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25 avril 2025
Media
YOUSSOU NDOUR PLAIDE POUR UNE PRISE EN CHARGE DES AGENCE DE PRESSE PUBLIQUE
Le Président-directeur général du Groupe futur média (GFM), le chanteur Youssou Ndour, a invité les Etats africains à soutenir davantage leurs agences nationales de presse
Dakar, 28 nov (APS) – Le Président-directeur général du Groupe futur média (GFM), le chanteur Youssou Ndour, a invité les Etats africains à soutenir davantage leurs agences nationales de presse en leur dotant de moyens humains, techniques et financiers nécessaires pour faire face à la menace du numérique.
’’J’encourage les Etats à soutenir leurs agences afin qu’elles puissent se conformer à la réalité et être au diapason pour plusieurs raisons’’, a-t-il soutenu, rappelant que ’’le monde des médias reste dominé par des mastodontes qui diffusent des infos sans que la source ne soit connue’’.
L’artiste planétaire recevait, dans ses bureaux à Dakar, des membres du comité exécutif de la Fédération atlantique des agences de presse africaine (FAAPA) réunis en assemblée dans la capitale sénégalaise.
La délégation était conduite par le Secrétaire général de la FAPAA, Mohamed Anis, le président Khalil Idrissi Hachim étant empêché.
Il était accompagné, entre autres, des directeurs généraux des Agences de presse du Sénégal, Thierno Birahim Fall, du Cap-Vert, Jose Vaz Furtado et du Congo, Philippe Youhou, du directeur de la Communication et du Partenariat de l’agence de presse marocaine (MAP), Rachid Tijani.
Youssou Ndour est revenu sur l’importance de se faire rémunérer par les GAFA (Google, Apple, Facebook, et Amazon) qui inondent la toile d’informations de toutes sortes.
Pour lui, ‘’le reflexe normal de toute personne, face à ce flux d’informations, c’est d’aller à l’Agence de presse pour vérifier l’authenticité des faits’’.
Il a invité la FAAPA à poursuivre ses efforts afin de faire face aux géants du Web et de s’imposer dans un contexte dominé par ‘’le tout informatique’’.
M. Ndour leur a recommandé de ‘’sortir de l’anonymat, du schéma classique de production de l’information pour occuper l’espace médiatique en vue de défendre leurs dépêches et leurs opinions pour le développement de nos Etats’’.
Le Secrétaire général de la FAPAA a salué ‘’la disponibilité’’, ‘’l’engagement’’ et le ‘’soutien’’ du PDG de GFM.
Il a assuré que dans ce contexte du ‘’tout numérique’’, les responsables de la fédération ont pris les orientations nécessaires ‘’pour y faire face’’ notamment à travers des changements structurels et l’adoption de nouveaux business modèles.
Les autres membres de la délégation ont à tour de rôle, salué la dimension de Youssou Ndour, ’’ambassadeur de la culture sénégalaise, africaine et mondiale’’, avant de lui demander d’être le défenseur des causes des agences de presse africaines.
La FAAPA vise à ’’promouvoir la coopération et l’échange d’expériences entre les agences de presse dans tous les domaines d’intérêt commun dont notamment l’information, la formation et les produits multimédia’’.
Ses membres fondateurs sont : l’Agence Marocaine de Presse (MAP), l’Agence Mauritanienne d’Information (AMI), l’Agence de Presse Sénégalaise (APS), l’Agence Guinéenne de Presse (AGP), l’ Agence Ivoirienne de Presse (AIP), l’Agence Congolaise d’Information (ACI), l’Agence Bénin Presse (ABP), l’Agence Camerounaise d’Information (CAMERPRESSE), l’Agence de Presse de Guinée-Bissau (ANG), la Ghana News Agency (GNA), la Liberia News Agency (LINA), l’Agence Malienne de Presse et de Publicité (AMAP), l’Agence d’Information du Burkina (AIB), l’Agence Nigérienne de Presse (ANP), l’Agence Tchadienne de Presse et d’Edition (ATPE) et l’Agence de presse du Cap-Vert (Infopress).
LA FAAPA AU SECOURT A L'AGENCE DE PRESSE BENINOISE
La Fédération Atlantique des Agences de Presse Africaine (FAAPA), a exprimé vendredi à Dakar, son soutien à l’Agence béninoise de presse (ABO), ’’menacée de dissolution’’, a indiqué son président, Khalil Hachimi Idrissi.
Dakar, 26 nov (APS) – La Fédération Atlantique des Agences de Presse Africaine (FAAPA), a exprimé vendredi à Dakar, son soutien à l’Agence béninoise de presse (ABO), ’’menacée de dissolution’’, a indiqué son président, Khalil Hachimi Idrissi.
’’Le dossier du processus de dissolution de l’ABP, a été étudié par le comité pour prendre un certain nombre d’initiatives en vue d’essayer de plaider en faveur du maintien de cette agence de presse’’, a-t-il dit lors des travaux de son 8ème Comité exécutif de la FAAPA qui se tient à Dakar.
’’Ce processus de dissolution de l’ABP, est une mauvaise nouvelle’’, a ajouté le président de la FAAPA qui dit ’’ne pas comprendre pas ce geste, surtout en ces moments où, les États africains ont besoin de leurs agences de presse et plus que jamais, d’un service public de qualité’’.
Selon lui, dans un Etat comme le Bénin, est ’’conscient’’ des enjeux de la communication mondiale et continentale, et qui crée des agences spécialisées ou dédiées à des missions ponctuelles, ’’rien ne remplacera le service public d’une agence de presse’’.
’’Nous allons accompagner l’ABP pour qu’elle survive et continue à se développer et à faire partie du réseau d’agences de presse africaine. Nous ne pourrons jamais nous résoudre à la disparition d’une agence de presse’’, a encore relevé Hachimi Idrissi.
Il a engagé la FAAPA à ’’tout faire’’ pour que l’Agence de presse béninoise ’’survive au même titre que toutes les agences de presse’’ membre de son réseau.
Hachimi Idrissi, également directeur général de l’Agence de Presse marocaine (MAP) a rappelé que l’ABP, est agence du ’’service public, fonctionnant selon les règles de l’art, avec un statut clair, des missions précises et demeure au service du gouvernement, de l’État et de l’opinion publique’’.
Il a déploré cette situation ’’incompréhensible’’, au moment où la Faapa se félicite de voir certains pays, comme le Sénégal, renforcer, leur Agence de presse, en leur donnant des moyens, des nouveaux statuts.
’’L’agence de presse du Bénin date de 1960. C’est un acquis considérable de l’accumulation de l’expérience et elle a une présence rayonnante dans la sous-région’’,a-t-il rappelé.
Le président de la FAAPA a dit qu’il compte adrsser une lettre au Chef de l’Etat béninois, ’’pour mettre en valeur les atouts d’une agence de Presse (dans son pays) et aussi plaider pour la restauration et la modernisation de cette dernière’’.
À DAKAR, JUAN GOMEZ PARLE DE L'AVENIR D'APPEL SUR L'ACTUALITÉ
De passage à Dakar pour l’enregistrement de l’émission, Juan Gomez a dévoilé les coulisses de son magazine au Centre d’études des sciences et techniques de l’information (CESTI) en présence des étudiants en journalisme.
Depuis 1996, Juan Gomez, animateur et producteur anime l’émission interactive «Appel sur l’actualité » sur radio France internationale (RFI), très écouté en Afrique francophone. Avec cette émission, les auditeurs africains appelle pour avoir des éclairages sur une information qui leur tient à cœur, ils peuvent exprimer leur indignation, pousser un coup de gueule contre un chef d’État ou exprimer une satisfaction par rapport à une problématique. Et ça fait 25 ans que cette émission passe sur les ondes de la radio publique française.
Très populaire auprès de la jeunesse d’Afrique francophone, le succès d’ «Appels sur l’actualité » est tel qu’au fil des ans, elle est passée de 20 minutes à 40 minutes. De passage à Dakar pour l’enregistrement de l’émission, Juan Gomez a dévoilé les coulisses de son magazine au Centre d’études des sciences et techniques de l’information (CESTI) en présence des étudiants en journalisme.
En marge de cette rencontre, il a accepté de répondre aux questions d’AfricaGlobe tv notamment sur l’avenir de cette émission, la relation qu’il a développé avec ses fidèles auditeurs africains. Ainsi, selon lui, après 25 ans, tant que les auditeurs du continent continuent d’avoir un intérêt pour cette émission interactive et à l’écouter, participer à travers leurs appels, il n’y a aucune raison de la supprimer de l’antenne RFI. Il n’exclut même pas au contraire la possibilité que la direction accorde un peu plus de temps à l’émission pour l’innover.
Un comité ad hoc se penche sur une fiscalité propre au département
Le département pourrait bientôt avoir une fiscalité qui lui est propre. C’est la proposition faite par la commission des lois de l’Assemblée nationale en marge du vote du projet de loi portant modification du code général des collectivités territoriales. Interpellé en commission par les députés sur le marasme des collectivités territoriales, Oumar Guèye a indiqué que l’Etat fait beaucoup d’efforts en augmentant annuellement les dotations qu’il alloue aux collectivités. S’agissant du département qui ne dispose pas de fiscalité propre, le maire de Sangalkam a soutenu qu’un Comité ad hoc a été mis en place, en relation avec le ministère en charge des Finances, pour réfléchir sur la question. Sur un autre registre, il a annoncé que le transfert des ressources financières aux collectivités territoriales peut être revu à la hausse.
Les députés de plus en plus muets en plénière
Il faut le dire. Tout projet de loi présenté à l’Assemblée nationale depuis quelques mois passe sans débats pratiquement. Les députés ont perdu le goût de la parole. En séance plénière, ils se montrent peu diserts. A la place de 50 ou plus d’orateurs, maintenant il y en a moins de 5 à 10.Ils n’interrogent plus les ministres sur la quintessence des textes qu’ils examinent. Ils ne se contentent que de voter. Et de manière Fast-track. Par exemple, lors du vote du projet de loi modifiant le code général des collectivités territoriales hier, seuls deux députés, Adama Kadam et Me Djibril War, ont demandé la parole lors de l’ouverture des débats. C’était également le cas lors de l’examen du projet de loi sur la seconde Loi de Finances Rectificative et du projet de loi autorisant la création de la Société Nationale de Gestion et d’Exploitation du patrimoine bâti de l’Etat (SOGEPA SN). Seulement, il urge de souligner que ce silence un inhabituel à l’hémicycle coïncide avec la préparation des élections territoriales
Samuel Sarr entendu à la brigade de recherches
L’ancien ministre de l’Energie, Samuel Sarr a été entendu hier dans l’affaire des deux milliards FCFA l’opposant à l’homme d’affaires Cheikh Amar. Les enquêteurs de la brigade de recherches de la gendarmerie ont auditionné aussi le plaignant, Cheikh Amar, d’après Dakaractu. Selon l’accusation, les deux milliards FCFA qui ont été prêtés à Samuel Sarr par l’homme d’affaires pour le compte de Me Wade depuis 2014, n’ont jamais été remis au Pape du Sopi. C’est de guerre lasse que Cheikh Amar aurait décidé de porter plainte contre Samuel Sarr pour récupérer son argent. Mais l’ancien ministre balaie d’un revers de main ces accusations et soutient que le plaignant veut lui soutirer de l’argent. C’est pourquoi, à son tour, Samuel Sarr a porté plainte contre Cheikh Amar et son avocat Me Seydou Diagne. Mbaye Kane Lo, cité comme un témoin de Cheikh Amar et qui a également porté plainte contre Samuel Sarr, a été auditionné.
8 tonnes de produits impropres saisies à Thiès
Le marché central de Thiès est-il devenu la plaque tournante des produits impropres à la consommation. Au vu des performances réalisées par la brigade départementale d’hygiène, on est tenté de répondre par l’affirmative. En effet, dans le cadre du contrôle de l’hygiène des denrées alimentaires et du strict respect des bonnes pratiques d’hygiène de vente, les éléments de la brigade ont mené des opérations au marché central. Elles sont traduites par la saisie de 8 tonnes de produits impropres à la consommation, soit une valeur de plus de 6 millions de FCFA. Il s’agit entre autres de lait Gloria, de la mayonnaise, des bouillons, du lait en poudre, de sacs de farine, etc. Selon les responsables départementaux de l’hygiène cette dynamique va se poursuivre à travers des descentes inopinées dans les marchés et dans ce sillage, ils ont appelé les populations à la vigilance
Erreur sur une photo
Dans note précédente édition, nous avons malencontreusement illustré un article parlant de la gestion du directeur général de l’Aser, Baba Diallo par la photo d’Ibrahima Amadou Sarr, le Président de la Commission de régulation du secteur de l’électricité. Une erreur qui nous a valu un appel matinal. Nous présentons nos excuses à Ibrahima Amadou Sarr et à nos lecteurs.
Thierno Diallo auditionné par la brigade de la cybercriminalité
Les autorités judiciaires sont en train de diligenter la plainte de Kilifeu du mouvement Y en a marre contre son ami, Thierno Amadou Diallo. La coordination du mouvement renseigne que Thierno Amadou Diallo a été extrait de sa cellule hier (avant-hier, Ndlr) et entendu par la brigade de cybercriminalité dans le cadre de l’enquête, suite à la plainte de Kilifeu pour collecte et diffusion illicites de données à caractère personnel. Ainsi, le mouvement Y en a marre engage l’autorité judiciaire à mener un travail sérieux et impartial pour identifier toutes les personnes ayant participé au processus de collecte et de diffusion de ces vidéos.
Affaire miss Sénégal : Plainte de Jamra contre Aminata Badiane
L’Ong Jamra est passée à l’acte hier après avoir annoncé des poursuites judiciaires contre Aminata Badiane du Comité d’organisation de Miss Sénégal. Pour le compte de l’Ong Jamra, Me Moussa Sarr a déposé au parquet une plainte contre Aminata Badiane et X pour apologie du viol, association de malfaiteurs et complicité passive de proxénétisme. Cette plainte vient s’ajouter aux 300 plaintes déposées contre Aminata Badiane par un collectif de femmes
40 millions d’euros à la Sonacos pour la campagne 2021/2022
Une bouffée d’oxygène pour la Sonacos qui peut désormais entamer la campagne de commercialisation de l’arachide sans soucis financiers. Elle a reçu un financement de 40 millions d’euros de la Société internationale islamique de financement du commerce (Itfc) pour financer une partie de la campagne arachidière 2021-2022. Cette enveloppe règle environ 45% des besoins de la Sonacos pour assurer l’achat de 150.000 tonnes d’arachides. D’après le directeur d’exploitation de l’ITFC, Nazeem Noordali, l’engagement de l’ITFC à soutenir le secteur agricole, en particulier le secteur de l’arachide au Sénégal, s’inscrit dans le long terme et présente un grand intérêt pour le Sénégal. Croyant en la croissance du secteur agricole en Afrique sub-saharienne, il est prêt à soutenir les acteurs clés tels que la Sonacos sur des projets qui, non seulement apportent une valeur financière, mais aussi ont un impact direct sur les communautés agricoles et rurales. Ainsi, l’ITFC compte soutenir la relance de l’économie nationale et régionale afin de contribuer à la création et au maintien d’emplois ainsi qu’à l’autonomisation des agriculteurs. Pour le Directeur général de la Sonacos, Modou Diagne Fada, le partenariat entre la Sonacos et l’Itfc est d’une importance capitale. Selon lui, ce financement est une étape fondamentale pour assurer le succès de la campagne commerciale d’arachide 2021/2022 au Sénégal.
Convention de financement entre la BNDE et la BAD
La Banque Africaine de Développement (BAD) renfloue les caisses de la Banque Nationale pour le Développement Économique (BNDE). En présence du ministre de l’Économie, du Plan et de la coopération Amadou Hott, le «Country Manager» de la Bad, Mohamed Chérif et le Directeur Général de la BNDE, Thierno Seydou Nourou Sy ont procédé hier, à la signature d’un accord de financement de 22,5 millions d’euros, soit environ 14,74 milliards Fcfa dans les locaux du ministère de l’Économie. Cet accord de financement entre dans le cadre d’un partenariat entre les deux institutions bancaires qui vise à mieux accompagner la BNDE à soutenir le développement économique des entreprises sénégalaises. D’après un communiqué parvenu à «L’As», cette ligne d’accord de crédit permettra de soutenir les Petites et Moyennes Entreprises (PME) à travers la mise en place de financements destinés à la transformation et à l’industrialisation dans le cadre de la chaîne de valeur agricole. Cette ligne dont la maturité est de six ans s’accompagne d’une subvention de 131 millions FCFA. Elle a pour objectif de créer plus d’un millier d’emplois directs en zones rurales, essentiellement pour les jeunes et les femmes, rapporte la même source. La Bad et la Bnde marquent ainsi leur volonté d’accompagner le secteur économique à trouver les financements nécessaires à l’atteinte des objectifs de croissance.
Kolda : Relance des travaux du centre délocalisé de l’université ASZ
Le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, Dr Cheikh Oumar Hann était à Kolda hier pour relancer les travaux du centre délocalisé de l’université Assane Seck de Ziguinchor en arrêt depuis deux ans. En compagnie de son collègue de l’Agriculture et président du Conseil départemental de Kolda, Pr Moussa Baldé, le ministre de l’Enseignement Supérieur a annoncé que le chantier sera livré en 2022. Selon Dr Hann, c’est une revendication légitime des populations de Kolda de voir l’achèvement des travaux. A l’en croire, ce projet s’inscrit dans le cadre de la politique d’extension de la carte universitaire initiée par le chef de l’Etat. Le chantier est constitué de bâtiments du campus académique et du campus social. Au total, précise Dr Cheikh Oumar Hann, le coût de l’investissement est de 04 milliards FCFA. Le centre délocalisé de l’université Assane Seck de Ziguinchor à Kolda va pouvoir accueillir 3000 étudiants dans 04 ou 5 ans, selon le ministre. Il promet que le centre va ouvrir ses portes en 2023 avec l’ouverture de deux unités de formation et recherche à savoir une l’UFR agro-sylvopastorale et l’UFR Lettres et Sciences Humaines.
Suspension des «navetanes» à Guédiawaye
Le championnat national populaire communément «Navétanes» a été suspendu hier, à Guédiawaye par le préfet du département, Chérif Blondin Ndiaye. Ce, à cause des scènes de violences qui y ont été notés Le stade Amadou Barry a été saccagé lors du match Jubo contre Mag Bah remporté par le dernier nommé. Aussi, des supporters se bagarrent souvent, cassent des biens d’autrui et dépouillent d’honnêtes citoyens, notamment les femmes qui tiennent leurs petits commerces. La décision préfectorale a été bien accueillie par des riverains du stade qui vivent un calvaire durant cette période avec les agressions après chaque match.
Suspension des «navetanes» à Guédiawaye (bis)
Restons avec la suspension des navetanes à Guédiawaye pour dire que le directeur du stade Amadou Barry de Guédiawaye Khalifa Guèye, par ailleurs, président du Conseil départemental de la jeunesse, a exprimé son indignation sur les actes de vandalisme contre l’infrastructure réalisée à coups de millions. Il trouve incompréhensible que des jeunes qui ont tant réclamé la construction d’un stade digne de ce nom, viennent encore détruire leur joyau. Des actes d’incivisme qui ont poussé le préfet à suspendre les matches le temps que les dégâts puissent être évalués et ré- parés.
Pikine-nord vote son budget
La Commune de Pikine-Nord dirigée par le maire Amadou Diarra a voté son projet de budget pour l’année 2022 qui a été porté à la somme de 777.313.030 FCFA. Comparé à l’exercice précédent, il a connu une hausse de 200 millions FCFA en valeur absolue. La réunion du Conseil municipal a servi de tribune au maire pour baptiser la nouvelle salle de délibération de l’institution municipale «Macky Sall», actuel président de la Ré- publique.
Charretier et vigile fumeurs de chanvre indien
Adeptes de l’herbe qui tuent, Kh. Bitèye et A. Keita respectivement charretier et vigile n’ont pas vraiment de chance. Ils ont été surpris à la Zone de Captage, par les éléments de la brigade de recherches de la Police de Grand Yoff, en train de griller tranquillement leurs joints. Ils ont jeté les joints dès qu’ils ont aperçu les policiers. Les limiers ont retrouvé sur les lieux un cornet de chanvre indien dans un flacon. Ce qui va motiver leur conduite à la Police de Grand Yoff. Lors de son audition Kh. Bitéye a réfuté les faits tandis que son acolyte, lui, est passé aux aveux. Placés en garde à vue par la suite, les deux quidams ont été déférés au parquet pour détention aux fins d’usage de chanvre indien.