ALIOU CISSE ET SON AN 1 AVEC LES «LIONS» - LES 11 HOMMES DE CONFIANCE
Pour sa première année sur le banc des «Lions», Aliou Cissé n’a pas réussi à mettre en place un onze immuable. Mais une équipe s’est dégagée. Sur la base des statistiques, elle s’impose comme un onze de choix
LUTTE : Gris 2 met Ness et Tapha Tine en colère
Gris 2 a plongé dans une colère noire Tapha Tine et Ness. En effet, les deux lutteurs prennent comme une offense le défi que leur a lancé le jeune frère de Gris Bordeaux, après sa victoire, dimanche, contre Ablaye Ndiaye.
ANGLETERRE : PERFORMANCE DES LIONS : Dame Ndoye ouvre son compteur
Pour sa troisième titularisation avec Sunderland, Dame Ndoye (31 ans), prêté jusqu’à la fin de la saison par le club turc de Trabzonspor, a ouvert son compteur face à Crystal Palace (2-2), hier, au Stadium of Light, dans le cadre de la 28ème journée de la Premier League anglaise.
De retour en angleterre, le milieu de terrain international offensif sénégalais a atterri chez les Black Cats, sous forme de prêt jusqu’à la fin de la saison. La mission de l’enfant de Thiès est d’aider sunderland à se maintenir dans la Premier League. Titulaire pour la troisième fois en championnat depuis son arrivée, dame ndoye a ouvert son compteur face à Crystal Palace sans Pape ndiaye souaré (suspendu), hier, lors de la 28ème journée. Il a ouvert le score à la 36ème minute de jeu en faveur des Black Cats, qui concéderont finalement le match nul à domicile 2-2.
BON gagne, Gana et Sadio plient
en déplacement au Villa Park, everton avec Baye Omar niasse (entré à la 88èmemn), est allé l’emporter sur le score de 3-1 devant aston Villa d’Idrissa Gana Guèye. Lanterne rouge de ce championnat avec seulement 16 points pris en 28 journées, les Villans se dirigent doucement vers la Championship. auteur d’un assez bon match, Gana Guèye va écoper d’un carton jaune à la 20ème minute de jeu. sadio Mané et southampton ont perdu en déplacement sur la pelouse de l’aFC Bournemouth, sur le score de 2-0. Le milieu de terrain international sénégalais a disputé les 90 minutes de cette rencontre, sans pouvoir empêcher la défaite des Saints.
Kouyaté, «diego», Papiss et Saivet en piste
Ce mercredi, West ham de Cheikhou Kouyaté et diafra sakho, tentera d’empocher les 3 points de la victoire à domicile face à une équipe du haut du classement, Tottenham (2ème, 54 pts), à 19h45 GMT. Au même moment, stoke City de Mame Biram diouf recevra Newcastle united de Papiss demba Cissé et henri saivet. en lutte pour le maintien dans l’élite cette saison, les Magpies espèrent ramener un résultat positif de ce voyage au Britannia stadium.
VICTIME D’UNE DECHIRURE À LA CUISSE : Moussa Konaté out deux semaines
Trois semaines après son retour de blessure, Moussa Konaté se retrouve à nouveau à l’infirmerie. Victime d’une déchirure à la cuisse samedi dernier en championnat, l’attaquant du FC Sion est out pour deux semaines. Il risque ainsi de déclarer forfait pour la double confrontation Sénégal / Niger des 26 et 29 mars prochain
Il n’aura tenu que trois semaines. Moussa Konaté était de retour en compétition en début du mois de février dernier après un mois et demi d’indisponibilité pour blessure à la main. samedi dernier, l’international sénégalais a certes joué tout le match à l’occasion de la réception de Lurzen, comptant pour la 22ème journée de la super League suisse, mais au sortir de cette rencontre, les infirmiers de son club ont décelé une blessure chez le Lion. Konaté est en délicatesse avec une déchirure à la cuisse. L’ancien joueur de Touré Kunda devrait manquer les deux prochaines semaines. Cela passe d’abord par le match de demi-finale de la Coupe de suisse que son équipe, le FC sion jouera contre le FC Zurich ce mercredi au stade Tourbillon. si les supporters valaisans ont à l’esprit de jouer la quatorzième finale de l’histoire de leur club, pour sa part, didier Tholot se passera de l’un de ses meilleurs buteurs même s’il dit dans la presse helvétique «compter sur un groupe».
Une blessure qui tombe mal pour Cissé
À vingt jours du début du rassemblement des Lions en vue de leur double confrontation contre le niger, si l’indisponibilité de Moussa Konaté se confirme, les choses risquent de se compliquer pour le sélectionneur national. aliou Cissé qui n’est pas sûr de pouvoir récupérer diafra sakho, indisponible depuis plus de deux mois, va certainement commencer à réfléchir sur l’éventuel remplacement de Konaté. si les joueurs du même profil que l’ancien joueur de Krasnodar ne manquent pas, Moussa Konaté s’est révélé comme l’arme fatale de Captain Cissé pour avoir inscrit 4 buts depuis que ce dernier est arrivé sur le banc de l’équipe nationale en mars dernier
LES LIONS AFFRONTENT LE MÉNA LES 26 MARS ET 29 MARS
Dakar, 1-er mars (APS) - Le Sénégal, leader du groupe K des éliminatoires de la CAN 2017, va rencontrer le Niger à Dakar, le 26 mars, puis à Niamey, le 29, pour le compte des troisième et quatrième journées des qualifications à cette compétition, annonce la Confédération africaine de football (CAF).
La manche retour a été programmée à 15h GMT, ce qui pourrait handicaper l’équipe sénégalaise dont l’écrasante majorité évolue en Europe, actuellement en période d’hiver.
L’équipe du Niger, victorieuse (1-0) de la Namibie pour la première journée, a perdu (0-2) contre le Burundi pour le compte de la deuxième.
Les deux autres matchs de ce groupe (Burundi-Namibie et Namibie-Burundi) auront lieu aux mêmes dates, ajoute le même document.
Les premiers des 13 poules, le pays organisateur, le Gabon et les deux meilleurs deuxièmes se qualifieront pour cette phase finale de la CAN 2017.
Gianni Infantino, nouveau président de la Fifa, a réitéré mardi son souhait d'un Mondial porté de 32 à 40 équipes dans le futur, idée déjà présente dans son programme de candidat, selon une vidéo diffusée par la Fifa.
"Ce n'est pas un secret, je crois à une Coupe du monde à 40 équipes, soit 8 équipes de plus, donc avec plus de représentants, mais pas tant que ça, puisque 40 équipes cela représente seulement 19% des 209 fédérations de la Fifa", a exposé l'ex-N.2 de l'UEFA.
"Cela permettrait à 8 équipes supplémentaires de se qualifier, mais à davantage d'équipes de rêver de se qualifier, ce qui est important", a-t-il ajouté.
Concernant la technologie pour assister les arbitres, le patron de la planète foot a seulement indiqué: "La particularité du football, c'est la fluidité, c'est un sport sans interruption, donc nous devons voir quel serait l'impact d'une aide technologique à l'arbitrage sur la fluidité".
Ce week-end à Cardiff, le Board, organe garant des lois du jeu, se réunit et pourrait avancer sur le dossier de l'assistance vidéo à l'arbitrage dans le football.
Le ton est posé, plein de sérénité et de lucidité. Cheikh Sarr a son style propre quand il parle, à l’image de son comportement sur le banc où il dégage une force tranquille. Dans cet entretien exclusif, le désormais ex-coach des Lions fait le tour du panier, en revenant sur l’Afrobasket 2015, sur les conditions de son limogeage, tout en dégageant des pistes concernant son avenir.
Etes-vous déçu de ne pas être reconduit à la tête des Lions ?
Je ne vais pas dire que c’est une déception, car j’ai le sentiment d’avoir accompli ma tâche et tout fait pour atteindre mes objectifs. Parce qu’au Sénégal, on te nomme pour des objectifs, mais on ne te demande pas tes besoins. C’est un gros problème, mais comme tout bon Sénégalais, j’ai tout fait pour donner le maximum de moi-même pour arriver à ce niveau-là. Je pense qu’on doit tout faire pour que le gap entre la pose des objectifs et les conditions de préparation et de compétition s’améliore. Il faut tout faire pour diminuer ce gap.
Quelque part vous êtes déçu de n’avoir pas atteint vos objectifs...
Je suis en effet déçu de n’avoir pas gagné la Coupe d’Afrique. C’est ça que voulaient les joueurs, le public et le Sénégal. Mais l’objectif principal était d’aller aux Jeux olympiques. On a une place de préolympique. On pouvait continuer à jouer à fond notre chance, mais bon, c’est lui (le Dtn) qui a pris la décision de nous enlever. Je crois qu’il l’a fait de manière objective même si les critères, on ne les connaissait pas.
Sûrement pour le Dtn, c’est parce que vous n’avez pas atteint l’objectif qui était de remporter la Coupe d’Afrique...
Je crois qu’on n’est pas les premiers entraîneurs à avoir perdu une Coupe d’Afrique. Partout dans le monde, les entraîneurs font des années pour continuer leur travail, car on croit que c’est un groupe qu’on a construit. Je suis là depuis 2009. Vous savez les conditions dans lesquelles je suis venu en 2009.
C’est parce que personne ne voulait de l’équipe. On nous a fait confiance pour nous dire qu’il faut aller se qualifier et on est allé au Cap-Vert pour nous qualifier. Ce n’était pas évident du tout. On travaillait sous pression. On voulait tout le temps t’enlever. A chaque campagne, on disait : «S’il reste ou s’il part», jusqu’à maintenant.
Y a-t-il eu avant les nominations une discussion avec le Dtn pour une éventuelle reconduction ?
Non. Il m’a appelé une semaine avant de sortir la liste. Je ne l’ai pas vu, ni entendu depuis 2 mois. Il m’a dit : «On veut que vous preniez un peu de recul.» Avant d’ajouter : «Vous êtes un bon entraîneur, vous avez de l’expérience, vous avez la compétence, mais il faut que vous preniez un peu de recul.» J’ai dit oui, il n’y a pas de soucis.
Face à la presse, le Dtn a dit qu’il lui fallait trouver un «entraîneur de haut ni veau». Qu’est-ce que vous en pensez ?
Si les «Toubabs» ont créé chez eux le haut niveau et qu’on ne le fait pas chez nous, eh bien il faut chercher tout le temps quelqu’un d’autre. Le haut niveau, c’est quoi? Si tu vas à la Coupe du monde, tu atteints les huitièmes de finale, tu entraînes des joueurs de la Nba, tu développes des choses, et ces joueurs commencent à être meilleurs marqueurs parce que tu les as mis dans les conditions pour jouer au basket. Si cela n’est pas le haut niveau, c’est quoi le haut niveau ? Tout est question de compétence.
Ce n’est pas l’avis du Dtn apparemment...
Le haut niveau, c’est des étapes. Quand on parle de haut niveau, il y a l’élite, les espoirs. A-t-on des espoirs de haut niveau au Sénégal ? On n’en a pas. Il faut créer les conditions. Dans l’élite, je pense que Malèye Ndoye faisait partie des meilleurs marqueurs. A Praia, Gorgui (Sy Dieng) a été meilleur marqueur, Mouhamed Faye également.
Malèye a été dans les 5 meilleurs joueurs en Coupe d’Afrique en 2011. On a des conditions pour que ces gens puissent jouer au basket. Maintenant, cela ne tient à rien de gagner une Coupe d’Afrique. Les entraîneurs qui sont arrivés ici, il y en a quelques-uns qui ont pris 7e, 5e. Nous, nous sommes arrivés 3e.
Maintenant, sur la question du développement du basket au Sénégal, il faut réunir les conditions pour jouer au basket. Les gens s’entraînent dans des terrains de basket et on les fait jouer dans une salle. Le décalage est énorme. On ne peut pas comparer ce que font la France et le Sénégal. Le haut niveau, ce n’est pas ça. Ce n’est pas parce que l’entraîneur est dans un Pro D1 ou D2 qu’il est de haut niveau. Le championnat de France, il n’y a qu’un entraîneur qui va le gagner sur 16.
Ne me dites pas que c’est le seul entraîneur capable. D’ailleurs, concernant la sélection qu’il (le Dtn) a faite en prenant les entraîneurs assistants, je ne sais pas si le maillage est bien fait. Les gens sont en train de critiquer, peut-être qu’ils ont raison. Je ne connais pas pourquoi il a fait ces choix-là, mais je les respecte. Il m’a enlevé, je respecte cette décision. Je n’ai pas grand-chose à dire parce que ce sont des collègues. On leur souhaite bonne chance et ils pourraient faire de bonnes choses avec le coach étranger.
Est-ce une bonne chose de faire à nouveau confiance à l’expertise étrangère ?
Je ne sais pas si c’est un recul ou une avancée, mais la première chose qu’il faut faire, c’est de développer le haut niveau au Sénégal. On parle d’entraîneur de haut niveau. Pourquoi ne pas prendre un directeur technique de haut niveau alors ? Il faut magnifier l’expertise.
Si on continue à faire les mêmes choses sans développer le basket local, on va faire un recommencement perpétuel. Et tout le temps, on va chercher quelqu’un d’autre. C’est à la fédération de développer le basket avec une bonne expertise. Et l’expertise, c’est la compétence, la connaissance et l’expérience.
La presse a annoncé que vous aviez refusé d’être l’adjoint de Abdourahmane Ndiaye «Adidas» qui était pressenti pour le poste...
On ne m’a jamais proposé de poste d’adjoint. Je n’ai jamais eu à parler avec Maguette Diop du poste d’assistant. Je pense qu’il n’ose pas me le proposer d’ailleurs. Je ne pense pas que cela lui ait passé par la tête de me proposer un poste d’assistant.
Qu’est-ce qui doit être fait pour que cette équipe progresse ?
Ce n’est pas une question d’entraîneur sénégalais, étranger ou africain. La question ne se trouve pas là. Plusieurs fois, on a eu des coachs étrangers, mais on a fait mieux qu’eux. Le problème, ce sont les conditions de préparation. Il y a beaucoup de frustrations qui naissent dans la Tanière. Ces frustrations ont un impact réel sur le comportement des joueurs.
On demande à l’entraîneur de s’adapter tout le temps. On nous a demandé de magnifier notre capacité d’adaptation par rapport à l’environne- ment sénégalais. Un étranger ne peut pas comprendre cette adaptation. Je pense que Alain Weisz (ancien coach des Lions) a failli devenir fou avec ça. Il faut qu’on essaie de professionnaliser la Tanière sur le plan environnemental, au niveau du management.
Cela risque donc d’être compliqué pour le coach espagnol ?
Je ne sais pas. Peut-être qu’avec lui, ils vont changer. En tout cas, j’ai écrit un rapport et je n’ai pas eu de feedback. D’ailleurs, j’ai toujours écrit des rapports, mais je n’ai jamais eu de feedback. En lisant bien ce rapport, ils peuvent épargner le nouveau coach afin qu’il ne rencontre pas les mêmes problèmes parce que les problèmes nous les connaissons. Ce sont des retards sur les assurances, problèmes de primes...
La dernière fois, on est parti là-bas sans primes jusqu’au retour. Ce sont des frustrations qui continuent de manière perpétuelle et ce n’est pas bon. Que je le dise ou que quelqu’un le dise, il faut aider les gens qui sont ici, qu’ils soient africains ou étrangers. Ce n’est pas une question de peau, mais de prise de conscience de la réalité du haut niveau. Si on te met dans les conditions de haut niveau, c’est très possible qu’on y arrive. Quand on demande de faire 9 matchs d’entraînement et qu’on t’en donne 4 seulement, cela pose problème.
Les remplaçants n’ont pas le temps d’avoir le rythme et de connaitre le jeu en fond. Tu es obligé de prendre des risques. Justement pour revenir sur le haut niveau, c’est une application de méthodes et cela, on ne peut le faire tant que l’environnement est comme ça. La fédération n’a pas les mains libres. C’est la tutelle qui gère tout cela. Il s font des propositions qui peuvent passer ou pas. C’est toute cette question-la qu’un étranger ne va pas comprendre et que nous nous comprenons. Cette adaptation qu’on demande n’est pas professionnelle.
Votre avenir c’est quoi ? Qu’allez-vous devenir ?
J’ai pris les reines de l’équipe en 2011. Je vais faire ce que je faisais. Je suis enseignant chercheur. J’ai un diplôme Fiba, et je vais essayer de l’utiliser à fond, continuer à avoir la passion de développer le basket dans mon pays. J’ai été entraîneur de l’Université Gaston Berger (Ugb). J’écris sur le basket, je suis en train de finir ma thèse sur ça.
Pensez-vous vous expatrier ?
Je ne l’ai pas envisagé bien qu’ayant reçu des propositions dans la sous-région.
Venant de quels pays ?
Je ne peux rien dire pour l’instant. Je suis dans mon pays pour aider le basket sénégalais.
AYA TRAORÉ REJOINT L’ESPAGNE, TOUTES LES LIONNES DÉSORMAIS CASÉES
Dakar, 1 mars (APS) - Les pensionnaires de l’équipe nationale féminine de basketball, championne d’Afrique en titre et qualifiée pour les JO de Rio (août 2016), sont désormais toutes casées, avec la signature de leur capitaine Aya Traoré en faveur d’un club espagnol.
Aya Traoré, jusque-là seule Lionne à ne pas avoir de club, a rejoint l’équipe espagnole de C B Conquero, un club où elle avait déjà évolué en 2014.
Après l’édition 2015 de l’Afrobasket féminin remportée par le Sénégal, en septembre dernier, Aya Traoré avait été engagée comme pigiste par First Bank du Nigeria, pour le compte de l’Afrocup Women (coupe d’Afrique des clubs champions), avant de revenir au Sénégal où on l’a annoncé dans plusieurs clubs.
Finalement, toutes les Lionnes sont désormais en activité, en attendant que leur entraîneur, Moustapha Gaye, nouvellement reconduit à la tête de la sélection, démarre ses projets pour Rio 2016.
Les meneuses Fatou Dieng et Diodio Diouf ont pris l’option de retourner au bercail en signant en faveur de l’ASC Ville-de-Dakar (ASCVD) et du DUC.
Deux fois reine du basket, Ndèye Sène, égerie du basket-ball saint-louisien, évolue dans le même club que Fatou Dieng, à l’ASCVD, en même temps que Ramata Daou (pivot), qui a quitté le Saint-Louis basket club (SLBC) après cinq années passés au sein du club saint-louisien.
Oumou Khairy Thiam évolue en Espagne, les ailières Astou Traoré (vice-capitaine) et Oumou Kalsoum Touré en Belgique (Belfus Namur) et en France (Landerneau Bretagne Basket) respectivement.
S’agissant des ailières fortes, Sabelle Diatta est restée au DUC, alors que Mame Marie Sy, après une année sabbatique, a retrouvé les parquets à Montpellier.
L’intérieure Maïmouna Diarra est restée en Angola avec Primeiro de Agosto, club avec lequel elle a remporté le titre de championne d’Afrique des Clubs champions.
Bineta Diouf a pour sa part mis fin à sa carrière internationale, mais continue avec son club de National 2 française.
LE SENEGAL REÇOIT LE NIGER LE 26 ET SE DEPLACE LE 29 MARS
ECHOS DE LA TANIERE - CAN 2017 (ÉLIMINATOIRES) : 3èME ET 4èME JOURNÉES
Les dates des 3ème et 4ème journées des éliminatoires de la CAN 2017 sont désormais officielles. Le Sénégal sera opposé au Niger le 26 mars à Dakar, avant de se rendre à Niamey trois jours plus tard.
Aliou Cissé et ses joueurs sont désormais fixés sur les dates des rencontres qu’ils disputeront en fin mars contre le Niger, comptant pour les 3ème et 4ème journées des éliminatoires de la CAN 2017.
En effet, la CAF a publié, hier, les dates officielles des rencontres. Sadio Mané et sa bande auront donc l’honneur de recevoir leurs adversaires pour la manche aller le 26 mars prochain à Dakar, avant de se rendre à Niamey, trois jours plus tard, le 29 du même mois. Un délai assez rapproché qui nécessitera certainement un bon dispositif côté logistique pour permettre aux Lions d’aborder ces deux rencontres dans les meilleures dispositions. Si au sortir de la dernière réunion du comité mixte entre le ministère et la fédération, la semaine dernière, des assurances ont été données pour mettre les Lions dans les meilleures conditions possibles, les modalités du voyage ne sont pas encore arrêtées. Et l’on ne sait pas, pour l’heure, si les poulains d’Aliou Cissé voyageront à bord d’un vol spécial ou à bord de l’avion présidentiel.
Dans tous les cas, les Lions et leur encadrement devront mettre tous les atouts de leur côté pour mieux aborder ce virage crucial sur la route de Gabon 2017. Les Lions sont leaders du groupe K (6 pts, +4) après leurs victoires sur le Burundi (3-1) et la Namibie (2-0). Leur adversaire du mois de mars occupe la seconde place du groupe (3 pts, +1). Le Burundi est 3ème de la poule avec le même nombre de points mais avec un goal-average nul. La Namibie est dernière de la poule avec 0 point marqué.
Début des travaux de l’arène nationale
Ceux qui doutaient de l’érection de l’arène nationale sur le site du Technopole à Pikine Dagoudane peuvent déchanter. En effet, une équipe chinoise est sur place depuis quelques semaines et a entamé les travaux sur le site devant abriter l’arène nationale. Sachant que la banlieue regorge de milliers de lutteurs, cette arène est une aubaine pour eux et pour tous les sportifs.
Des supporters de Siteu pris par la police
Siteu reste un phénomène. À chaque apparition publique du pensionnaire de Lansar, ses inconditionnels le suivent et se montrent prêts à tout. Parfois même, ils tiennent tête aux forces de l’ordre. C’est ainsi que certains de ses potes ont été arrêtés et acheminés au commissariat de Dieupeul.
La délégation d’Eva Marie Coll Seck assure l’ambiance
En plus de l’ambiance qui était assurée par les batteurs et les chanteurs, la délégation de la marraine Eva Marie Coll Seck, ministre de Santé et de l’Action sociale, n’a pas été en reste lors du gala du lutte organisé avant-hier dimanche. En effet, certains membres de sa délégation n’ayant pu résister à la sonorité sérère, s’en sont donnés à coeur joie.
Adrien Senghor n’a pas fait le plein
Lors du gala de lutte organisé par Simbo Production, les gradins de l’arène Adrien Senghor n’ont pas fait le plein. Le promoteur explique cette situation alarmante : «Cela se comprend, aujourd’hui (avant-hier dimanche) il y a beaucoup de galas de lutte organisés un peu partout dans le pays. Il y a un tournoi à Fatick, à Gandiaye… Raison pour laquelle beaucoup de grands noms de la lutte sans frappe sont absents.»
Gris 2 fait l’unanimité
La quasi-totalité des techniciens qui étaient au stade Demba Diop sont unanimes pour dire que Gris 2 est devenu un lutteur très technique. Le pensionnaire de Fass l’a démontré lors de son combat face à Ablaye Ndiaye. Les spécialistes de la lutte ont tressé des lauriers au frère de Gris Bordeaux.
Fass remporte son premier duel
La saison démarre bien pour l’écurie Fass. Gris 2 disputait dimanche la première grande sortie de sa formation face à Ablaye Ndiaye. Un combat qui s’est soldé par une victoire. Ainsi, les hommes du président Abass Ndoye ont mis le pied à l’étrier en attendant le choc de Gris Bordeaux et les éventuels combats de Papa Sow, Lac Rose, Forza ou Bruce Lee.
Les invités de PAF sous le soleil
Venus assister au face to face du combat Garga / Boy Niang 2 organisé à la Place du Souvenir, certains invités étaient assis sous le chaud soleil. Pour se protéger, les bonnes dames ont trouvé une astuce : des serviettes blanches pour atténuer les rayons du soleil. Pour une autre cérémonie de face-à-face, le promoteur Pape Abdou Fall est alors averti.
Cobra 1 à Dakar ce samedi
Pour son combat du 18 mars prochain au stadium Iba Ma r Diop con tre Hooligan s de l’école de lutte Toubabou, le pensionnaire de l’écurie Pikine Mbollo Cobra 1 rentre à Dakar ce samedi. Il était en Suisse depuis quelques mois e t so n retour lui permettra de mieux peaufiner ses armes en direction de ce combat crucial.
Balla Gaye 2 en larmes
Invité de Lamine Samba dans l’émission Jonganté, Balla Gaye 2 a démontré sa sensibilité. Le Lion de Guédiawaye n’a pas cessé de verser des larmes tout au long de l’émission. Il a même obligé le réalisateur à mettre un élément le temps qu’il puisse se ressaisir et pouvoir continuer les discussions. Il a certainement surpris plus d’un.
Fifa: Deco, Figo, Pires, Seedorf, Shevchenko et...Infantino sur la photo
Pour soigner l'image d'une instance qui a surtout rimé ces derniers temps avec corruption, le nouveau président de la Fifa, Gianni Infantino a chaussé les crampons pour un match de football réunissant des anciennes stars comme Deco ou Figo, lundi au siège de la Fédération internationale à Zurich.
On a ainsi pu voir Infantino, fan de l'Inter Milan, accrocher tout sourire un Deco encore trop véloce pour le patron du foot mondial sur un des terrains dans l'enceinte du siège de la Fifa, sous le crachin suisse.
Les ex-gloires du ballon rond Carles Puyol, Andrei Shevchenko, Robert Pires, Clarence Seedorf, Paolo Maldini ou encore Fabio Cannavaro ont foulé la pelouse dans ce match qui a opposé des équipes mixtes, puisque la Fifa tend à féminiser les instances.
Il y avait aussi du beau monde sur la touche, puisque le célèbre coach Fabio Capello était présent, très élégant avec des lunettes bleues assorties à son costume, tout comme le Cheikh Salman, principal rival battu par Infantino à la présidentielle de vendredi, beau joueur et souriant sous sa casquette.
Depuis son élection vendredi, Infantino, 45 ans, enchaîne les sorties médiatiques, détendu, comme quand il a inauguré le musée de la Fifa à Zurich dimanche, misant sur l'image d'un dirigeant accessible afin de tourner la page des années Sepp Blatter, 79 ans, son prédécesseur dont le nom est associé aux dérives du sommet du foot mondial.
LES CLUBS SÉNÉGALAIS AURONT DU MAL À PERCER DANS LE LONG TERME
Dakar, 29 fév (APS) – Les clubs sénégalais peuvent réussir "un coup", mais ils auront du mal à percer au niveau africain, dans le long terme, a analysé l’ancien attaquant international, Mamadou Diallo, à la suite de l’élimination des deux représentants du Sénégal, l’AS Douanes et Génération Foot, aux compétitions africaines.
"Cette élimination est dans l’ordre logique des choses, même si je ne comprends pas encore la lourde défaite (0-4) de l’AS Douanes", a dit Diallo, préconisant "une véritable restructuration" des clubs sénégalais.
"Il y a, officiellement, un professionnalisme du football sénégalais, mais son organisation n’a pas évolué, puisque depuis ma génération, ce sont quelques mécènes qui continuent à perfuser les clubs", a signalé Mamadou Diallo, soutenant que les équipes ne peuvent pas continuer à être entretenues de cette manière.
Il estime que "le football, c’est du business". "Il faut aller convaincre les hommes d’affaires à investir ou compter sur l’investissement des supporters", a suggéré Diallo.
Il constate qu’aucun club sénégalais n’arrive à retenir ses meilleurs joueurs au-delà de deux saisons.
"Si nous n’arrivons pas à retenir nos meilleurs, comment pouvons-nous réaliser nos ambitions, au moment où nos adversaires viennent se renforcer chez nous ?" s’est demandé l’ancien attaquant, rappelant que deux internationaux sénégalais, Khadim Ndiaye et Pape Amadou Touré, sont allés renforcer le Horoya AC (Guinée).
"A chaque saison, on se lamente et tout le monde sait que les mêmes causes produisent les mêmes effets", a commenté Diallo.
Il rappelle que l’AS Douanes a perdu ses deux meilleurs joueurs à vocation défensive, Sylvain Badji et Ibrahima Sory Keita.
"Pour avoir un groupe compétitif, il faut que l’ossature joue ensemble pendant au moins trois ans. Et ce n’est pas le cas dans notre pays", a-t-il signalé.
Mamadou Diallo, un ancien attaquant de l’Entente Sotrac Ouakam, a fait ses premières armes dans ce club dakarois, avant d’aller monnayer son talent au Maroc, en Afrique du Sud, en Allemagne et aux Etats-Unis d’Amérique.