SOUTHAMPTON : La sucette pour garder Sadio Mané
Les dirigeants de Southampton, conscients de ne pas pouvoir s’opposer au départ de Sadio Mané l’été prochain, cherchent des so lutions pour le garder. Face aux deux grandes équipes de Manchester qui le courtisent , ainsi que Chel sea, Koe man et ses dirigeants pensent que la meilleure manière de faire barrière est de qualifier Southampton en Ligue des champions. Ce combat semble perdu d’avance, même si les «Saints» sont toujours mathématiquement en course pour une place européenne.
ROBERTO MARTINEZ : «Baye Niasse doit améliorer son intégration »
Baye Oumar Niasse sera le plus grand bénéficiaire du stage qu’organise Everton depuis dimanche. our Roberto Martinez, il va en profiter pour accroitre son intégration et créer plus d’affinités avec ses partenaires. Everton se trouve depuis le weekend à Dubaï pour une semaine de stage, profitant du report de son match contre Liverpool à cause de la finale de League Cup que dispute cette dernière contre Manchester City, dimanche. Elle compte rentrer le weekend pour préparer son match du mardi
BASKET COACH DES «LIONS» : Les exigences d’«Adidas» en question
Le directeur technique national (Dtn) Magatte Diop se prononce cet aprèsmidi sur «la situation des entraîneurs nationaux», annonce le communiqué de la Fédération sénégalaise de basket. Ce sera en marge de la signature d’un nouveau contrat de sponsoring entre la Fédération sénégalaise de basket et Sonatel Orange prévue au Sea Plaza, sur la Corniche
EQUITATION : Les 5 meilleurs jumpers du Sénégal
L’équitation sénégalaise ne cesse de progresser depuis huit ans, surtout avec l’initiation de l’épreuve Elite (1m30), code minimum accordé au niveau international. Grâce à leurs talents, à leurs vécus, à leurs expériences et à leurs performances, cinq cavaliers sénégalais ont marqué cette décennie du jumping. Avec l’aide d’observateurs et de spécialistes, Jour de Sport a dégagé le «Big Five» de ces champions. Pas question de classer, qu’on les aborde alors dans l’ordre alphabétique, avec Batj Gaye (Ehm), Gora Seck (Rcd), Kabirou Mbodje, Mansour Sylla (Eas) et Yasser Aïdibé (Pch).
TANG XOL - Par Khalifa A. GUEYE : Bañ leen, bu leen nangu
«Bañ leen, bu leen nangu, xaley Medine masu ño dess ganaaw… », chantonnait Youssou Ndour dans les années 1990. Cey jamono yoo yu. Tang Xol était un vrai mélomane, adepte surtout du rap Galsen. Mais cet appel n’est pas destiné à la jeunesse de Médina. Il s’adresse à tous les sponsors qui investissent des milliards dans l’arène que tiennent en otage des promoteurs qui ne font que garnir leurs poches. Il ne faut pas tomber dans le piège de ces promoteurs qui passent à pleurnicher, ces temps ci, dans les médias parce que les sponsors fuient la lutte.
Fifa: Platini va saisir le TAS après la réduction de sa suspension en appel
Michel Platini va saisir le Tribunal arbitral du sport (TAS), plus haute juridiction sportive, pour contester le maintien de sa suspension, réduite de huit à six ans, décidé en appel par la justice interne de la Fifa, a-t-il annoncé mercredi à l'AFP.
"J'introduirai tous les recours possibles, à commencer par le TAS, a-t-il annoncé dans un communiqué. J'ai demandé à mes avocats de le saisir sans attendre."
Il s'agit d'une "décision insultante, honteuse et un déni de droit", "en réalité une décision politique" prise par une "véritable bureaucratie sans contre-pouvoir au sein de cette organisation", a réagi le président français de l'UEFA, qui avait de longue annoncé sa décision de se battre jusqu'au bout pour laver son honneur.
Platini et Joseph Blatter, président démissionnaire de la Fifa, avaient été suspendus pour une durée de huit ans de toute activité liée au football le 21 décembre par la commission d'éthique de la Fifa dans le cadre de l'affaire du fameux paiement de 1,8 million d'euros reçu 2011 de la part du Suisse au Français, pour des travaux de conseiller entre 1999 et 2002.
La commission des recours a rejeté leurs appels, les estimant coupables d'avoir violé quatre articles du code d'éthique, et notamment de conflit d'intérêt, pmais pas de corruption. La réduction de la peine de huit à six ans s'explique par "les activités et les services" qu'ils ont "rendus à la Fifa, à l'UEFA et au football pendant des années".
Platini, qui était pourtant sorti "content" de sa longue audition la semaine dernière par la commission, s'est montré furieux de la décision, "en réalité une décision politique prise par l'administration de la Fifa, véritable bureaucratie sans contre-pouvoir au sein de cette organisation qui, depuis plusieurs mois, a confisqué le pouvoir d'une fédération démocratique centenaire".
- 'Illégitimité' du congrès de vendredi -
"Je suis la victime d'un système qui n'a eu qu'un seul objectif: m'empêcher de me présenter à la présidence de la Fifa afin de protéger certains intérêts que je m'apprêtais à remettre en cause", ajoute celui qui faisait figure de grand favori à l'élection présidentielle de la Fifa avant de renoncer à se présenter, devant l'impossibilité d'épuiser tous les recours dans les temps.
Selon le Français, le congrès extraordinaire électif de vendredi, qui doit élire un successeur à Blatter, "sera marqué dans l'histoire du sceau de l'illégitimité de la mise sous tutelle des élus du football par l'administration de la Fifa".
"Les motifs retenus contre moi sont sans fondement, construits de toutes pièces et surréalistes au regard des faits et des explications que j'ai données au cours de l'audience de la commission des recours", a-t-il également pointé.
Il a aussi dénoncé l'"arrogance insupportable" liée à la justification de la réduction de peine: "Quelle est le nom d'une justice qui fixe la sanction au faciès et à la réputation ?"
Fifa: Blatter et Platini toujours hors-jeu, Infantino et Salman près du but
Le président démissionnaire de la Fifa Joseph Blatter et le patron de l'UEFA Michel Platini ont vu leurs suspensions réduites de huit à six ans mercredi en appel, alors que le duel Salman-Infantino se précise à deux jours de l'élection à la présidence de l'instance mondiale.
La commission de recours de la Fifa n'a donc pas été très clémente avec Blatter et Platini, sanctionnés en raison du paiement controversé de 1,8 million d'euros du Suisse au Français en 2011 pour un travail de conseiller achevé depuis 2002. Elle a estimé qu'ils étaient bien coupables d'avoir violé quatre articles du code d'éthique et étaient coupables notamment de conflit d'intérêt.
Dans le même temps, la commission a de nouveau écarté les charges de "corruption" et rejeté l'appel de la chambre d'instruction de la Fifa qui avait réclamé une suspension à vie.
Pour espérer être blanchis il ne reste plus aux deux hommes, les personnages les plus puissants de la planète football avant leur disgrâce, que la saisine du Tribunal arbitral du Sport (TAS), la plus haute juridiction sportive, une démarche qu'a entreprise Platini moins d'une heure après la sentence de la Fifa.
Le coup est rude pour le Français, déjà obligé d'abandonner la course à la succession de Blatter pour laquelle il faisait figure de grandissime favori et qui a dénoncé dans un communiqué à l'AFP une décision "insultante, honteuse et un déni de droit". Son objectif est désormais de restaurer une image écornée et de récupérer au moins son fauteuil de président de l'UEFA.
- Compte-à-rebours -
La Confédération européenne avait annoncé le 22 janvier qu'elle n'organiserait pas d'élection à sa tête tant que Platini n'aurait pas épuisé toutes les voies de recours.
"Sepp" Blatter n'avait lui plus grand-chose à espérer. A bientôt 80 ans (le 10 mars), sa carrière de dirigeant sportif semble derrière lui et il a déjà été remplacé par le Camerounais Issa Hayatou comme président intérimaire de la Fifa.
Pendant ce temps, le compte-à-rebours est lancé, à 48 heures du scrutin présidentiel à la Fifa, avec deux candidats en première ligne, Gianni Infantino et le Cheikh Salman, et l'Afrique comme terrain de chasse.
Dans un entretien accordé à l'AFP mercredi, Infantino, secrétaire général de l'UEFA, a assuré avoir "des raisons d'être encore plus confiant" après avoir "parcouru l'Afrique", qui s'annonce comme le véritable juge de paix du scrutin.
"Les discussions que j'ai pu avoir avec les présidents de fédérations africaines ont été très concluantes", a-t-il ajouté.
Bluff, ou véritable pierre dans le jardin du Cheikh Salman Bin Ebrahim Al Khalifa ? C'est en effet le patron de la Confédération asiatique (AFC) qui avait reçu le 5 février le soutien du Comité exécutif de la Confédération africaine (CAF).
- Salman sur la défensive -
Sur la défensive, le Bahreïni a dû faire face à diverses accusations mercredi. Déjà pointé du doigt par des organisations de défense des droits de l'Homme pour son rôle supposé dans la répression du soulèvement démocratique en 2011 au Bahrein, il est cette fois pris pour cible par un député britannique du parti conservateur, Damian Collins, pour de présumés achats de voix au moment de son accession à la présidence de l'AFC en 2013.
Un porte-parole du dirigeant bahreïni, interrogé par The Times, a affirmé qu'il n'y avait "aucune preuve crédible" derrière ces allégations.
Les candidats mineurs essayent eux d'occuper le terrain sur le plan procédural. Mais ils ont enregistré une défaite après le rejet par le TAS de la demande du Prince jordanien Ali, soutenue par le Français Jérôme Champagne, d'installer des isoloirs transparents.
Le Prince Ali a "regretté" cette décision, qui confirme donc la tenue du Congrès électif vendredi.
Les grandes manoeuvres ont en tout cas débuté à Zurich en vue de l'élection. Une réunion du Comité exécutif a adopté mercredi à l'unanimité le train de réformes qui sera soumis au vote du Congrès vendredi matin. Parmi celles-ci figure la limitation à 12 ans du cumul des mandats du futur président, alors que Blatter, réélu en mai pour un cinquième mandat, a régné durant 17 ans sur le football mondial.
- Champagne et Sexwale isolés -
Autre sujet sensible: l'Indonésie et le Koweït seront a priori privés de vote vendredi, le gouvernement de la Fifa ayant recommandé au Congrès de reporter au mois de mai l'examen de leur suspension. Si le Congrès suit le Comité exécutif, le nombre de fédérations participant à l'élection du président passerait de 209 à 207, l'absence de ces deux représentants asiatiques pouvant pénaliser le Cheikh Salman.
Après le "Comex", le gouvernement de la Fifa, mercredi, ce sont les six confédérations continentales qui réuniront jeudi, pour acter définitivement leurs consignes de vote.
Pour l'instant, Salman est appuyé par l'Asie et l'Afrique, Infantino par l'Europe et l'Amérique du Sud, ainsi que l'Amérique centrale (l'Uncaf, regroupant sept fédérations). Les autres fédérations membres de la Concacaf (Amérique du Nord et Caraïbes) ainsi que l'Océanie n'ont pas encore officialisé leurs préférences.
Selon un décompte réalisé par l'AFP sur les intentions de vote exprimées par 100 des 209 fédérations membres de la Fifa, Infantino est en tête (68) devant le Cheikh Salman (28), les trois autres candidats en lice, le Prince Ali (4), l'homme d'affaires sud-africain Tokyo Sexwale (0) et le Français Jérôme Champagne (0) semblant condamnés à un rôle de figurants.
Fifa: le TAS rejette la demande du Prince Ali d'installer des isoloirs transparents
Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a rejeté mercredi la demande du Prince Ali, l'un des cinq candidats à la présidence de la Fifa, d'installer des isoloirs transparents lors du vote de vendredi, a-t-on appris auprès du TAS.
Dans un communiqué le Prince Ali a "regretté" cette décision, qui confirme donc la tenue du congrès électif vendredi pour la succession de Joseph Blatter à la tête du football mondial. Le Jordanien, qui avait poussé le dirigeant suisse a un second tour lors du dernier scrutin, fin mai, est l'un des trois outsiders à l'élection derrière les deux favoris, le cheikh bahreini Salman et l'Italo-Suisse Gianni Infantino.
Fifa: Infantino en tête des intentions de vote devant Salman
Le candidat de l'Europe Gianni Infantino était en tête mercredi devant celui de l'Asie, le cheikh Salman, à deux jours de l'élection à la présidence de la Fifa, selon un décompte des intentions de vote réalisé par l'AFP auprès des fédérations appelées à voter vendredi.
Via ses bureaux dans le monde, l'AFP a sollicité la totalité des 209 fédérations membres de la Fifa. 161 ont répondu, soit 77% d'entre elles, dont 100 ont affiché leur soutien à l'un des cinq candidats en lice, les autres se retranchant derrière le secret de l'isoloir.
Avec 68 intentions de vote exprimées sur son nom, Gianni Infantino devance assez largement le cheikh Salman (28).
Les trois autres candidats en lice, le Prince jordanien Ali (4 intentions de vote), l'homme d'affaires sud-africain Tokyo Sexwale (0) et le Français Jérôme Champagne (0) semblent par contre condamnés à un rôle de figurants.
A noter pour Salman le décalage important entre les 28 intentions de vote recueillies par l'AFP et les 100 voix virtuelles que devrait lui conférer le soutien reçu des confédérations asiatique et africaine.
Le Bahreini est en effet officiellement soutenu par l'AFC (la Confédération asiatique, 46 voix), dont il est le président, et la CAF (la Confédération africaine, la plus importante avec 54 voix).
Cette différence est par contre presque nulle pour Gianni Infantino, qui a lui reçu le soutien de l'UEFA (Europe, 53 voix), dont il est le N.2, de la Conmebol (Amérique du Sud, 10 voix), et des 7 pays de l'UNCAF (l'Amérique centrale). Soit 70 voix potentielles, pour 68 intentions de vote dans le décompte de l'AFP.
Les moins jeunes parmi les férus de foot parlent encore avec mélancolie de feu Matar Niang. Il y a eu Jules Bocandé puis El Hadji Diouf, le plus célèbre parmi les footballeurs sénégalais. Et sans doute le plus talentueux de tous les temps.
«Au Sénégal, si on veut voir un Ballon d’Or, il faut aller à Balacoss ». Cette boutade d’El Hadji Diouf date de plus d’une décennie. Et le truculent ancien n°11 des Lions pourrait encore la lancer à l’envi. En effet, le Sénégal du foot attend toujours de voir un autre de ses joueurs remporter le prestigieux titre de meilleur joueur continental de l’année. Après El Hadji Diouf, vainqueur du Ballon d’Or africain en 2001 et 2002. Deux années qui ont vu le Bad Boy du football sénégalais porter les Lions pour les mener en finale de la CAN 2002 et en quart de finale du Mondial de la même année.
Avec à la clé un rang de 7ème meilleur joueur de la Coupe du monde. Alors que l’enfant de Balacoss, le quartier saint-louisien où El Hadji Diouf a grandi, était sur la pente déclinante de sa prestigieuse carrière, bien des joueurs ont été cités pour reprendre le flambeau du football sénégalais que l’ancien Rover de Blackburn a porté haut dans les stades d’Afrique et du monde. Présentés tour à tour comme son successeur, Rahmane
Barry, Issa Bâ, Diomansy Kamara, Mamadou Niang, Moussa Sow, Issiar Dia, Dame Ndoye, Papiss Cissé, Mame Biram Diouf et bien d’autres n’ont jamais pu approcher les performances stratosphériques d’El Hadji Diouf sous le maillot national.
Et ce dernier, en semi-retraite, de toujours attendre son «héritier »… Aujourd’hui, de l’avis de plusieurs observateurs, le plus à même de faire oublier Diouf n’est autre que Sadio Mané. Même le très chevronné Claude Le Roy, l’entraîneur aux huit participations à la CAN, est de cet avis. «Sadio Mané est un futur Ballon d’Or», indiquait ainsi le technicien français sur le plateau de Talents d’Afrique sur Canal+. L’actuel n°10 de l’équipe du Sénégal et du club anglais de Southampton a pointé le bout du nez dans le gotha du football continent à deux reprises, en 2014 et en 2015. La dernière fois, l’enfant de Bambali a même figuré dans le onze-type africain aux côtés de cadors comme yaya Touré, yacine Brahimi et autre Pierre Emerick Aubameyang. Alors que de grosses écuries européennes, à l’image de Manchester United, lui font les yeux doux, il est clair qu’il faudra à celui que son coéquipier en sélection, Cheikhou Kouyaté, considère comme «le meilleur» (lire Stades d’avanthier lundi 22 février), gravir des paliers pour espérer décrocher le jackpot continental. Comme porter les Lions à une seconde qualification à une Coupe du monde et à une seconde finale de CAN. Diouf l’avait fait en inscrivant 8 des 13 buts de l’équipe du Sénégal. La balle est dans le camp de Sadio…
«JE NE REGRETTE PAS LE SENEGAL, UN CHOIX DU COEUR»
Au rythme de la déferlante médiatique après la boulette de Didier Deschamps disant vouloir sélectionner Kalidou Koulibaly, le défenseur central des Lions a fini par réagir. Chambrant le coach des Bleus qui, selon lui, a dû manquer un épisode, l’ancien Messin dit ne pas regretter son choix de jouer pour le Sénégal.
DESCHAMPS A SUPERVISE KOULIBALY
Pour plusieurs observateurs, le sélectionneur français a évoqué le nom de Kalidou Koulibaly comme alternative en défense centrale des Bleus pour signifier qu’Aymeric Laporte ne s’imposait pas à lui. Il n’en est rien selon L’Équipe qui renseigne que le technicien français a effectivement supervisé le Sénégalais. Selon la même source, c’est le joueur lui-même qui a donné l’info, mardi, indiquant qu’un membre de l’encadrement de l’équipe de France était venu le uperviser, alors qu’il est international sénégalais depuis septembre 2015. Ce que la presse française considère comme un étonnant dysfonctionnement dans le suivi des joueurs sélectionnables par le staff technique des Bleus, reprochant à Deschamps d’avoir été incapable de se tenir au courant de l’actualité du défenseur central de Naples. Qu’à cela ne tienne, Koulibaly a avoué avoir attendu l’appel du coach français, non sans marquer sa surprise concernant l’erreur de Didier Deschamps. «L’équipe de France, j’attendais depuis longtemps », a-t-il, en effet, reconnu sur RMC, ajoutant qu’«en arrivant à Naples, je pensais avoir une ouverture et j’ai attendu, mais ce n’est pas arrivé et j’ai décidé d’aller au Sénégal. J’aurais réfléchi si j’avais été appelé en équipe de France».
«IL A DU MANQUER UN EPISODE»
Koulibaly qui regardait Canal Football Club sur Canal+ «avec des amis, mais sans trop écouter», s’est permis une petite raillerie. «Il a dû manquer un épisode, mais je ne lui en veux pas, je n’en veux à personne», a-t-il dit, avant de marteler, qu’il «regrette pas» ce «choix du coeur», avec le Sénégal porté par une «super génération ». Et l’ancien Messin, passé par Genk, de confier : «Après la descente de Metz en National, je suis parti en Belgique pour m’aguerrir. Quand Benitez est venu me chercher, ça m’a fait beaucoup plaisir. En Italie, j’apprends beaucoup, surtout en tant que défenseur. Je me vois encore au Napoli. Le coach me fait confiance, la ville aussi et je veux jouer la Champions League avec le club, c’est un rêve de gosse», s’estil réjoui.
Pour l’heure, Koulibaly doit certainement avoir en tête la double confrontation avec le Niger au mois de mars prochain, comptant pour les 3ème et 4ème journées des éliminatoires de la CAN 2017.
Fifa: cheikh Salman, sérieux prétendant à la succession de Blatter
Fan de Manchester United, ancien homme d'affaires et membre de la famille royale de Bahreïn, cheikh Salman ben Ibrahim al Khalifa est un prétendant de poids à la présidence de la Fifa, malgré les accusations récurrentes le visant sur le thème des droits de l'Homme.
Président tout-puissant de la Confédération asiatique (AFC) depuis 2013 et vice-président de la fédération internationale depuis 2015, il espère arriver au sommet de la planète football lors de l'élection prévue vendredi à Zurich, ce qui serait une première pour son continent.
A 50 ans, cheikh Salman fait plus que son âge avec ses cheveux gris et sa fine moustache presque blanche. Il a la réputation d'un homme discret, ferme et déterminé. Sa soeur est l'épouse du souverain de Bahreïn, petit royaume du Golfe proche de l'Arabie saoudite.
Soutenu officiellement par les grosses confédérations d'Asie et d'Afrique, cheikh Salman est donné favori avec l'Italo-Suisse Gianni Infantino, numéro 2 de l'UEFA, pour succéder à Joseph Blatter, suspendu pour 8 ans pour gestion déloyale.
Et ses chances sont bien réelles depuis le retrait de la candidature du président de l'UEFA, Michel Platini, suspendu comme Blatter pour 8 ans.
- 'Entre Infantino et moi' -
Le Bahreïni avait dans un premier temps accordé son soutien au Français, au nom de l'AFC. Mais les malheurs de l'ex-capitaine de l'équipe de France ont changé la donne.
"Je suis confiant et optimiste. De mon point de vue, tout va mieux que bien", déclarait le 31 janvier à l'AFP cheikh Salman. Ce sera "entre moi et lui", ajoutait-il à propos de Gianni Infantino.
Dans son manifeste, il a promis "une refonte complète de l'organisation et l'introduction de mécanismes de contrôle rigoureux qui permettront de relancer la Fifa dans son ensemble".
Cheikh Salman a clairement profité de la déchéance de son grand rival, le Qatari Mohammed Bin Hammam, banni à vie en 2011 pour corruption de toute activité liée au football. En mai 2013, le Bahreïni s'était facilement imposé à la tête de l'AFC, qui compte 46 fédérations.
- 'Affreux mensonges' -
Ses liens avec l'influent cheikh koweïtien Ahmad al-Fahad Al-Sabah, membre du Comité international olympique, du Comité exécutif de la Fifa et considéré comme un faiseur de rois à la Fédération internationale de football, sont de sérieux atouts.
En dépit d'un statut de co-favori, cheikh Salman part avec un handicap: les critiques récurrentes pour son implication supposée --qu'il réfute-- dans la répression du soulèvement chiite de 2011 à Bahreïn.
"D'affreux mensonges", a-t-il toujours répondu, face aux personnes lui reprochant de ne pas avoir protégé des sportifs bahreïnis inquiétés après avoir participé aux manifestations.
Longtemps soutien indéfectible de Sepp Blatter, cheikh Salman a étudié la comptabilité à Londres, avant d'obtenir des diplômes d'histoire et de littérature anglaise dans son pays et de se lancer ensuite dans les affaires (construction, immobilier, import-export).
Ce n'est qu'en 1998 qu'il intègre la Fédération de football de Bahreïn en tant que vice-président. Il en devient président en 2002.
Sa première tentative pour un siège au comité exécutif de la Fifa est un échec en 2009, face à Bin Hammam, mais il a su profiter des avanies du Qatari pour avancer ses pions, avant d'être réélu par acclamation en avril 2015 pour 4 ans lors du Congrès de l'AFC.
Homme à poigne, il avait à cette occasion montré toute son autorité en refusant d'accorder la parole au patron du football sud-coréen qui souhaitait contester les votes, notamment celui ayant décerné un siège au CE de la Fifa au Koweïtien Ahmad al-Fahad al Sabah.
Né le 2 novembre 1965 à Londres, cheikh Salman assume aussi dans son pays les fonctions de secrétaire général du Conseil supérieur de la jeunesse et de vice-président du Comité olympique local.
Turquie: l'ex-star du football Hakan Sükür risque la prison pour "insulte" à Erdogan
L'ancien joueur international turc de football Hakan Sükür sera prochainement jugé pour "insulte" au président islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan, son ex-mentor politique, et risque jusqu'à quatre ans de prison, a rapporté mercredi l'agence de presse Dogan.
M. Sükür, surnommé le "Taureau du Bosphore" pendant sa carrière de joueur, est accusé par le parquet du district de Bakirköy d'Istanbul d'avoir insulté sur Twitter l'homme fort de Turquie, a précisé l'agence.
Depuis son élection à la présidence en août 2014, M. Erdogan, dont les détracteurs dénoncent régulièrement la dérive autoritaire, a multiplié les poursuites pour "insultes", visant aussi bien artistes et journalistes que simples particuliers.
Après une belle carrière sportive marquée notamment par une troisième place pour la Turquie à la Coupe du monde de football en 2002, M. Sükür était entré en politique aux côtés de M. Erdogan et avait été élu député en 2011 sur une liste de son Parti de la justice et du développement (AKP), au pouvoir depuis 2002.
Mais hostile à une décision de M. Erdogan de lancer une guerre à son ex-allié devenu son ennemi numéro 1, l'influent prédicateur Fethullah Gülen qui vit aux Etats-Unis dont il est réputé être un adepte, il avait démissionné de l'AKP en 2013.
Hakan Sükür qui a longtemps évolué au géant stambouliote de Galatasaray, a notamment inscrit le but le plus rapide de l'histoire de la Coupe du monde, en 2002, lors du match pour la troisième place, contre la Corée du sud, après seulement 11 secondes.
Il avait annoncé en décembre dernier s'être installé avec sa famille en Californie, aux Etats-Unis, selon la presse turque.
Sokh s’abstient de défier
Après sa victoire sur Ndigueul de l’école Balla Gaye, Sokh n’a pas voulu citer ses potentiels adversaires. Le jeune frère de Jet Lee préfère continuer son chemin sans défier personne. Selon lui, il a fait ses preuves et cela doit suffire pour que l’on puisse définir ses vrais protagonistes. Une belle stratégie.
Quench prévient Alioune Sèye Jr
Pour son combat du 28 février, Quench se montre très rassuré. Le pensionnaire de Lansar a tenu à prévenir Alioune Sèye Jr (Walo). Il fait savoir qu’il ne compte nullement se bagarrer avec son adversaire. Il va tout simplement user de sa technique pour mettre fin à la confrontation. Alors, la balle est dans le camp de Walo qui doit définir la conduite à adopter par son protégé.
PAF, un vrai amateur de thé
Le promoteur Pape Abdou Fall est un vrai amateur de thé. Au cours de l’entretien que le patron de la structure PAF Productions nous a accordé lundi dernier, l’organisateur du combat Gris Bordeaux / Mod’Lô s’est permis de prendre quelques gorgées de thé avant de poursuivre le face to face.
Modou Lô salue Gris Bordeaux
Modou Lô n’a certainement pas encore commencé la bataille mystique. Lors de son premier face-à-face avec Gris Bordeaux, Xaragne était vraiment relaxe. La preuve, lorsqu’il est venu et qu’il a trouvé le 3ème Tigre de Fass sur les lieux, il n’a pas hésité à lui serrer la main. Le geste était beau et apprécié de tous.
Thiam CNG content des lutteurs
Je suis satisfait du comportement des lutteurs ici présents. Je n'ai vu personne tripatouil ler les règles établies. Mais on tient à demander aux lutteurs de ve iller sur leurs accompagnateurs pour éviter d'entrer dans l'enceinte après les combats.
L'arène attristée par la situation de Luc
Luc Nicolaï a toujours maille à partir avec la justice. Ses collaborateurs sont attristés pour son sort. Selon eux, le combat du promoteur de la Petite Côte est de tout faire pour que la lutte ne perde pas ses lettres de noblesse
Gris 2 / Ablaye Ndiaye : billetterie
Les amateurs qui veulent suivre le combat du 28 février entre Ablaye ndiaye et Gris 2 n’auront pas à se faire du souci. GFM Entertainment a publié le prix des billets : découverte 2000 FCFA, couverte 3.000 et annexe loge 5.000 francs.
An 2000 migre dans les mbappat
Après avoir longtemps défié de potentiels adversaires qui tardent à se signaler favorablement, An 2000 a trouvé la parade : faire des apparitions intempestives dans les galas de lutte sans frappe. Le chef de file de l’écurie JAP, au début quelque peu perdu, commence à se ressaisir de la meilleure des manières.
Raymond Diouf «fuit» Adrien Senghor
Depuis un bon moment, Raymond Diouf ne vient plus à l’arène Adrien Senghor. Est-ce par manque de temps ? Serait-il si pris par ses activités professionnelles ? A-t-il des choses à reprocher à certains ? Quoi qu’il en soit, le 2ème vice-président du CNG chargé de la lutte sans frappe a «fui» le temple de la lutte simple