires et les connaissances de terrain".

Selon le ministre de l’Agriculture et de l’Equipement rural, "tout cela va faire que Latmingué change d’image et dans le bon sens pour ses populations".

Dakar, 18 oct (APS) - La promotion de l’édition numérique peut permettre de résoudre les difficultés auxquelles le continent africain se trouve confronté dans le domaine du livre, selon Hulo Guillabert, directrice générale et fondatrice de la maison d’édition Diasporas Noires.

 "L’édition numérique peut être une bouée de sauvetage pour l’Afrique (…), si on veut faire en sorte que nos bibliothèques ne brûlent pas (…), en éditant nous-mêmes nos livres et écrivant nous-mêmes nos histoires", a-t-elle déclaré au cours d’un panel organisé samedi, à Dakar, sur le thème "L’Afrique numérique".
 
Selon Hulo Guillabert, les technologies de l’information comme Internet constituent "un renouveau de l’oralité", que l’Afrique doit saisir émerger.
 
"Internet est devenu un arbre qu’il faut savoir très bien utiliser", a pour sa part recommandé Aboubacar Sadikh Ndiaye, expert en stratégie 2.0 et cyberactiviste, intervenant au cours du même panel.
 
Il a évoqué, dans sa communication, le développement, de plus en plus, d’une conscience citoyenne chez les jeunes africains, à travers notamment les réseaux sociaux.
 
Pour Mohamed Diop, juriste, il s’agit d’insuffler aux Africains "la culture de la cybercriminalité", face à leur "frilosité et leur manque de confiance" dans l’utilisation des TIC, avant d’insister sur l’importance de mettre l’accent sur des stratégies nationales de cybercriminalité.
 
Ce panel était organisé par LEGS-Africa, Diasporas Noires Editions, le Monument de la Renaissance et la Librairie Athéna. Il est le premier d’une série intitulée "Les rendez-vous de l’Afrique consciente".
 

Rufisque, 18 oct (APS) - L’Afrique doit s’unir davantage pour une meilleure gestion de l’immigration clandestine, un phénomène qui fait perdre au continent sa jeunesse, a soutenu l’ambassadrice du Zimbabwe au Sénégal et en Gambie, Trudy Stevenson.

"Il est sûr que l’unité de l’Afrique sur la question de l’immigration est importante (…). L’Union africaine en est d’ailleurs saisie. Et il faut absolument que l’Afrique travaille ensemble" sur cette question, a-t-elle soutenu.
 
Mme Stevenson participait au vernissage d’une exposition sur l’immigration clandestine, samedi au centre culturel Maurice Gueye de Rufisque, à l’initiative de l’artiste rufisquois Ibrahima Wade.
 
"Le phénomène de l’immigration peut être considéré comme normal, mais au rythme où vont les choses, nous (Africains) perdons notre jeunesse. Au Zimbabwe, nous faisons face au phénomène de la migration de certains de nos concitoyens vers l’Afrique du Sud où ils souffrent de violences", a-t-elle relevé.
 
Selon la diplomate, parallèlement à la lutte contre l’immigration clandestine, les gouvernements africains doivent travailler à l’élaboration de "véritables politiques" d’emploi en faveur des jeunes, en vue de "redonner espoir" à cette catégorie de la population africaine.
 
"Les gouvernements africains doivent développer de véritables politiques d’emploi en faveur des jeunes, afin de leur redonner espoir, notamment dans les zones rurales", a déclaré Trudy Stevenson.
 
Au Sénégal, par exemple, a poursuivi l’ambassadrice du Zimbabwe au Sénégal et en Gambie, "la réalisation des projets d’infrastructures du Plan Sénégal émergent (PSE) doit privilégier l’emploi des jeunes".
 
Le PSE est un programme de développement par le biais duquel les autorités publiques comptent conduire le Sénégal à l’émergence à l’horizon 2035.

(SenePlus.com, Dakar) - L'ex-Premier ministre Aminata Touré est l'invitée du premier numéro de "Sans Détour", une émission co-produite par www.SenePlus.Com et le journal Le Quotidien, en partenariat avec Sup'imax (Institut supérieur des arts et métiers du numérique). Elle était face aux éditorialistes de SenePlus Momar Seyni Ndiaye et Saphie Ly et au coordonnateur adjoint du Quotidien Bocar Sakho.

Le menu était divers et varié : l'instabilité gouvernementale, avec notamment trois Premier ministres pour Macky Sall en trois ans de mandat, son passage à la Primature et au ministère de la Justice, le projet de réduction de 7 à 5 ans du mandat présidentiel et, sujet plus actuel, l'élection pour deux ans du Sénégal au Conseil de sécurité de l'ONU…

Aminata Touré a également troqué son voile de politique pour arborer celui de la sénégalaise lambda. Évoquant, entre autres sujets plus personnels, presqu'intimes, sa jeunesse et sa vie de sportive, de footballeuse surtout.