La Bnde obtient un financement de 05 millions d’euros
Une bouffée d’oxygène pour la Banque Nationale pour le Développement Économique (BNDE)-Sénégal. Hier, la Banque africaine d’import-export (AFREXIM BANK) et la BNDE-Sénégal ont signé un accord de ligne de financement de 05 millions d’euros à Durban, destiné à accompagner les entreprises sénégalaises dans le cadre du financement des besoins en fonds de roulement des PME-PMI. Ainsi ce fonds permettra à la BNDE de renforcer ses capacités financières et disposer d’importantes ressources pour poursuivre le développement de l’affacturage et soutenir les entreprises dans leur activité courante. Pour rappel, cette nouvelle convention d’accord de financement vient consolider une longue relation de confiance entre les deux institutions. La BNDE a eu à bénéficier auprès d’AFREXIM BANK d’un premier accord de financement qui lui a permis de lancer l’activité de l’affacturage au Sénégal.
Matar Bâ et les syndicats d’enseignants
Les syndicats d’enseignants les plus représentatifs appelés G7 étaient hier au ministère des Sports dans le cadre du monitoring des accords et des perspectives. Le ministre Matar Ba, entouré de ses collaborateurs, a informé les syndicalistes des dispositions déjà prises par son département. Il s’agit de la formation diplômante des contractuels de l’EPS ; l’ouverture d’une filière de niveau Bac+2 au CNEPS ; la préparation du décret portant création de certificat d’aptitude aux fonctions de professeur de collège d’enseignement moyen en EPS (CAPCEM-EPS) ; la reprise de l’examen pour les contractuels de l’EPS recalés á l’issue de l’examen organisé à la fin de leur formation au CNEPS et la préparation du décret modifiant le décret portant création du CAPCEM-EPS. Selon Matar Ba, la modification de ce décret permet aux cinq promotions sorties du CNEPS avant 2018 d’obtenir leur diplôme du CAPCEM-EPS. A ce propos, son département a transmis au secrétariat général du gouvernement un nouveau projet de décret modificatif qui prend en compte les modalités de formation des maîtres d’EPS pour l’obtention du CAPCEMEPS. Avant de lever la séance, le ministre des Sports a pris l’engagement, en synergie avec les autres ministères sectoriels, de parachever dans les plus brefs délais les accords convenus.
06 patients de covid-19 sous traitement
Dans son bulletin d’hier sur la situation du coronavirus au Sénégal, le ministère de la Santé et de l’Action Sociale a indiqué que le pays ne compte plus que 06 patients sous traitement. Aussi, selon les autorités sanitaires, sur 1 144 tests réalisés, 02 sont revenus positif, soit un taux de positivité de 0,17%. Les nouvelles contaminations détectées dans la région de Saint-Louis sont composées d’un cas contact et d’un cas issu de la transmission communautaire. Si 02 patients suivis ont été contrôlés négatifs et déclarés guéris, 03 cas graves ont été pris en charge dans les services de réanimation. D’après la même source, aucun décès n’a été enregistré ce mercredi 17 novembre 2021. Depuis le 02 mars 2020, 73 962 cas de covid-19 ont été décelés sur l’étendue du territoire national dont 72 072 guéris et 1 883 morts. S’agissant de la campagne de vaccination, 1 208 personnes ont été vaccinées le mercredi 17 novembre 2021, portant le nombre total à 1 312 681.
Intoxication alimentaire à l’Université de Bambey
Plusieurs étudiants de l’université Alioune Diop sont victimes d’intoxication alimentaire depuis quelques jours. L’affaire a pris une proportion inquiétante au point que le directeur du Crous a pris par mesure de précaution de fermer temporairement le restaurant. Selon l’activiste Pape Abdoulaye Touré qui a saisi le président de la coordination des étudiants dissoute, Assane Ndour, plus de 200 étudiants souffrent d’intoxication alimentaire entre lundi et jeudi. Assane Ndour a soutenu que certains étudiants sont évacués à l’hôpital et d’autres sont pris en charge au service médical du campus. Selon M. Ndour, la qualité de la restauration reste toujours un sérieux problème dans pratiquement toutes les universités publiques du pays à cause du surpeuplement. Sur Rfm, Assane Ndour soupçonne des pâtes et de la viande en conserve servis au dîner. Malgré l’inexistence d’amicales, il promet que les étudiants ne resteront pas les bras croisés.
Journée mondiale des toilettes
A l’instar de la communauté internationale, le Sénégal va célébrer ce vendredi la journée mondiale des toilettes. Une question cruciale puisque bon nombre d’écoles élémentaires publiques ne disposent pas de toilettes adéquates. Les parents d’élèves se demandent ce que font les autorités municipales et étatiques pour des toilettes fonctionnelles dans les écoles publiques.
Assassinat de Fatoumata Mactar Ndiaye
Pikine se souvient toujours de Fatoumata Mactar Ndiaye, 5e vice-présidente du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE), tuée le 19 novembre 2016 dans des conditions atroces. Malgré l’interpellation de son chauffeur, le meurtrier, ses proches continuent de s’interroger sur les circonstances exactes du meurtre et les commanditaires. Pour immortaliser Fatoumata Mactar Ndiaye, un centre de coaching et d’incubation a été baptisé à son nom par l’une de ses militantes, Aïssata Dièye Diaby non moins conseillère du président de la République chargée des questions des nouvelles technologies de l’information et de la communication.
Arrestation de l’activiste de Diop Taïf
L’activiste Lamine Bara Hawdou dit Diop Taïf a été arrêté hier par la police devant le camp Abdou Diassé, en plein direct sur facebook. Ses camarades de Frapp s’inquiète pour lui parce qu’ils n’ont aucune de ses nouvelles et son téléphone est éteint. Frapp alerte sur ce qu’il appelle le kidnapping de leur camarade.
Floraison de bulletins nuls aux Locales
La pléthore de listes aux élections territoriales risque de créer une grande confusion chez les électeurs en plus du double vote, à savoir la commune etla ville ou département. Moundiaye Cissé de l’Ong 3D exhorte les acteurs politiques à beaucoup sensibiliser les populations à cause de la complexité du scrutin. A l’en croire, les confusions lors des dépôts des listes s’expliquent par les nouvelles réformes que même les acteurs politiques ont du mal à maîtriser, de surcroît les citoyens. Il prévient que si les acteurs ne mettent pas l’accent sur la sensibilisation, il y aura beaucoup de bulletins nuls ;
L’État prévoit de construire 34 centres d’état-civil
L’Etat a prévu de construire d’ici 2023 34 centres d’état-civil modernes, équipés et informatisés, a annoncé, jeudi àKaolack, le ministre des Collectivités Territoriales, du Développement et de l’Aménagement des Territoires, Oumar Guèye. Ces centres d’état-civil seront construits dans le cadre du programme d’appui au renforcement du système d’information de l’état-civil et de la consolidation d’un fichier national d’identité biométrique au Sénégal, a-t-il déclaré à l’APS, à l’occasion de la troisième réunion du comité national de pilotage dudit programme, en présence de l’ambassadrice de l’Union européenne au Sénégal, Irène Mingasson, des élus locaux et du gouverneur de Kaolack, Alioune Badara Mbengue. Il est prévu également, d’ici 2023, la rénovation de 80 centres pour une préparation de la digitalisation du système, l’aménagement etla rénovation complète de 188 salles d’archivage, sans compter les salles d’archivage à construire pour les greffes des tribunaux de grande instance. Oumar Guèye a expliqué que cette réunion essentiellement consacrée au bilan technique et financier de la première année et à la validation du plan de travail annuel budgétisé de la deuxième année a été décentralisée à Kaolack, en raison du caractère participatif etinclusif dudit programme. Selon lui, depuis le lancement de ce programme, 596 centres d’état-civil etles greffes des 15 tribunaux de grande instance du pays ont été visités.
Stratégie nationale de réduction des risques de catastrophe
Un atelier de partage sur le diagnostic des capacités nationales en matière de réduction des risques de catastrophe (Rrc) s’est ouvert hier en vue de l’élaboration d’une stratégie nationale de réduction des risques de catastrophe et d’adaptation aux changements climatiques (Aac), a constaté l’Aps. Selon les organisateurs, la rencontre s’inscrit dans les orientations des pouvoirs publics, rappelées en conseil des ministres du 06 novembre 2019 et du 08 avril 2020 par le chef de l’Etat, Macky Sall. Le gouverneur de la région de Dakar précise que cet atelier offre l’occasion aux participants d’apporter leurs contributions à travers un diagnostic exhaustif des dispositifs de prévention et de coordination des interventions existantes à l’échelle nationale. A l’en croire, ce diagnostic va permettre d’évaluer de façon exhaustive les pertes et risques liés aux changements climatiques ainsi que le dispositif institutionnel de protection civile, dans l’optique d’apporter les redressements nécessaires. Selon lui, il permet aussi de prendre en compte les réalités et le contexte de chaque région. A l’issue des travaux, le profil risque de chaque région sera connu et également le diagnostic des capacités nationales pour ensuite faire une synthèse nationale qui va précéder à l’élaboration de la stratégie nationale de protection civile et de réduction des risques de catastrophe. Ce document de panification sera accompagné d’un plan opérationnel 2022- 2030.
La pauvre ! Mais où est donc la solidarité féminine ? La plus belle fille du Sénégal de l’année 2020 a été engrossée par un salopard. Il ne faudrait pas avoir peur des mots puisqu’il ne peut s’agir que d’une vermine de cette espèce. Une grossesse issue d’un viol. Et, suprême déshonneur, la malheureuse ignore l’identité de son violeur. Ça, c’est l’histoire servie par la miss. Mais voilà ! Plutôt que de protéger cette jeune fille, la présidente du comité d’organisation de ce concours de beauté nous sert une jurisprudence toute bête. Sûrement à la dimension de son niveau intellectuel. Qui sait… La bonne dame, responsable morale de ces jeunes filles souvent fraichement sorties de l’adolescence et qui rêvent de strass et de paillettes, pense que si la malheureuse a été violée, c’est parce qu’elle a été consentante. Ah, bon ? Ou encore quand on est majeur on ne se fait pas violer. Quelle belle légèreté sortie de la bouche d’une femme. Rien que pour ça, on devrait lui retirer la licence qui lui donne l’autorité d’organiser ce concours de beauté. Sa réponse nous parait toute bête. En France, l’élection de la plus belle fille est une affaire nationale et la Miss, presque une institution. Mais dans ce pays de paradoxes, la belle demoiselle est laissée à elle-même et à la merci d’adultes aux crocs acérés qui n’attendent que le moment propice pour sauter sur leur proie. Pour ne pas dire la détourner de sa mission qui est de vendre l’image du pays et non pas se vendre. Et c’est certainement ce qui est arrivé à cette pauvre jeune fille de 20 ans. Un viol dont elle ne se souvient pas. Ce qui suppose qu’elle a été droguée par le salaud. Des malheureuses à qui on fait rêver d’une vie de princesse. A l’arrivée, le blé est pour l’organisatrice à travers de généreux sponsors. Une vraie mafia sexuelle entre prostitution et promotion canapé. La fin de l’histoire ? D’anciennes élues l’accusent de mère maquerelle. Le comble !
KACCOOR BI
ARMEES 10 MILLIONS DE FRS AUX FAMILLES DE MILITAIRES TUES OU BLESSES INAPTES
Les familles des militaires tués en opérations ou blessés inaptes reçoivent une indemnité de 10 millions de frs. L’information a été confirmée par le colonel Cheikh Dieng Directeur de l’Action sociales des Armées. « Les veuves notamment celles ayant en charge des enfants mineurs, les orphelins et les blessés au combat constituent les cibles prioritaires bénéficiaires des aides et secours apportés aux couches les plus vulnérables. Les militaires blessés en opérations doivent bénéficier de la solidarité agissante du commandement, en plus des actions déterminantes qui ont été mises en œuvre par Monsieur le Président de la République, le chef suprême des Armées pour les accompagner (en particulier l’allocation d’une indemnité de 10 millions de frs aux familles des militaires décédés et aux militaires blessés inaptes au service libérés depuis le 03 avril 2012 et l’octroi de la pension mixte récemment en juin 2021 » souligne le colonel Dieng dans les colonnes du dernier numéro du magazine Armée -Nation intitulé « Forces armées et résilience nationale ».
ACTIONS SOCIALES D’ENVERGURE DU NOUVEAU CEMGA
Le nouveau CEMGA Cheikh Wade a décidé de donner une nouvelle impulsion aux actions sociales de l’Armée. « Le Cemga a décidé d’orienter son action sociale sous le sceau d’une intervention différenciée et ciblée. C’est ainsi que le statut de la veuve bénéficiaire des aides et secours durant les fêtes religieuses a été redéfini. Désormais, cette aide est attribuée aux veuves (veufs) dont les époux (épouses) sont décédés en activité et ayant en charge des enfants âgés de moins de 21 ans. Ce choix s’explique par la nécessité de rendre l’action plus efficace et plus efficiente C’est dans ce cadre qu’une mise à jour a été récemment opérée par les assistantes sociales des différentes zones militaires et qui a permis une meilleure maîtrise de cette population et in fine, un plus grand impact pour les bénéficiaires » informe le colonel Cheikh Dieng dans les colonnes d’Armée Nation. Le patron de l’Action sociale des Armées ajoute qu’ « à l’occasion du mois de ramadan 2021, en plus du soutien habituel apporté aux militaires du rang et sous-officiers (kits de denrées alimentaires et produits divers), les 1451 veuves musulmanes figurant dans le vivier ont bénéficié d’un soutien en denrées alimentaires pour une valeur totale de 165 millions de frs. Pour la Tabaski, après toilettage du fichier des veuves, l’allocation attribuée à chaque veuve musulmane a été portée de 75.000 à 100.000 frs. Les veuves chrétiennes bénéficieront évidement d’un soutien identique à l’occasion des principales fêtes de leur communauté (Pâques et Noel). La prise en charge sociale des veuves dans les premiers mois de viduité avec un accompagnement mensuel financier de 50.000 frs jusqu’au paiement de la pension de réversion. Cette allocation qui était allouée sur une base bimensuelle est désormais mensuelle sur décision du CEMGA »
UNE MAISON A TOUT MILITAIRE TOMBE AU COMBAT
Ne quittons pas de sitôt la Grande Muette. Dans les colonnes d’Armée Nation, nous apprenons que la famille de tout militaire tombé au combat aura droit à une maison à la cité COMICO. Commentant cette importante décision du CEMGA, le colonel Cheikh Dieng dira que « cependant la mesure phare décidée par le CEMGA est l’octroi à compter du 1er janvier 2021 d’une maison à la COMICO à la famille de tout militaire tombé au combat en Opérations intérieures et d’un terrain toujours de la COMICO à tout militaire blessé au combat sur présentation d’une certification d’origine de blessure (COB) conforme. Les militaires décédés ou blessés en opérations extérieures sous l’égide de l’ONU ou de la CEDEAO bénéficient déjà de mécanismes qui ouvrent droit à une indemnisation substantielle. Cette décision du CEMGA constitue donc une reconnaissance et une revalorisation des sacrifices consentis par les militaires au niveau des théâtres intérieurs ».
INTERVIEW EXCLUSIVE ME MARCEL CECCALDI INVITE D’IRADIO
Décidément ! Notre confrère Alassane Samba Diop est un « diable » de journaliste très resauté. « Le Témoin » se demande comment «Alou » ou le dirpub de iRadio a réussi à décrocher un invité rarissime. Il s’agit du célèbre avocat français Me Marcel Ceccaldi. Très connu en Afrique où on le décrit comme l’héritier de Me Jacques Vergès, l’invité du groupe Emedia a été conseiller ou avocat de plusieurs chefs d’Etat africains chassés ou capturés comme Laurent Gbagbo, Moussa Dadis Camara, José Mario Vaz etc. Me Ceccaldi s’était aussi distingué dans la défense des membres du clan de l’ancien président libyen feu Mouammar Kadhafi. Justement à travers cette interview exclusive accordée à iRadio, Me Marcel Ceccaldi a parlé de la candidature de Seif Al-Islam alias Kadhafi fils à l’élection présidentielle prévue en décembre prochain. Selon Me Ceccaldi, son client Seif Al-Islam Kadhafi a recueilli plus de 7000 parrainages alors que ses deux concurrents sont à 2000 parrains, histoire de conforter la légitimité de cette candidature. Me Marcel Ceccaldi, à iRadio. L’ancien conseiller juridique du défunt président libyen a minimisé la menace de la Cour pénale internationale (Cpi) sur la candidature de son client Seif Al-Islam Kadhafi. "Voulez-vous vous reporter aux résultats de la CPI ? Mbemba du Congo a été acquitté, Gbagbo, après dix années de détention, aussi acquitté. Le président kenyan, poursuivi pour trouble avant les élections également acquitté. Que reste-t-il à la Cpi ? Il faut être parrainé pour pouvoir se présenter aux élections. Mon client a, aujourd’hui, recueilli plus de 7000 parrainages alors que ses deux concurrents n’en ont pas encore recueilli 2000 » a fait savoir l’avocat français Me Marcel Ceccaldi à notre très réseauté confrère Alassane Samba Diop dit Lazou, dirpub de iRadio.
AFFAIRE KILIFEU ET SIMON Y EN A MARRE DENONCE « UNE JUSTICE REVANCHARDE, MANIPULEE PAR LA POLITIQUE »
La libération de Simon pour raison de maladie n’a pas freiné l’ardeur du mouvement Y en A marre. Il a rué encore dans les brancards pour dénoncer la manière dont le dossier judiciaire de ses deux membres est traité. "Aujourd'hui il est clair que Kilifeu est un citoyen sénégalais, le juge d'instruction l'a entendu et il a présenté toutes les garanties pour bénéficier d'une liberté provisoire, mais aujourd'hui il reste en prison parce qu'il a ses opinions, son combat et sa voix et c'est ça le problème. Il est devenu un otage d'une justice revancharde qui est manipulée par la politique. Au-delà de ça, il est important de s'interroger sur l'indépendance de la justice, eu égard à l'affaire des députés impliqués dans un trafic de passeports diplomatiques. Depuis quand ce dossier a été porté devant la justice, mais jusque-là rien n'a été fait", dénonce le coordinateur du mouvement Y En A Marre, Aliou Sané. Ces dérives dans le traitement des dossiers judiciaires poussent le Mouvement Y En A Marre à annoncer une série de manifestations publiques un peu partout dans le pays pour dire halte à la manipulation de la justice sénégalaise. « Pour les séries de manifestations que nous comptons organiser, nous allons en parler avec tous les citoyens pour les sensibiliser. Nous comptons faire de vastes mobilisations un peu partout dans le pays pour dire halte à la manipulation de la justice. Ce sera une série d'activités et nous sommes en train de travailler sur la conduite à tenir », a indiqué Thiat, un des membres du mouvement Y En A Marre...