Farba Ndiaye plutôt originaire de Diakhao
Dans notre édition d’hier, le parrain du gala de Thomas Faye, du 4 juin à Fatick, a fait une sortie pour annoncer la couleur de ce que sera sa journée. Seulement, au lieu de Patar comme écrit dans le papier, Farba Ndiaye est bien originaire de Diakhao. Aussi, l’on a oublié de citer Cheikh Kanté parmi les personnalités de Fatick auxquelles il fait appel pour cet évènement majeur.
Reug Reug rate sa 1ère à Gaal-Gui…
De toute sa jeune carrière, Reug Reug n’a pas encore lutté au terrain Gaal-Gui. L’on pensait que ce serait fait dimanche dernier à l’occasion du gala organisé par Mamadou Mbingane Sagne. Seulement, un de ses coéquipiers, Ameth Dème, avait un combat à Iba Mar Diop. Et il ne pouvait ne pas aller l’assister. Ce n’est que partie remise.
…Où on retrouve un arbitre par combat
Revoilà les galas de lutte à Dakar, revoilà les combats avec un seul juge. Dimanche passé au terrain Gaal-gui, ceux qui ont effectué le déplacement ont constaté qu’il n’y avait qu’un arbitre par combat. Tout le contraire de Fatick où on prend le soin de mettre trois juges sur chaque combat. Ce qui permet sûrement de réduire la marge d’erreurs. N’estce pas Sitor ?
Alpha Samb reporte son gala de Thiadiaye
Le 5 juin à Thiadiaye, le promoteur Alpha Samb devait organiser un grand gala de lutte sans frappe avec une mise de trente boeufs. Mais, cette date étant très proche du Ramadan, qui pourrait commencer juste le lendemain, l’enfant de Nguéniène a préféré reporter la journée après le jeûne.
Babou Ngom félicité par Yékini
À Fatick samedi dernier, le batteur Babou Ngom a puisé au fond de lui-même pour offrir une prestation appréciée de tout le monde. Le promoteur du jour, Yékini, qui n’a pas été insensible à cette démonstration de force, a tout simplement félicité le tambour major de Gandiaye.
Kafal fait forte sensation
Sa prestation de dimanche au terrain Gaalgui est encore sur toutes les lèvres. Kafal, tambour major de Djilass, a impressionné plus d’un de par ses batteries endiablées et très rythmées. Comme quoi, Mbingane n’a pas eu tort de le déplacer à Dakar.
Modou Mbaye, nouvel animateur des face-à-face
Les promoteurs font maintenant appel à lui pour animer les signatures de contrat. Depuis quelque temps, on ne voit plus Malick Thiandoum ou El Hadj Bécaye Mbaye pour diriger ces manifestations d’avant-combat. Les jakarlo Feu Rouge / Ameth Dème et Malaw Sèras / Mod’Dia portent sa signature.
Le Hamburger de Modou Dia
Convoqué à 9h pour une signature de contrat qui a débuté vers 14h, normal que la faim ronge Modou Dia de Yoff. Il a alors commandé un Hamburger bien fait avant le démarrage de la manifestation. Il le fallait bien pour tromper cette faim de loup.
Balla Diouf attend son opération
Le prochain adversaire de Nandy Fall est toujours malade. Victime d’une rupture des ligaments, Balla Diouf suit son traitement médical en attendant de subir une intervention chirurgicale dans les mois à venir. Une indisponibilité médicale qui l’empêche d’honorer ce combat
En raison du chômage délibéré de Balla Gaye 2 et de la désillusion de Gouye Gui devant Ama Baldé, Guédiawaye espère que Lac 2 va sauver la face contre Yékini, comme il l’avait fait la saison dernière contre Papa Sow de Fass.
Les choses ne marchent plus fort pour les ténors de Guédiawaye. À l’exception d’Elton, vainqueur de Tyson 2 de Tay Shinger, les VIP de cette localité n’ont pas eu leur rayonnement d’antan cette saison. La plupart d’entre eux vont à coup sûr effectuer une saison blanche. Balla Gaye 2, après deux revers devant Bombardier et Eumeu, n’envisage de lutter que l’année prochaine. Gouye Gui de l’école de lutte Mor Fadam, qui avait intégré le tournoi TNT, s’est retrouvé avec deux défaites en trois combats, devant Tapha Tine et Ama Baldé. Abdou Diouf de l’écurie Walo n’a plus lutté depuis un moment. Double Less 2 de l’école de lutte Balla Gaye est dans cette même situation.
Et, pour ne rien arranger, le colosse sa Cadior 2 est alité et interné actuellement à l’hôpital Principal où il éprouve d’énormes difficultés. Ainsi, il n’y a que Lac de Guiers 2, le leader de l’écurie Walo, qui va disputer un combat grandeur-nature, le 24 juillet prochain au stade Demba Diop face à Yékini. L’un des VIP de Guédiawaye aura la lourde responsabilité de sauver la saison plus que compliquée des lutteurs de cette partie de la banlieue. Pape Ansou Cissé devrait donc tout faire pour remporter ce combat afin de prouver que sa ville natale est l’un des meilleurs bastions de la lutte avec frappe. De ce fait, il pourrait alors conforter son leadership à Guédiawaye. La saison dernière, il a réussi à sortir son terroir du gouffre en s’imposant devant Papa Sow.
Là où Balla Gaye 2 a perdu face à Eumeu Sène. S’il refait le même coup cette année, Lac 2 pourra s’ériger en sauver de cette ville.
Après le génocide rwandais de 1994, le nombre de musulmans a fortement augmenté. Selon certaines personnes, cela s’explique par le fait que de nombreux musulmans ont protégé aussi bien les Hutus que les Tutus lors des massacres. Le rôle de certains responsables catholiques et protestants dans le génocide a aussi poussé des gens à embrasser la religion musulmane. L’Islam demeure cependant une des religions minoritaires.
Mbaye Diagne, héros sénégalais au Rwanda
Quasiment inconnu au Sénégal, le capitaine Mbaye Diagne est un véritable héros au Rwanda. L’ancien Casque bleu avait risqué sa vie pour sauver de nombreux civils menacés d’extermination. Le 7 avril 1994, après l’assassinat de la Première ministre agathe Uwilingiyimana, Mbaye Diagne avait sauvé ses 5 enfants d’une mort certaine en les cachant à l’hôtel des Mille Collines. ayant mené plusieurs actions de sauvetage contre les miliciens, il décédera le 31 mai 1994 à la suite d’un éclat de mortier. En juillet 2010, sa veuve et ses enfants avaient été honorés par le Président Paul Kagamé.
Les «Jakarta» présents aussi à Kigali
Comme dans certaines localités du Sénégal, les mototaxis sont aussi très utilisés au Rwanda, particulièrement à Kigali. On aperçoit les conducteurs un peu partout et ils proposent des services moyennant environ 500 francs rwandais (376 FCFa). Très disciplinés, solidaires et organisés, on ne les voit jamais griller un feu rouge ou faire dans l’excès de vitesse.
Harouna Niyonzima sacré avec Young africans
Harouna Niyonzima, l’un des rares internationaux rwandais évoluant à l’extérieur sélectionnés face au Sénégal, vient de décrocher le titre de champion de Tanzanie avec Young africans. C’est son 3ème titre en 4 ans avec le club tanzanien qui vient aussi de décrocher sa qualification à la phase des poules de la Coupe de la CaF.
Johnny Mackinstry, plus jeune coach d’Afrique
Le Rwanda a sûrement le plus jeune sélectionneur du continent africain. À seulement 30 ans, l’Irlandais Johnny Mackinstry est porté à la tête de la sélection nationale rwandaise depuis mars 2015. Grand fan de Newcastle, il a aussi dirigé la Sierra-Leone en pleine crise Ebola.
Sibomana abouba champion avec gor Mahia
Décidément, les internationaux rwandais évoluant à l’étranger respirent la forme. Sibomana abouba, défenseur du club kenyan de Gor Mahia, vient aussi de décrocher un 4ème titre de champion consécutif. Il rejoindra les Amavubis cette semaine, avant la rencontre du 28 mai contre le Sénégal.
La vache très présente dans la culture rwandaise
La vache occupe une place importante dans la culture rwandaise. En Kinyarwanda, la salutation traditionnelle est «amashyo» qui veut dire «souhaiter beaucoup de troupeaux de vaches». Pour répondre, on dit «amashyo Ngore», c’est-à-dire «beaucoup de troupeaux avec des femelles ». Même pour les mariages, une vache est souvent offerte en guise de dot.
12 mille sidéens par an
Une étude publiée en 2015 montre que le taux de prévalence du sida au Rwanda est de 2,27%, soit 12 mille personnes contaminées chaque année. Des chiffres qui prennent des allures plus inquiétantes dans les villes comme Kigali où le taux de prévalence est estimé à 5,6%.
An 2000 refuse qu’Hypo Ngary le touche
La prudence est de mise du côté de l’écurie JAP. Venu au premier face-à-face avant son combat contre Forza, An 2OOO a systématiquement refusé que le micro central Hypo Ngary le touche. Ce dernier voulait le pousser vers le côté gauche pour inviter le promoteur Diaks à se mettre entre Forza et lui. Un geste que n’a pas apprécié l’adversaire du Fassois.
Feu Rouge et Ameth Dème agacent les amateurs
Le spectacle offert par ces deux lutteurs n’a pas laissé indifférents les amateurs venus massivement dimanche 22 mai au stadium Iba Mar Diop. Feu Rouge a certes tenté des choses dans ce combat mais il n’est pas allé au fond. Ameth Dème s’est contenté de trop défendre
L’intifada de leurs supporters
C’était la grande bat ai lle à la pierre à laquelle les deux camps se sont livrés après le combat. La Rue 11 jalonnant le stadium Iba Mar Diop était inondé de cailloux. Les GMI étaient obligés de se déployer pour disperser les camps en opposition.
Adama Dialy mise 500.000 FCFA à Kaolack
Pour une fois, la grande cantatrice Ndèye Fatou Adama Dialy va troquer son micro contre un grand boubou de promotrice du 3 au 4 juin, au stade Lamine Guèye de Kaolack. La mise sera de 700.000 FCFA : 200.000 pour les légers et 500.000 FCFA pour les poids lourds. L’animation sera l’oeuvre de Mor Ngom et de la troupe de feue Khady Diouf.
Gaal-gui rassemble 51.425 pour Diomaye Faye
Ceux qui ont l’habitude de suivre la lutte simple, particulièrement à l’arène Adrien Senghor, connaissent bien le photographe Diomaye Faye. Mais ce dernier est alité depuis plusieurs mois et a dépensé assez d’argent. Pour lui venir en aide, une quête a été faite pour lui, dimanche à Gaal-Gui. Et les amateurs ont pu rassembler 51.425 FCFA. Un geste à saluer
Fatou Guèye et sa prestation de feu
Ceux qui étaient au terrain Gaal-gui dimanche passé, pour le retour sur les lieux après 23 mois, ont tout simplement été servis. La cantatrice Fatou Guèye, dopée par on ne sait quel virus, a été véritablement phénoménale avec un répertoire de chansons qui ont fait des ravages du côté des amateurs et des lutteurs. Cey Ya Fatou !
Tigo Kharitou Yayam / Diogaye le 3 juin
«Salut, c’est Tigo Kharitou Yayam. J’ai un combat contre Diomaye de l’école de lutte Cheikh Mbaba. Il aura lieu le 3 juin prochain. L’affiche est ficelé par Assane Ndiaye de Baol Productions», nous a informés le lutteur, hier par téléphone.
Yanda et Domou Dialaw se retrouvent…
Yanda (Parcelles Mbollo) / Domou Dialaw (Kaye Bakh) est un combat ficelé par Fallou- Diak’s. Dimanche dernier, ils étaient au stadium Iba Mar Diop pour se présenter au public. Au cours de cette rencontre, les deux adversaires ont fait preuve de civilités et de fair-play.
…Ndongo Lô et Petit Niang aussi
Yanda et Domou Dialaw n’étaient pas les seuls à Iba Mar Diop, dimanche dernier. Il y avait aussi les adversaires du 4 juin 2016. Il s’agit de Ndongo Lô (Sa Ndiambour) et Petit Niang (Mansour Mbaye). Ils ont affiché la forme et promettent un combat de feu.
«CE SONT LES ARRIVISTES QUI VEULENT DIVISER PIKINE»
Il sait se mettre dans son coin et se charger de son bétail. Mais Jules Baldé a du vécu. Il a aussi (et toujours) son mot à dire dans les affaires de Pikine. Dans cette interview grand format, le fils de feu Falaye Baldé évoque le différend entre Eumeu Sène et Baboye. Mais en s’attaquant à la racine du mal. Entretien
Pouvez-vous nous rappeler vos débuts dans l’arène ?
Je suis né dans une famille de lutteurs, mon père étant un ancien lutteur. J’ai alors vécu dans cet environnement. Nos aînés luttaient et on les suivait dans les mbappat. J’apprenais un métier à Yarakh. Après la descente, je me rendais à la plage pour m’entraîner. Lors d’un mbappat, j’ai défié Boulma Diam de Pikine, qui a estimé que j’étais très petit.
Qui étaient vos aînés dans l’arène ?
Mes grand-frères Papa Baldé, Assane Baldé, etc.
Avez-vous choisi la lutte parce que vous êtes fils d’ancien lutteur ?
Mon père a toujours voulu que j’opte pour la lutte. En ce moment- là, j’étais dans le football. Un jour, je me suis blessé en jouant au football. Mon défunt père m’a fait savoir qu’il me voulait dans l’arène. Lors de l’anniversaire de Fodé Doussouba, il m’a amené dans l’arène. C’était mon premier combat. Il a découvert mes qualités. Il s’est rendu compte que si on me soutenait, je pourrais réussir dans la lutte. Du coup, il m’y a orienté.
Quels sont les lutteurs que vous avez battus en mbappat ?
J’ai battu beaucoup de champions dans les mbappat. J’ai croisé Lirou Diane, Zale Lô, battu 8 fois Khadim Ndiaye, Ousmane Diop, etc. J’avais tellement de talent que j’étais craint par mes adversaires possibles. On m’évitait. Je n’étais pas physiquement bien assis. Mais j’étais plein de qualités techniques.
Comment s’est passée votre rencontre avec Bombardier à Nguéghokh lorsque vous le battiez ?
Avant Bombardier, c’est Tapha Guèye que j’avais d’abord croisé en mbappat. En ce moment- là, il préparait un combat contre Alioune Diouf, en lutte avec frappe. C’était un choc très électrique. Je peux dire que Tapha Guèye n’était pas techniquement plus fort que moi mais physiquement plus assis. C’est ce qui m’a perdu. Il y a eu ensuite la revanche qui s’est soldée par un match nul.
Et pour Bombardier ?
Mon combat contre Bombardier, c’était à Nguékhokh. On y était pour faire la paix entre Toubabou Dior et Balla Bèye 1. Et quand on est arrivé, on nous a signifié qu’il y avait une séance de lutte. Séance tenante, on a noué les nguimb et participé au tournoi. Lors du tirage au sort, je suis tombé sur Bombardier qui présentait déjà une masse impressionnante. Mais il faut dire que j’étais physiquement plus fort que lui. Je l’ai battu par un mboot inédit hors des sacs.
Quels sont les champions que vous avez eu à battre avec la manière ?
Mes meilleures et spectaculaires chutes ont été signées au stade Emile Badiane. Il arrivait que les gens se rendent en Gambie pour trouver des athlètes capables de me faire mordre la poussière. Parce que j’étais intenable. Très doué.
Rappelez-nous votre adversaire lors de votre premier combat en frappe ?
Zale Lô est mon premier adversaire en lutte avec frappe. Auparavant, il avait affronté Alioune Diouf et Tombé Sène. C’est après ce revers qu’on lui a conseillé de choisir un adversaire plus prenable pour renouer facilement avec le succès. C’est ainsi qu’on me l’a donné. Lorsqu’il s’est déshabillé, ceux qui étaient au stade ont pensé que c’est lui qui allait disputer le grand combat. Tellement, il s’était bien préparé et il respirait la forme. J’avais d’ailleurs contracté une blessure lors du combat. Il était trop défensif sur conseils de Tapha et Mbaye Guèye. C’était un match nul.
Quelle était votre prise favorite en lutte avec frappe ?
Le mboot (hancher). Je l’avais hérité de mon père. Je n’ai certes pas fait la carrière de mon père. Mais j’ai hérité certaines de ses qualités techniques.
Quel sentiment vous animait quand vous avez battu Tapha Tine ?
On n’était pas ébranlé par Tapha Tine. On était convaincu qu’Ama allait facilement le battre. On le connaît très bien. Lors de ses combats, il mime des entrées avant de se retenir. Il suffit de le comprendre pour pouvoir se saisir de sa jambe et le plier.
Peut-on savoir si c’est vous qui donnez les stratégies de combat à Ama Baldé ?
Il n’a jamais lutté avec sa propre stratégie. C’est moi qui lui donne toutes les clés de victoire. La seule fois qu’il n’a pas respecté mes consignes techniques, c’était lors de son premier combat contre Gouye Gui. Mais tout le monde connaît la suite. Ce que je lui avais donné comme consigne technique, c’est ce qu’il a utilisé contre Tapha Tine qu’il a battu.
Êtes-vous conscient que le combat Ama Baldé / Papa Sow aura lieu tôt ou tard ?
Ama Baldé a battu deux lutteurs de Fass. Il s’agit de Tapha Guèye 2 et Balla Diouf. Au moment où il les terrassait, ils avaient pratiquement plus de cote que Papa Sow. Pourtant, Ama Baldé était prêt à croiser ce dernier qui avait décliné l’offre. Pour ce Tournoi de la TNT, il a déclaré qu’il était prêt contre le champion. Ama Baldé a accepté. Mais lui qui voulait le combat réclamait un gros cachet. Nous, on n’est pas prêt à lutter contre lui la saison prochaine.
N’est-il pas dangereux de dire que vous n’allez pas l’affronter la saison prochaine d’autant plus que les données peuvent changer ?
Quelles que soient la nouvelle donne, on ne se prendra pas la tête. Quand un combat s’impose, il doit se tenir.
Papa Sow soutient que tant qu’il est à Fass, Gris Bordeaux ne prendra pas Ama Baldé. Cela ne vous fait-il pas peur ?
Est-ce que c’est lui qui cherche du travail à Gris Bordeaux ? Celui-ci travaille pour son propre compte. Si Gris trouve qu’Ama Baldé est un adversaire possible, il le prendra sans problème. Papa Sow a eu l’opportunité de s’expliquer avec mon frère et ne l’a pas exploitée. Il ne peut priver cette même opportunité à d’autres comme Gris. Aussi, si Gris Bordeaux refuse, il y a d’autres adversaires pour Ama Baldé.
Comme qui ?
Il y a Yékini Jr, Bombardier, Modou Anta, Yékini, Modou Lô, etc. Ama sait qu’il est jeune et doit lutter pour se faire plaisir et gagner de l’argent. Du coup, Gris Bordeaux reste aussi son potentiel adversaire.
Ama a déclaré dans Sunu Lamb que même pour demain il accepte de lutter contre Gouye Gui. Qu’en pensez-vous ?
Oui, il a raison. Ils devaient se croiser pour trancher le débat. Mais Gouye Gui avait senti sa chute. Ainsi, il s’est arrangé pour fuir. Il n’est pas digne (goréwoul). Le CNG devait le sanctionner. Il devait être suspendu. Parce que c’est la deuxième fois qu’il gâche un combat. Gouye Gui avait dit qu’il était prêt pour que l’arbitre donne le coup d’envoi.
On ne vous voit pas lors des combats d’Eumeu Sène mais vous étiez à Kaolack pour soutenir Baboye. Qu’est-ce qui l’explique ?
Eumeu Sène est mon jeune frère. C’est moi qui lui ai appris le b.a.-ba de la lutte. Son atelier de tôlerie était juste là (il indique le lieu), à côté de chez nous. Quand il descendait, il venait s’entraîner avec nous.
Depuis quand ne l’avezvous pas conseillé pour un combat ?
De son premier combat jusqu’à celui qu’il a disputé contre Khadim Ndiaye, Eumeu Sène venait recueillir et suivait mes conseils. Et ça lui réussissait. Même lors de son dernier combat contre Gris Bordeaux, il est parti avec mes conseils. C’est cela qu’il a appliqué pour vaincre. Si un athlète ne vient
pas me voir, ce n’est pas moi qui vais aller vers lui. Je reste dans mon coin.
Pourquoi vous n’avez rien dit sur le différend entre Baboye et Eumeu Sène ?
Eumeu Sène s’est disputé d’abord avec Tyson avant Baboye. Je pense que si on doit réconcilier les gens, qu’on commence par Tyson. Eumeu était chez celui-ci. Il a fait des années là-bas. Je peux dire que sa carrière a pris de l’envol aux côtés de Tyson. Qu’on cherche à réconcilier Eumeu Sène avec tous ceux avec qui il est en de mauvais termes.
Selon vous, quels sont ceux qui doivent faire ces démarches ?
Je ne peux pas prendre les devants. Nous avons nos aînés. Notre père Pape Diop Boston doit être au premier plan. Ensuite, il y a nos grand-frères Palla Diop, Mbacké Bâ, Bourkhane Wade, Baba Diallo, Balla Bèye 1, De Gaulle, etc. C’est à eux de prendre l’initiative pour ensuite nous appeler.
Quelle analyse faites-vous du mouvement 100 % Pikine ?
L’esprit existe depuis des années. Dans les mbappat, on était soudé et très uni. Il s’agissait de Baboye, Pape Cissé, Ndiaga Diop, Tyson, etc. On survolait les mbappat à chaque fois qu’on s’y rendait en groupe. Mais aujourd’hui, ce sont les arrivistes qui veulent diviser Pikine. Que les gens acceptent la volonté divine. Il n’y a pas meilleur technicien que moi à Pikine. Mais je n’ai rien gagné dans la lutte. J’en rends grâce à Dieu.
À Fatick samedi dernier dans le cadre du gala de lutte simple qu’il y organisait, Yékini est revenu sur cette journée qu’il a bien appréciée sans manquer d’évoquer son combat du 24 juillet. Et l’adversaire de Lac 2 dit ne rien écarter dans sa préparation. Même un voyage à l’étranger n’est pas à exclure.
«C’est effectivement la première fois que j’organise un gala de lutte sans frappe à Fatick, en tant que promoteur. Je suis de Fatick. Si j’y viens, ce n’est que justice, je pense. Si je ne me trompe, presque tout a commencé ici. Et Dieu a fait que quelqu’un comme Ablaye Ndour, que je ne connaissais véritablement pas bien avant, est un fils du terroir. Les gens du label (Faata Productions) ont insisté pour qu’on aille le voir. Je suis allé effectivement le voir. Il m’a bien accueilli et on a longuement échangé. C’est de là qu’il m’a appris que sa femme est Faata Faata, de père et de mère. Sa maison est donc la mienne. Je suis trop content du déroulement de la manifestation. Son geste et son comportement m’ont profondément touché. La première chose qu’il m’a dite, c’est que c’est lui qui allait supporter toutes les dépenses en rapport avec la journée. On ne peut avoir mieux que ça (amna loo khamné bou la doyoul dara dotoula doy). Il a fait ce qu’il devait faire. Et je pense que nous aussi, de notre côté, nous avons fait ce que nous devions faire. Car chacun veut avoir un tel jour sur ses terres», a dit Yékini parlant de son gala et de la satisfaction totale pour son parrain, avant d’évoquer les pas endiablés qu’il a esquissés. «Je me suis remué parce qu’emporté par les agissements du public. Je voulais rester tranquille car les jeunes dansent maintenant mieux que moi (rires). Mais comme on dit, un danseur ne doit s’approcher du tamtam.»
Pour terminer, le leader de l’école de lutte Ndakaru donne une idée de la préparation de son combat contre Lac 2, prévu pour le 24 juillet. «Mon combat contre Lac 2 ? Oui, je suis en train de me préparer. Il n’est pas exclu que je voyage pour me préparer. Les contacts ou autres, je ne laisse rien. Je me prépare à tout», prévient-il au Puncheur de Walo.
A quelques jours du début de la préparation de l'Équipe nationale de basket au tournoi pré-olympique de Manille, l'international sénégalais des Wolves de Minnesota, Gorgui Sy Dieng, entretient toujours le flou sur sa participation. En vacances au Sénégal, le natif de Kébémer dit vouloir être prêt à 100% avant de répondre à la sélection.
L'international sénégalais de Wolves de Minnesota, Gorgui Sy Dieng, entretient toujours le flou sur sa participation au tournoi pré-olympique de Manille, prévu en juillet prochain aux Philippines. En vacances au Sénégal depuis plusieurs jours, le pivot des Wolves reste très ambigu concernant l'Equipe nationale.
Venu honorer de sa présence hier aux finales de la 14e édition du "Hoop forum" de Seed Academy au Monument de la Renaissance, Gorgui Sy Dieng a une fois de plus donné une réponse évasive sur sa participation à ces joutes de Manille. "J'avais dit en 2009 que je tiens énormément à l'Equipe nationale. Maintenant, il faut être à 100% avant de répondre à la sélection", explique l'international sénégalais, meilleur marqueur et meilleur rebondeur lors de sa première campagne africaine avec les Lions, en août dernier à Tunis.
"Quand je viens, c'est pour gagner"
Sans préciser s'il était au top de sa forme, le pensionnaire de la Nba souhaite être une référence sur le parquet à chaque fois qu'il joue pour la sélection. "Quand je viens, ce n'est pas pour inscrire 5 à 10 points seulement. Je viens pour aider l'équipe à gagner. Je veux être prêt à tous les niveaux avant de rejoindre la sélection", a-t-il confié.
En février dernier, Gorgui Sy Dieng avait émis des réserves quant à sa participation au tournoi pré-olympique de Manille. "Je ne sais pas encore si je vais y aller, je vais attendre la fin de saison pour prendre une décision", soulignant être "fatigué". "Cela fait six ans que je n'arrête pas. Donc, il est possible que je décide de me reposer. J'en discuterai avec mon agent au printemps", avait promis le natif de Kébémer, auteur d'une bonne saison avec les Wolves.
Seulement, à quelques jours du début de la préparation des Lions prévue à Dakar, Gorgui Sy Dieng, sélectionné pour la compétition, devra se décider afin de permettre au nouveau sélectionneur espagnol, Porfirio Fisac De Diego, de savoir s'il pourra compter sur lui ou pas. La balle est dans son panier.
Le Sénégal est logé dans le Groupe A avec le Canada et la Turquie et devrait affronter, en cas de qualification, le vainqueur de l'autre Groupe (B) composé de la France, des Philippines et de la Nouvelle Zélande.
L'appel de Gorgui Sy Dieng
"L'État doit soutenir Seed Academy"
Ancien pensionnaire de Seed Academy, Gorgui Sy Dieng est un parfait exemple de réussite de la fondation du vice-président de la Nba, Amadou Gallo Fall. A l'image d'autres anciens pensionnaires de l'académie, l'international exhorte les autorités à soutenir ce genre de projets destinés au développement socio-économique de la jeunesse du pays.
"Si on prend l'exemple de Diambars, beaucoup de jeunes qui sont aujourd'hui en Equipe nationale de football viennent de ce centre. Il faut que l'État soutienne davantage ce genre de projets. Il y a d'autres qui font énormément d'efforts, sans disposer de suffisamment de moyens", souligne celui qui, dans le même cadre, invite le week-end prochain la famille de la balle orange à la troisième édition du camp de basket qu'il organise dans son fief Kébémer.
Tirant un bilan satisfaisant de la 14e édition marquée par les finales du All star game, Gallo Fall et le directeur de Seed, Mohammed Niang, se sont réjouis de l'engouement et de l'engagement de l'ensemble des acteurs du basket sénégalais et de partenaires comme l'Usaid et la Nba.
En prélude à la 12ème édition de l’open du Sénégal qui démarre ce mardi sur le parcours de Saly, le Comité d’organisation a fait le point sur la préparation hier à l’hôtel King Fahd Palace
Cette compétition, ouverte aux joueurs pros et amateurs de la sous-région, va se disputer du 23 au 29 mai sur le parcours de saly et celui du King Fahd Palace. Cet open démarre ce mardi à saly avec 58 joueurs pros (21 sénégalais, 9 ivoiriens, Camerounais, 7 sierra léonais, 5 nigérians, 3 Ghanéens et 1 Gabonais). À l’issue de deux journées de compétitions, 18 pros accèderont en finale pour la succession de l’ivoirien laurent nguessan. Cette finale se disputera jeudi et vendredi.
Du côté des amateurs, 200 joueurs de 17 nationalités démarrent leurs joutes vendredi à King Fahd Palace. au chapitre des récompenses, le vainqueur chez les pros empochera 7 millions FCFa. les amateurs recevront des lots. Venu représenter les joueurs sénégalais au point de presse, libasse Diongue délcare : «Nous allons mettre toutes les chances de notre côté pour gagner la compétition». Parlant des ambitions de la Fédération sénégalaise de golf, le président Baïdy agne confie : «Notre objectif est de faire du Sénégal une véritable plateforme golfique».
Sur la promotion de la discipline, il annonce : «Nous avons une orientation du golf en milieu scolaire grâce à un partenariat avec l’Union des associations scolaires et universitaires qui facilitera l’ouverture d’une académie destinée à prendre en charge les jeunes».
Samba Niang interdit de participer à l’open
Seul sénégalais deux fois vainqueur de l’open du sénégal en 2011 et 2013, samba niang ne disputera pas la 12ème édition. la raison ? Un différent oppose ce joueur pro basé au maroc à la Fédération sénégalaise de golf : «J’était n° 1 sénégalais pendant 5 ans. La Fédération m’interdit de jouer ce tournoi». Pourquoi ? «Parce qu’en 2014, j’ai créé une marque de golf basée au Maroc. En 2014, la fédération m’avait commandé des équipements que j’ai fournis et qu’ils ont payés. Après 3 mois, ils me redemandent de leur faire une surfacturation de 4 fois plus que le prix pour qu’ils puissent justifier leur dépenses auprès du ministère des Sports. Ce que j’ai refusé et dénoncé. La suspension d’un an est finie depuis novembre 2015 mais on me refuse l’accès au parcours». sur la question, le président Baïdy Agne déclare : «Je ne peux pas me prononcer sur cette affaire, une commission s’en charge».
Mercato : Angers veut Famara Diédhiou
le meilleur joueur de la ligue 2, Famara Diédhiou, pourrait bien quitter Clermont la saison prochaine. l’attaquant international sénégalais serait dans le viseur du sCo angers. France Football affirme, en effet, que des contacts sont déjà établis pour le transfert du joueur. auteur de 21 buts en 37 journées de l2 cette saison, Famara Diédhiou (23 ans) a été prêté par sochaux à Clermont avec qui il est désormais sous contrat jusqu’en juin 2017.
Aston Villa : Cheikh Ndoye dans le viseur
aston Villa, racheté par Dr tony Xia, homme d’affaire chinois, veut vite retrouver la Premier league. le club de Villa Park a ciblé plusieurs joueurs pour réussir ce pari. selon birminghammail.co.uk, l’international sénégalais Cheikh ndoye serait sur la short-list des nouveaux dirigeants du club. en fin de contrat l’été prochain, Cheikh ndoye (30 ans, 11 buts) a de fortes de chances de quitter le sCo. le milieu de terrain des lions a déjà émis son souhait de rejoindre la Premier league. newcastle, swansea et West Ham sont également dans les rangs pour recruter le sénégalais rappelle la même source.
Suisse : et de 9 pour Moussa Konaté
Contrairement aux autres championnats européens, la super league suisse n’a pas encore baissé ses rideaux. Pour le compte de la 35ème et avant-dernière journée, le FC sion a été accroché à domicile par le FC Zurich (2-2), hier. mené au score, sion égalise une première fois par le sénégalais moussa Konaté à la 30ème minute de jeu. C’est le 9ème but de la saison pour le lion de mbour.
Toulouse : Issa Diop intéresse Porto et Leipzig
sauvé de la relégation en ligue 2 lors de la dernière journée de la l1, toulouse aura sans doute plus de mal à conserver ses cadres la saison prochaine. D’autres départs pourraient s’ajouter, en effet, à ceux de Wissam Ben Yeder et de régatin déjà annoncés. en effet, indique L’Équipe, le jeune sénégalais issa Diop pourrait également faire ses valises. selon la même source, le défenseur central d’origine sénégalaise serait courtisé par le FC Porto qui a déjà pris des renseignements sur lui. Promu en Bundesliga allemande, leipzig pourrait également faire une offre pour le jeune sénégalais.
Fc Metz : Habib Diallo pour 4 ans ?
Habib Diallo pourrait ne pas quitter la lorraine de sitôt. selon le republicain-lorrain.fr, l’attaquant sénégalais pourrait bien prolonger pour 4 ans avec les Grenats. les dirigeants messins auraient déjà fait la proposition au sénégalais. «Il nous devait déjà deux années, qui étaient comprises dans le premier contrat et nous souhaitons ajouter deux ans», expliquait Philippe Gaillot à la mi-mars, ajoutant que «toutes les parties sont d’accord sur le principe».
L1 : Zargo et Ndoye parmi les meilleures recrues
Zargo touré et Cheikh ndoye figurent dans l’équipe-type des meilleures recrues de la saison 2015 - 2016 en ligue 1 française, révèle France Football. auteur de 4 buts cette saison le défenseur de lorient a réussi une belle saison, avant de se blesser à l’ischio-jambier gauche en avril. auteur de pas moins de 9 buts, le milieu de terrain sénégalais d’angers a été l’une des révélations de la ligue 1 cette année. son avenir pourrait s’écrire hors de France, toutefois.
Autriche : Cheikhou Dieng et SankPolten dans l’élite
le milieu offensif sénégalais Cheikhou Dieng et son club snK sankt Polten viennent de monter en Bundesliga autrichienne en battant Wiener neustadt (3-0) en match comptant pour la 35ème et avant-dernière de la ersteliga 2 autrichienne jouée vendredi. l’international sénégalais qui a rejoint cette année la formation autrichienne en provenance de sandford (norvège) a joué sa partition dans ce titre de champion avec 6 buts et 5 passes décisives. avec 77 points snK sankt Polten compte désormais 8 points d’avance sur son poursuivant immédiat, linszer ask qui a été tenu en échec par Kaftenberg (1-1. après l’échec en championnat d’afrique des moins de 23 ans, cette montée de snK sankt Polton est une bonne chose pour l’ancien joueur de ndar Guedj.
Balla Gaye 2 amène sa femme à la Mecque…
L’ancien Roi des arènes a décidé d’offrir un billet pour le pèlerinage à la Mecque à son épouse Boury Bathily. Balla Gaye 2 va honorer ainsi sa douce moitié et lui permettre d’effectuer un des cinq piliers de l’Islam. Quand le Lion de Guédiawaye dégaine…
… Sa maman aussi
Après sa chère femme, l’enfant de Guédiawaye a également donné un billet pour la Mecque à sa maman chérie. Balla Gaye 2 veut que sa génitrice aille une autre fois aux lieux saints de l’Islam en compagnie de sa femme. Une bonne affaire du fils de Double Less.
Nguel Dione rétabli
Son combat contre Noireau ayant été reporté pour maladie, Nguel Dione est guéri de l’abcès qui l’avait empêché de disputer ce duel. Le lutteur de Ngoundiane dit attendre le feu vert des médecins du CNG pour retrouver la compétition et solder les comptes avec le pensionnaire de l’école Doudou Baka Sarr.
Assez d’arbitres à Fatick
À Fatick, lors du gala de Yékini de samedi, il y avait chaque fois trois arbitres pour chaque combat. Ce qui n’est pas le cas à Dakar où on voit très souvent un seul juge dans les combats, peut-être par manque d’arbitres dans la capitale. Le président de la CCA, Sitor Ndour, est interpelé.
Yékini secoue Massène Sène
Très en verve lors de son gala de samedi à Fatick, Yakhya Diop a tout simplement secoué le stade Massène Sène qui accueillait la première édition du drapeau Ablaye Ndour, DAGE de la présidence de la République. Descendu de la tribune officielle où il était assis à côté du parrain, le prochain adversaire de Lac 2 a eu quelques minutes de folie avec sa danse endiablée.
Papis Général pris à partie par la Police
Quand Yékini est descendu faire un tour et danser énergiquement, Papis Général a voulu le suivre pour l’accompagner. Mais il en a été empêché par les forces de l’ordre qui se sont empressées, on ne sait trop pourquoi, de le maîtriser et lui faire passer un mauvais quart d’heure. Yékini, informé par la suite, est venu tout régler, de façon amicale avec les hommes de tenue. Mais le coéquipier de Mamady Ndiaye était dans tous ses états.
Petit Productions organise le 5 juin
Petit Productions de Baol organise un gala de lutte traditionnelle le 5 juin prochain au terrain du building communal de la Médina. Le grand combat va mettre aux prises Ibou Afi (Ndakaru) et Zoss 2 (Malick Sy). Le combat spécial opposera Bébé Siteu (Ndakaru) et Ama Bou Ngoye (Baol).
Mbappat de l’Association fair-play le 27 mai
L’Association fair-play nationale de lutte contre la violence dans le sport compte organiser un mbappat les 27, 28 et 29 au terrain Santos des Parcelles Assainies, en face de la pharmacie Ndingala, pour sensibiliser les lutteurs sur la non-violence dans l’arène. Une information recueillie auprès de Birahim Seck de l’écurie Fékké Maci Boolé.
Affaire Sa Cadior 2 : Les remerciements de l’école Mor Fadam
«Nous remercions les journalistes Ameth Aïdara et Fofana ainsi que Nass. C’est eux qui ont réalisé l’émission à l’issue de laquelle l’État a aidé Sa Cadior 2. Nous remercions aussi la Première dame Marième Faye Sall, le ministre Matar Bâ, le député Bougazely, Cheikh Kanté et tous ceux qui ont soutenu notre poulain», nous a dit le secrétaire général de l’école de lutte Mor Fadam, Djily Wade.