KEEMTAAN GI - CES VIOLEURS
Ce pays est extraordinaire et secrète également d’ahurissantes contradictions. Tout y marche sur la tête et tout s’y fait à l’envers. Comme ce rétablissement du poste de Premier ministre pour la justification duquel les députés vont nous servir des arguments qui seront l’exact opposé de ce qu’ils nous disaient lorsque leur génie de Chef avait décidé de supprimer ce poste de notre architecture institutionnelle. Et c’est avec joie et enthousiasme qu’ils vont encore violer notre pauvre Constitution. Il y en a qui font d’ailleurs déjà l’apologie de son viol ! Ce au moment où nos féministes enragées sont toutes griffes dehors pour combattre l’apologie du viol… Apparemment, il n’y a pas que des violeurs de miss dans ce charmant pays. Car, de même que ceux qui pénètrent sans leur consentement des jeunes filles ou des femmes méritent qu’on leur applique les rigueurs de la loi — qui criminalise le viol ! —, de même, ceux qui culbutent la Constitution quand l’envie leur prend sont de grands dangers pour la démocratie. Ce au même titre que les violeurs le sont pour les naïades. Et encore… Le ridicule ne tuant plus, pendant qu’un jeune homme est retenu en prison pour une affaire de trafic de passeports diplomatiques et que des députés incriminés dans cette même sale affaire vaquent tranquillement à leurs activités, un criminel économique dans un pays aussi pauvre que le nôtre qui vit de l’aide internationale, ce criminel économique, donc, fait dans la menace. Au moment surtout où l’on veut faire signer à une partie de l’opposition une connerie de charte pour la non - violence. Un faux monnayeur donc, bénéficiant d’une liberté provisoire pour des raisons prétendument médicales, déclare avec solennité que pour ce qui concerne le cas de ce dangereux Ousmane Sonko à qui le pouvoir ne souhaite pas du bien, ce sera œil pour œil et dent pour dent. Apparemment l’ex - bagnard mourant, injustement élargi pour sa proximité avec la Dame de cœur du Chef, doit avoir la certitude qu’il ne retournera plus en prison pour oser sortir ces saillies. Et personne pour le rappeler à l’ordre ou l’accuser de faire l’apologie de la violence. Les salauds sont apparemment toujours de l’autre côté. Le genre d’injustices flagrantes qui font enrager. Ils diront toujours, l’air blasé, tant pis. Et tant pis !!! KACCOOR BI
ARMEE DES OPÉRATIONS DE SÉCURISATION EN COURS À ZIGUINCHOR
Les armées sénégalaises mènent des opérations de ‘’sécurisation’’ dans la région de Ziguinchor (sud), depuis le 1er novembre, a-t-on appris jeudi de la Direction de l’information et des relations publiques des armées (DIRPA). ‘’En appui aux actions de désenclavement menées par les structures compétentes de l’Etat, les armées sénégalaises sont engagées dans la sécurisation de travaux de rétablissement d’axes et d’itinéraires au sud du département d’Oussouye, depuis le 1er novembre’’, écrit la DIRPA dans un communiqué. ‘’Il s’agit principalement de créer les conditions propices au retour des populations dans leurs localités d’origine et à la relance des activités socioéconomiques’’, précisent les journalistes militaires. Qui rappellent que des opérations similaires ont déjà été menées dans l’arrondissement de Niaguis, situé dans le département de Ziguinchor. ‘’La libre circulation des populations et de leurs biens est aujourd’hui devenue une réalité’’ dans cette zone, assure la DIRPA. ‘’Les armées ne ménageront aucun effort pour appuyer toutes les initiatives de l’Etat dans le sens de l’amélioration des conditions de vie des populations et d’un retour définitif de la paix dans cette partie du pays’’, promet-elle.
MAIRES ET PDTS DE CONSEIL DEPARTEMENTAL ELUS AU SUFFRAGE DIRECT LA LOI ADAPTÉE AU CODE ÉLECTORAL DES COLLECTIVITÉS
L'Assemblée nationale a adopté ce jeudi en séance plénière le projet de loi modifiant la loi 2013 du 28 décembre 2013 portant code général des collectivités territoriales. Selon le ministre des Collectivités territoriales, qui défendait le projet de loi devant les parlementaires, l'élection du maire et du président du conseil départemental au suffrage universel direct induit des changements. "Il s'agit de conformer le code général des collectivités territoriales au code électoral, sur le mode d'élection du maire et du président du conseil départemental au suffrage direct par électeurs. Parce que, dans l'ancien code général des collectivités territoriales, le maire était élu par les conseillers", a précisé le ministre des Collectivités territoriales, Oumar Guèye...
RESTAURATION POSTE PM L’APR SE DIT EN PHASE AVEC LE PRÉSIDENT MACKY SALL
Le contraire aurait étonné. L’Alliance pour la République (APR) est totalement en phase avec la décision du président Macky Sall de restaurer le poste de Premier ministre. Dans un communiqué signé par son porte-parole national, Seydou Guèye, ce parti estime que la décision du président de la République s’inscrit dans une perspective de renouveau institutionnel et de performance administrative en vue de renforcer notre modèle de gouvernance. A cet effet, l’Alliance Pour la République (APR) se félicite de l’accueil enthousiaste réservé, selon elle, à cette décision par de larges segments de la société, convaincus de son bienfondé et de sa pertinence. Dans ce sillage, l’Alliance Pour la République (APR) marque sa parfaite adhésion et exprime son soutien total au président de la République qui exerce, à travers ce projet de révision, une prérogative fondamentale que lui confère la Constitution : définir la politique de la nation et choisir la forme institutionnelle la plus appropriée pour sa mise en œuvre lit-on dans le document du ministre Seydou Guèye. Selon qui cette décision participe de la logique d’efficacité et d’efficience qui caractérise en permanence l’action du Président SALL, exclusivement orientée vers la satisfaction des attentes des populations et l’édification d’un Sénégal de tous, un Sénégal pour tous. Dans ce cadre, cette révision constitutionnelle, selon toujours l’Apr, traduit sa ferme volonté « d’adapter l’organisation du Pouvoir exécutif à un nouvel environnement économique et socio-politique » marqué par la crise de la Covid-19, l’adoption du Plan de relance de l’économie nationale (PAP2A) et un agenda diplomatique international dont l’Afrique et le monde attendent beaucoup du Sénégal et du Président Macky SALL. A titre d’illustration, le Président Macky Sall, Président en exercice de l’Union Africaine en 2022-2023, devra prendre en charge les questions relatives au développement du Sénégal, de l’Afrique et de leur place dans l’échiquier mondial. Et pourquoi pas prendre en charge les affaires du monde tant qu’on y est ?
LOCALES YEWWI ASKAN WI CHOISIT SES PLÉNIPOTENTIAIRES
La coalition « Yewwi Askan Wi » choisit ses plénipotentiaires titulaires et leurs suppléants. En effet, dans un communiqué signé par le mandataire national Déthié Fall, il est demandé aux coordonnateurs départementaux des comités électoraux de proposer à la Commission nationale des opérations électorales des plénipotentiaires titulaires et leurs suppléants par arrondissement, au nom des candidats des listes communales relevant de la compétence des sous-préfets ; et un plénipotentiaire titulaire et son suppléant, agissant pour le compte des listes communales, départementales et/ou de ville du ressort des préfets. Les coordonnateurs, précise la même source, doivent se concerter avec tous les candidats des communes en ce qui concerne le choix des plénipotentiaires relevant d’une sous-préfecture donnée. S'agissant des plénipotentiaires auprès des préfectures, les concertations se feront avec les candidats des têtes de liste majoritaire pour les communes du ressort, le candidat tête de la liste majoritaire pour le conseil départemental et/ou le candidat tête de la liste proportionnelle pour la mairie de ville. Les concertations devront faire l'objet de procès-verbaux transmis au secrétariat administratif de la Commission électorale nationale de la coalition via la sous-commission nationale de suivi des opérations électorales, au plus tard le lundi 29 Novembre 2021.
FAUX MEDICAMENTS DE LA PATTE D’OIE LES 4 PRÉVENUS SONT SORTIS DE PRISON
Les quatre prévenus dans l’affaire de la saisie des faux médicaments de la Patte d’Oie au mois d’avril dernier sont libres depuis hier. En prison depuis près de 6 mois, le DG de Dipro pharma biomedic, Mamour Niang, le gérant chinois Zang Haï Dong et son employé cuisinier, Bon Wang ainsi que le docteur Aliou Ba considéré comme le directeur général de la société Dahaï Co ont bénéficié d’une liberté provisoire accordée par le président de la 2ème Chambre correctionnelle du Tribunal de Grande instance de Dakar. L’affaire avait fait couler beaucoup d’encre et de salive au mois d’avril dernier. Visés pour association de malfaiteurs, vente illicite de médicaments, mise en danger de la vie d’autrui, faux et usage de faux dans un document administratif ainsi que blanchiment d’argent et de capitaux, les 4 prévenus ont tous bénéficié, ce 25 novembre, d’une liberté provisoire suite à la requête introduite en cours d’audience par leurs avocats notamment entre autres Mes El Hadj Diouf, Bamba Cissé et Abdoulaye Tall. Pour rappel, les mis en cause avaient été placés sous un mandat d’arrêt le 22 avril 2021 à la suite d’une saisie d’une importante quantité de dispositif médical et de médicaments estimés à hauteur de 46,532 tonnes dans une maison à la Patte d’Oie.
EMBOUTEILLAGE MONSTRE SUR LE PÉAGE
Un embouteillage monstre s’est produit hier tôt le matin sur l’autoroute à hauteur de la bretelle menant aux HLM. Un camion disposant d’un long plateau s’était totalement affalé le long de la Nationale sur l’axe menant vers le centre-ville. Les effets de l’imprudence du chauffeur de camion se sont traduits par un embouteille sur le péage de Keur Massar à la bretelle des HLM. Tous les travailleurs qui voulaient se rendre à leurs lieux de travail ont accusé un retard énorme. En effet, la situation ne s’est débloquée que vers les coups de 10 heures avec l’intervention des sapeurs-pompiers et la police. Le camion a pu être dégagé et la circulation rétablie. Mais les usagers ont particulièrement souffert hier matin.
Affaire miss Sénégal : Plus de 300 plaintes contre Amina Badiane
Le procureur de la République qui ne s’est pas saisi du viol présumé de Miss Sénégal 2020, sera alors obligé d’instruire l’affaire. Puisqu’un Collectif constitué plus de 300 femmes a déposé hier 300 plaintes sur la table du procureur de la République contre Amina Badiane, la présidente du Comité d’organisation de Miss Sénégal pour apologie du viol. Les membres du Collectif se sont adressés à la presse pour dénoncer l’attitude «irresponsable et irrespectueuse» d’Amina Badiane sur cette affaire. En plus d’un procès, le collectif réclame le retrait de la licence du Comité d’organisation. Elles ont déjà collecté 75 signatures en quelques jours après le lancement de la pétition. Selon Codou Aicha Faye, ces signatures seront déposées sur la table du gouvernement. Aussi, le Collectif propose la revue du concept.
Le Cusems en grève
Le Cadre Unitaire Syndical des Enseignants du Moyen Secondaire (Cusems) déterre la hache de guerre après une longue pause due à la pandémie de Covid-19. Abdoulaye Ndoye et Cie ont déjà concocté leur plan d’actions pour faire respecter le protocole d’accord du 30 avril 2018. Le Syndicat va observer un débrayage suivi d’une assemblée générale, mardi prochain. Ce mot d’ordre sera suivi par une grève totale le premier décembre prochain. Le Cusems décrète aussi le boycott de toutes les évaluations.
Macky Sall à Kinshasa
Le Président Macky Sall va prendre part aujourd’hui à la conférence de haut niveau sur l’élimination des violences contre les femmes et les filles en Afrique. Le chef de l’État a quitté Dakar hier, à destination de Kinshasa où se tient la rencontre. Le Président Sall rentre au pays à la fin de la conférence
«Gueum Sa Bopp» en cassation
Alors que le dépôt des dossiers de candidatures aux élections locales est oublié, des coalitions de l’opposition poursuivent la bataille judiciaire pour l’acception de leurs listes. Bougane Guèye Dany tient à sa candidature à la Ville de Dakar. Déboutée par la Cour d’appel de Dakar, la coalition «Gueum sa Bopp» a déposé hier, à la Cour suprême, un pourvoi contre le rejet de la candidature de Bougane Guèye Dany à la mairie de Dakar pour les Locales de janvier 2022. C’est Me Khoureyssi Ba qui a déposé la requête du pourvoi en cassation. Outre la ville de Dakar, le leader de «Gueum Sa Bopp» est aussi candidat à la commune de Mermoz Sacré-Cœur jusqu’ici entre les mains de Barthélémy Dias qui, lui aussi, convoite la mairie de la capitale. La coalition Gueum Sa Bopp a présenté au moins 11 listes dans le département de Dakar.
Soham digère mal son éviction
Manifestement, la maire sortante de la Ville de Dakar n’a pas toujours dirigé le choix porté sur le maire de Mermoz Sacré-Cœur, Barthelemy Dias par la coalition Yewwi Askan wi pour briguer la Ville de Dakar. Prenant la parole hier, lors d’un atelier de partage avec les femmes du comité ad hoc sur la paix, la démocratie, le respect des institutions et de l’Etat de droit, en tant que représentante de l’ensemble des femmes candidates aux communes du Sénégal, Soham Wardini s’est juste indignée du comportement de certains hommes qui ne veulent pas de femmes dirigeantes. Félicitant les initiatrices de cette rencontre, notamment la ministre Zahra Iyane Thiam et Fatou Blondin Diop, elle a rappelé le contexte très serré des investitures. «Vous avez vécu les investitures avec nous, et donc vous êtes témoin de ce qui s’est passé pour Fatou Blondin et pour moi», a-t-elle dit. Faisant allusion à la coalition Yewwi Askan Wi dont elle est membre, Soham Wardini révèle que sa candidature a été recalée à cause de son statut de femme. Ne comprenant pas la discrimination faite à son endroit au moment où il était demandé à tous les maires sortants de rester au niveau de leur poste pour candidater, elle dénonce qu’à la ville de Dakar, c’est parce qu’il y a une femme qu’il fallait l’enlever et mettre un homme. Chose qu’elle refuse catégoriquement vu que sa candidature a été portée, dit-elle, par des organisations de femmes et qu’elle a aussi un bilan à défendre.
«Siggil jigéén» exige l’annulation de «Miss Sénégal»
L’affaire du viol présumé suivi de grossesse de la miss Sénégal 2020 inquiète au plus haut niveau les organisations féminines. A l’unanimité, elles exigent l’arrêt immédiat et sans condition de ce concours qui, en réalité, est une violation de la dignité humaine. La présidente du réseau «Siggil jigéén», Safiétou Diop et compagnie ont profité de l’atelier de partage avec les femmes leaders pour tirer à boulets rouges sur le concours qui sacre les plus belles filles du Sénégal. Pour Mme Diop, il faut tout annuler ce concours et retirer la licence au comité d’organisation. A l’en croire, toutes les femmes sont scandalisées, car c’est une violation de leurs droits que d’exposer nos enfants comme des objets de plaisir pour les vendre à qui le veut. «Ne serait-ce que pour le droit à l’intégrité physique et morale, il va falloir qu’on arrête cette histoire de miss parce que c’est un nid d’exploitation sexuelle autour duquel gravitent des prédateurs», peste Safiétou Diop. Très remontée, elle invite tous les acteurs à s’inscrire dans l’assainissement de l’environnement des enfants pour les préserver de ces contrevaleurs qui sont en train de nous assaillir, mais également pour les protéger de cette exploitation mercantiliste de leur corps sous quelque prétexte que ce soit. Abondant dans le même sens, le Pr Amsatou Sow Sidibé se dit anéantie par cette histoire, parce que les filles sont utilisées comme des objets sans valeur. Pour elle, on ne peut pas construire une société de qualité si les filles sont considérées de la sorte, maltraitées, malmenées.
La Cour d’appel valide la candidature d’Amadou Lamine Dieng
La Cour d’appel de Kaolack a validé la candidature du directeur général de l’Ipres, candidat à sa propre succession à la commune de Wakh-Gouna. Selon Libération online, la Cour estime que la candidature du magistrat est recevable car, selon elle, Amadou Lamine Dieng est en disponibilité depuis six ans. Elle ajoute aussi que l’auteur du recours, Mamadou Diouf, aurait introduit son recours hors délai. Pas convaincu, ce dernier compte saisir la Cour suprême.
Les attentes du chef de l’Etat à la Semig
Le Président Macky Sall compte sur la Société d’Exploitation du Marché d’Intérêt national et de la Gare des Gros-porteurs (SEMIG SA) pour impulser et intensifier la modernisation du système de conservation, de transport, de distribution et de valorisation des productions (agricoles, maraîchères, halieutiques, animales…). Ce, avec une forte implication du secteur privé national dans le capital. A ce propos, il demande au ministre du Commerce de veiller au fonctionnement adéquat des infrastructures concernées ; à la consolidation du positionnement stratégique de la SEMIG SA à travers des actions de marketing et la délivrance de services de qualité aux opérateurs économiques ; à l’exploitation rentable des ouvrages réalisés dans le cadre du contrat d’affermage à signer. Le chef espère que ces infrastructures de la Semig vont contribuer à mieux organiser le développement des activités économiques et commerciales au Sénégal, à partir du pôle urbain de Diamniadio.
Cheikh Oumar Gaye en puissance
Restons avec le chef de l’Etat qui a procédé hier, en conseil des ministres, à la nomination à des postes de responsabilité dans le secteur du transport. Coumba Ndoffène Fall est nommée président du conseil de surveillance de l’Agence Nationale de Sécurité Routière (Anser). Jusque-là directeur des transports routiers, Cheikhou Oumar Gaye, Titulaire, est promu directeur général de l’Agence Nationale de Sécurité Routière (Anser). Quant à l’ingénieur des transports, Valdiodio Ndiaye, il devient directeur des transports routiers au ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, en remplacement de Cheikhou Oumar Gaye. Inspecteur en animation du développement. Mamadou Diouf est nommé inspecteur technique au ministère du Développement communautaire, de l’Equité sociale et territoriale.
03 nouveaux cas de covid-19 enregistrés
Le ministère de la Santé et de l’Action sociale a enregistré de nouvelles contaminations liées au coronavirus. Sur 1153 tests réalisés, 03 sont revenus positifs, soit un taux de positivité de 0,26%.Détectés dans les régions de Dakar et de Thiès, les nouveaux cas sont issus de la transmission communautaire. Selon les autorités sanitaires, aucun décès n’a été enregistré ce mardi. S’il n’y a pas de patient contrôlé négatif et déclaré guéri ce mercredi, 02 cas graves ont été pris en charge dans les services de réanimation. Depuis le 02 mars 2020, 73 973 cas de covid-19 ont été décelés sur l’étendue du territoire national dont 72 078 gué- ris. Le pays compte 1 885 morts causés par la maladie et 09 patients sous traitement. En ce qui concerne la campagne de vaccination, 1 801 personnes ont été vaccinées le mardi 23 novembre 2021, portant le nombre total à 1 320 032.
Nouvelle flambée de covid-19 en Europe
Près de 3,6 millions de personnes ont contracté, la semaine dernière, le nouveau coronavirus dans le monde, et plus de 51.000 d’entre elles en sont décédées, a indiqué mercredi l’Organisation Mondiale de la Santé (Oms). A l’échelle mondiale, le nombre de cas et de décès hebdomadaires liés à la Covid-19 a augmenté depuis plus d’un mois. Au cours de la semaine du 15 au 21 novembre 2021, près de 3,6 millions de nouveaux cas confirmés et plus de 51 ;000 décès ont été signalés, ce qui reflète une hausse de 6% des cas et des décès par rapport à la semaine précédente, d’après la même source. L’Europe a enregistré 260,2 nouveaux cas pour 100 000 habitants et les Amériques 73,6 nouveaux cas pour 100 000 habitants et elles restent les régions ayant signalé l’incidence hebdomadaire la plus élevée de cas. L’Europe représente d’ailleurs près de 67% de tous les nouveaux cas, affichant une augmentation de 11% par rapport à la période précédente. Les États-Unis, l’Allemagne, le Royaume-Uni, la Russie et la Turquie signalent plus de cas.
KEEMTAAN GI - COMME ON SE RETROUVE !
Tiens, tiens ! Ainsi donc, on retourne à la case départ. Quelle perte de temps ! Plutôt donc que de traiter plus rapidement les dossiers pour nous rendre la vie plus belle et pouvoir faire un plongeon spectaculaire dans un monde émergent qu’ils nous promettent, tout fonctionnait à pas de tortue. Et c’est maintenant seulement que le Chef vient de se rendre compte que son fameux « Fast-track » fonctionnait en mode ralenti ! Il vient donc de faire adopter en Conseil des ministres un projet de loi portant réforme de la Constitution pour rétablir le poste de Premier ministre. Quand il avait décidé de supprimer cette station, sa cour de flagorneurs n’avait pas manqué de louer le génie du Chef et de rivaliser d’arguments pour justifier la pertinence de sa décision. Et aussi l’inutilité du poste de PM ! On est impatients de voir à présent quels arguments les mêmes vont utiliser pour nous convaincre de l’impérieuse nécessité de la restauration de cette fonction qu’ils jugeaient inutile il y a 30 mois seulement ! Retour donc à la dure réalité. Et ça a commencé depuis hier avec le tailleur constitutionnel qui s’est muni de ses ciseaux pour dire le contraire de ce qu’il professait lors de la suppression de ce poste de notre nomenclature institutionnelle. Retour donc à la dure réalité où le Premier ministre devra aller au charbon. Peut - être pour contenir une opposition pas du tout bête et décidée à défendre crânement le respect de la Constitution. Ce qui vaut mieux que cette hypocrisie qui consiste à faire signer une charte sur laquelle le pouvoir sera le premier à chier. Et surtout, surtout face à un homme dont ses détracteurs disent avec amusement que tout qu’il dit est bâti sur la duplicité, sauf l’amour qu’il voue à son épouse… Et encore ! KACCOOR BI
POSTE-FINANCES PLUS DE 1 MILLIARD DE FRANCS DÉTOURNÉS
Pour le moment l’affaire est tenue secrète mais « Le Témoin quotidien » en a eu vent ! En effet, une somme de 1,3 milliard de francs aurait été détournée à « Poste-Finance », la filiale de la société nationale « La Poste ». Le trou est découvert au moment où l’ancien responsable de l’agence principale, M. Manga, après une prolongation de deux ans suite à son départ à la retraite, a reçu notification de cessation de travail, et où son remplacement, un certain M. Kobar, a été nommé. Les deux hommes n’ont pas encore eu le temps de faire la passation de service et le coffre-fort qui se trouve dans le bureau du partant n’a pas fait l’objet d’un inventaire. Ce qui étonne les employés de Poste-Finances », c’est que la direction générale n’a pas encore porté plainte. C’est comme ce qui s’était passé à l’Ipres il y a quelques années : lorsque « Le Témoin » avait annoncé un détournement de plusieurs centaines de millions (plus exactement 575 millions) de francs au niveau des tickets de restauration, beaucoup de gens étaient incrédules. A l’époque, nous nous demandions pourquoi le directeur général, Mamadou Diagne Sy Mbengue, n’avait pas porté plainte. Il est vrai que son assistante était mêlée à l’affaire. Ce n’est que des mois plus tard que la justice avait été saisie ! Là aussi, à « Poste-Finances », on espère qu’elle le sera. Ce détournement est d’autant plus fâcheux, en effet, qu’il est découvert au moment où l’établissement est en passe d’être transformé en une banque…
PERFORMANCE DE LA GESTION PUBLIQUE
Le président Macky Sall tient à la performance de la gestion publique à travers deux (2) principes directeurs : la transparence et la reddition des comptes. Le chef de l’Etat a salué la qualité du dispositif législatif et réglementaire encadrant l’organisation et le fonctionnement de la Cour des Comptes du Sénégal qui, dans le cadre de ses missions, a su asseoir: (i) un système de référence en matière contrôle des comptes ; (ii) une efficacité des missions de contrôle réalisées respectivement par les chambres des affaires budgétaires et financières, des affaires administratives et des entreprises publiques ; (iii) une pertinence des audits de performance des politiques publiques et le suivi des recommandations nécessaires à l’amélioration de la gouvernance publique.
MARCHÉ D’INTÉRÊT NATIONAL, GARE DES GROS PORTEURS
La question liée au développement des activités et de l’exploitation optimale du Marché d’Intérêt national et de la Gare des Gros Porteurs reste une forte préoccupation du Président de la République. Macky Sall a rappelé en Conseil des ministres que ces infrastructures de nouvelle génération, participent à mieux organiser le développement des activités économiques et commerciales au Sénégal, à partir du Pôle urbain de Diamniadio. Le Chef de l’Etat a indiqué, en outre, que la création de la Société d’Exploitation du Marché d’Intérêt national et de la Gare des Gros Porteurs (SEMIG SA), avec une forte implication du secteur privé national dans le capital, devra servir à impulser et intensifier la modernisation du système de conservation, de transport, de distribution et de valorisation des productions (agricole, maraichère, halieutique, animale…), en conformité avec les meilleurs standards internationaux. Le Président de la République a demandé, dès lors, au Ministre du Commerce de veiller : (i) au fonctionnement adéquat des infrastructures concernées ; (ii) à la consolidation du positionnement stratégique de la SEMIG SA à travers des actions de marketing et la délivrance de services de qualité aux opérateurs économiques ; (iii) à l’exploitation rentable (pour l’Etat et ses partenaires), des ouvrages réalisés dans le cadre du contrat d’affermage à signer.
CAMPAGNE AGRICOLE DÉMARRAGE CE JEUDI 25 NOVEMBRE
Ce jeudi 25 novembre 2021, la campagne de commercialisation arachidière démarre sur l’ensemble du territoire national. A ce titre, le Président de la République a rappelé au Gouvernement l’impératif d’assurer un bon déroulement de la campagne de commercialisation des produits agricoles (l’arachide en particulier) sur l’étendue du territoire national.
MESURES INDIVIDUELLES
M. Coumba Ndoffène FALL, Titulaire d’un Master 2 en gestion des ressources humaines, est nommé Président du Conseil de Surveillance de l’Agence nationale de Sécurité routière (ANSER). M. Cheikhou Oumar GAYE, Titulaire d’un Diplôme d’Etudes Approfondies en Analyse économique et Quantitative, précedemment Directeur des Transports routiers, est nommé Directeur général de l’Agence nationale de Sécurité routière (ANASER). M. Valdiodio NDIAYE, Ingénieur des Transports, est nommé Directeur des Transports routiers au Ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, en remplacement de Monsieur Cheikhou Oumar GAYE, appelé à d’autres fonctions. M. Mamadou DIOUF, Inspecteur en animation du développement, Titulaire d’un Master 2 en management de développement local et d’ingénierie sociale, est nommé Inspecteur technique au Ministère du Développement communautaire, de l’Equité sociale et territoriale.
POINT E LE TAXIMAN MOUSTAPHA GUÈYE TUÉ PUIS ABANDONNÉ DANS SON VÉHICULE: 2 SUSPECTS ARRÊTÉS
Un crime crapuleux choque plus d’un au Point E où un corps sans vie a été découvert dans la nuit du mercredi (hier) non loin de la piscine olympique ! Selon des informations exclusives de Seneweb, un chauffeur de taxi dénommé Moustapha Guèye a été atrocement tué à l’aide d’un objet tranchant puis abandonné dans son véhicule vers 03 heures. Mais ce crime commis sur Moustapha Guèye ne sera pas impuni ! En un temps record, les policiers du commissariat du Point E en charge de l’enquête ont réussi à mettre la main sur les deux meurtriers présumés de ce chauffeur âgé d’une quarantaine d’années. En effet, les hommes du commissaire Thiam ont interpellé l’un d’eux aux initiales M.D, ce mercredi vers 15 heures. Et le second mis en cause aux initiales I. S a été arrêté vers 21 heures d’après des sources autorisées de Seneweb. Actuellement, les deux tueurs présumés du chauffeur de taxi sont en garde à vue pour meurtre dans les locaux du commissariat du Point E. L’enquête suit son cours.
MAGISTRATURE SONKO DÉNONCE LA MAINMISE DE L’EXÉCUTIF
Pour Ousmane Sonko, les changements intervenus au sein du Conseil supérieur de la magistrature montrent combien l’exécutif a une mainmise sur le judiciaire. « Il est illusoire de parler d’indépendance de la justice au Sénégal. » « La réponse qui a été servie au magistrat qui a eu le courage de dire ce qu’il pensait lors de la rencontre du Conseil Supérieur de Magistrature par le ministre de la Justice prouve que c’est l’exécutif qui choisit ses juges. L’illustration parfaite en est sur les profils qui ont été retenus pour les postes du procureur de la République et pour le poste de doyen des juges », a laissé entendre Ousmane Sonko lors de sa conférence de presse tenue hier. Par ailleurs, la tête de file de Pastef/ Les patriotes, dit constater le départ de l’ex-procureur de la République Sérigne Bassirou Guèye. Toutefois, il reste sceptique quant à son successeur. « Je ne me réjouis absolument pas du départ de Serigne Bassirou Guèye. Parce qu’entre lui et celui qui vient, c’est la même chose et peut être même ce sera pire. Je ne m’en réjouis absolument pas. Je constate seulement et je dirais à Serigne Bassirou Guèye qu’il s’est vanté partout qu’il va avoir la tête de Sonko. Il a osé même proférer des menaces publiques et a osé même s’attaquer à ma vie privée. Mais aujourd’hui, il part et me laisse où je suis et s’il plaît à Dieu, il me verra longtemps », a laissé entendre Ousmane Sonko, lors du point de presse qu’il organisait...
ÉLECTIONS LOCALES LA COUR D’APPEL VALIDE LA CANDIDATURE DE AMADOU LAMINE DIENG
L’actuel maire de Wack-Ngouna, candidat à sa propre succession, va bel et bien prendre part aux prochaines élections locales. Ce, en dépit du recours introduit par M. Mamadou Diouf, économiste rural, aux fins d’annulation de sa candidature. Le requérant avait ainsi estimé que la tête de liste communale de Benno Bokk Yakaar à Wack Ngouna ne pouvait pas briguer un mandat électif conformément à la loi sur le statut des magistrats en citant l’article L.273 du Code électoral qui dispose que «les magistrats de la Cour des comptes sont inéligibles pendant l’exercice de leurs fonctions et 3 mois après l’expiration de celles-ci». Mais la Cour d’appel de Kaolack n’a pas suivi la requête du sieur Diouf, car elle vient tout simplement de valider la candidature du maire de Wack-Ngouna Amadou Lamine Dieng. Motif, la cour déclare irrecevable ledit recours pour avoir dépassé les délais requis pour attaquer la décision préfectorale. Le requérant compte porter l’affaire au niveau de la Cour suprême...
BARRAGES MONDIAL- AFRIQUE RECOURS À DES ARBITRES EUROPÉENS ?
L’Afrique tout entière a les yeux rivés sur les derniers et ultimes matches de barrage pour la Coupe du monde 2022 au Qatar. Dix pays qualifiés (Sénégal, Tunisie, Maroc, Algérie, Nigeria, Égypte, Ghana, Cameroun, Mali, et Rd Congo) attendent tous avec impatience le tirage au sort pour connaître leur adversaire. La Coupe du monde de football, on le sait, est le plus grand événement sportif de la terre. En dehors de l’immense engouement populaire et médiatique, la participation à une Coupe de Monde est liée à des enjeux géopolitiques. Donc chaque équipe rêve d’y aller, chaque pays veut y participer, quitte à sacrifier son budget national ! D’où l’importance de prendre toutes les dispositions et garanties pour que les matches se jouent dans le fair-play et dans le respect de l’éthique sportive. Tout cela pour dire que certains pays qualifiés doivent demander à la Fifa de réquisitionner des arbitres européens pour les barrages. « Pour avoir voyagé en Afrique, je connais de richissimes fédéraux dont la fortune personnelle dépasse le budget du ministère sénégalais des sports. Ces gens-là, qui ne vivent que du football, sont capables de signer un pacte de corruption pour une sentence arbitrale. Donc, les arbitres européens sont plus sûrs pour ces matches couperets dès lors que l’Afrique est le continent le plus corrompu…» met en garde le dirigeant d’un grand club africain. « Souhaitons qu’au sortir de ces barrages, l’histoire ne me donnera pas raison » prévient notre lanceur d’alerte