KEEMTAAN GI - L’ECOLE QUE NOUS VOULONS POUR NOS ENFANTS…
L’école que l’on voudrait et que l’on souhaite de tous nos vœux pour nos enfants doit rimer avec un environnement sain. C’est-à-dire des salles qui respectent les conditions d’hygiène avec suffisamment de tables-bancs et des effectifs raisonnables. Des toilettes propres et non ces repoussoirs qu’offrent beaucoup d’établissements publics. Dans un pays où l’on nous chante une émergence que les partisans du Chef sont les seuls à voir, c’est une aberration de constater encore la survivance d’abris provisoires à quelques kilomètres de la capitale et tout près d’une nouvelle ville où trône un stade digne d’une Coupe du monde. A l’intérieur du pays, c’est une tradition. Des endroits qui ne doivent même pas recevoir des chiens à fortiori des humains et où l’on entasse nos enfants sous un soleil de plomb et à la merci des intempéries. Si ce ne sont pas des abris « provisoires » — on devrait plutôt les appeler « abris définitifs » ! —, ce sont des bâtiments qui datent de l’époque coloniale et menaçant ruine. Il nous faut soigner l’image de l’école sénégalaise. Un environnement sain qui, hélas, ne semble pas préoccuper ses acteurs, surtout les enseignants, qui n’ont les yeux rivés que sur leurs bulletins de salaires. L’environnement de l’école n’a jamais figuré au registre de leurs doléances. Mais pour une fois, avec les augmentations salariales mahousse que leur a consenties le Chef, on espère qu’ils nous épargneront d’une longue grève à hypothéquer le fonctionnement des enseignements qui n’ont jamais connu une année normale. Il faudrait également que l’Etat cesse de promettre plus qu’il ne peut offrir c’est-à-dire respecte ses engagements. Il nous faut renouer avant tout avec l’excellence par un enseignement de qualité et des hommes de valeur. Lutter contre la déperdition scolaire et particulièrement celle des filles. Et au moment où l’excellence s’écrit au féminin, il faudrait surtout que certains enseignants deviennent plus responsables, plus paternalistes, plus exigeants sur eux-mêmes envers… nos filles KACCOOR BI - LE TEMOIN
CHEFS D’ENTREPRISE AFRICAINS ANTA BABACAR NGOM SUR LE PODIUM
Le Témoin quotidien a appris que la 9e édition du classement Choiseul 100 Africa vient de désigner notre compatriote Anta Babacar Ngom Diack, 3ème meilleure chef d’entreprise de moins de 40 ans en Afrique et 1ère de l’espace Cedeao. Honneur pour honneur, Mme Ndiack est la fille de notre sympathique ami Pape Babacar Ngom, Pdg du Groupe Sédima ou le roi du poulet. Ou alors le roi de l’agriculture industrielle. Pour revenir à l’édition Choiseul 2022, ils étaient 48 pays représentés dans 17 secteurs d’activités reflétant la diversité des leaders talentueux du continent. Depuis 2014, date du lancement de l’initiative Choiseul Africa, l’Institut Choiseul tient à promouvoir un discours positif sur le potentiel africain afin de combler le fossé entre la perception du continent, en particulier de la part des opérateurs privés, et la réalité sur le terrain. C’est dans ce créneau que s’inscrit la belle performance de Mme Diack Anta Babacar Ngom qui est montée sur le podium. En effet, le Choiseul 100 Africa est une étude annuelle réalisée indépendamment par l’Institut Choiseul. Il identifie et classe les jeunes leaders africains de 40 ans et moins, qui joueront un rôle majeur dans le développement économique du continent dans un avenir proche. Pour classer les profils sélectionnés, plusieurs critères pondérés ont été pris en compte tels que : l’image et la réputation, les antécédents et les compétences, le pouvoir et la fonction, l’influence et les réseaux, le potentiel et le leadership. Fille de son père, Anta Babacar Ngom est ainsi reconnue comme faisant partie du cercle de ces jeunes chefs d’entreprise à succès au Sénégal et plus globalement en Afrique. Justement « Le Témoin » a appris que cette performance aurait décuplé les ambitions de Mme Diack qui compte à court terme se déployer carrément dans la sous-région avec Sedima-Mali, Sedima-Gambie, Sedima-Mauritanie, Sedima-Côte d’Ivoire, Sedima- Burkina, Sedima-Togo etc…
GUÉDIAWAYE UN HOMME POIGNARDE SA FEMME DE PLUSIEURS COUPS DE COUTEAU
Unis pour le meilleur et pour le pire, E. D. Fall a failli rompre son pacte avec son épouse dans la tragédie ! Et pour cause, ce maçon a administré plus d’une dizaine de coups de couteau à sa conjointe, selon des sources de Seneweb. Tout est parti d’une crise de jalousie. Détails ! Pourtant E. D. Fall et son épouse vivaient un heureux ménage dans le quartier Gounass de Guédiawaye ! Mais leur couple risque de voler en éclats à cause d’une crise de jalousie. Tout a basculé lorsque la dame F.C a quitté son domicile conjugal pour assister à un événement à l’insu de son époux. Une fois à la maison, le maçon a constaté que son épouse avait bravé son interdiction. Ayant appris que son conjoint l’a devancée à la maison, la dame F.C est allée se réfugier chez ses parents pour échapper à une punition. Las d’attendre le retour de sa femme, l’homme en colère décide de solder ses comptes à sa manière. Il parvient à ses fins, lorsqu’il surprend son épouse à son lieu de commerce situé au marché Peund de Pikine. Se déroule alors une scène inouïe : E. D. Fall administré plus d’une dizaine de coups de couteau à son épouse sur plusieurs parties de son corps. N’eût été l’intervention rapide des riverains, le pire se serait produit. Selon des sources de Seneweb, le maçon a été même lynché par la foule suite à cette cruelle agression. Il a été sauvé de justesse par les éléments du commissariat central de Guédiawaye. Embarqué puis entendu, E. D. Fall a reconnu les faits. Le maçon déféré devant le procureur Le maçon voulait corriger, dit-il, son épouse qui avait bravé son interdiction de sortir du domicile conjugal.
MARCHE CENTRAL AU POISSON LA SEN EAU ENCAISSE 22 MILLIONS 500 MILLE FRS ET RÉTABLIT L’EAU
Après les mouvements d’humeur au niveau du Marché au poisson de Pikine, la situation est enfin débloquée, si l’on en croit le nouveau ministre de la Pêche et de l’Economie maritime, Pape Sagna Mbaye, qui a profité de la tribune de ‘L’Entretien avec Dakaractu’, pour rassurer les acteurs du marché quant au problème lié à la coupure de l’eau dans le marché. Au total, c’est un montant de 22 millions 500 mille francs CFA qui a été débloqué pour faire revenir l’eau dans la boîte. « Trois jours après ma prise de service, je suis tombé sur ce problème que je connaissais déjà. Je me suis rapproché de la directrice de Sen Eau avec qui j’ai discuté. Elle nous a dit clairement qu’elle comprenait ce qui se passe mais elle a besoin de trésorerie. Elle nous a fait savoir qu’il est nécessaire de donner déjà la somme de 22,5 millions sur les 168 millions d’arriérés de factures qui trainent depuis 2019 », a précisé le nouveau ministre de la Pêche dans l’Entretien. Pape Sagna Mbaye d’ajouter que le reste de la facture devrait être disponible après des discussions pour savoir qui se chargera du paiement. Au-delà de ce problème, le ministre de la Pêche et de l’Economie maritime estime que la gestion du marché doit être revue au regard des recettes du lieu de commerce. « Il faut dire qu’au niveau de l’État, la réflexion sera de mise car l’État n’a pas pour objectif de faire des bénéfices mais plutôt l’accroissement des biens collectifs », considère le successeur de Alioune Ndoye.
MAC DE MBOUR: DEUX DÉTENUS S’ÉVADENT!
C’est une information qui est tombée hier (lundi) dans la journée. Deux détenus se seraient évadés de la Maison d’arrêt et de correction(MAC) de Mbour. L’un d’eux est en détention pour les délits de viol et de vol, tandis que l’autre est emprisonné pour meurtre. Selon nos sources, les deux détenus ont réussi à s’évader le samedi 1er octobre vers 13 heures. Ce lundi aussi, on a appris que les détenus de la maison d’arrêt de Mbour ont observé une grève de la faim. Les causes de la colère, selon des détenus, résident dans le fait que les heures de promenade ont drastiquement diminué. Ce qui n’est pas à leur goût. En effet, au lieu de 9h à 17h, les heures de promenade sont fixées de 9h à 12h depuis quelques temps.
MBOUR LA MORGUE DU CENTRE HOSPITALIER MANSOUR BARRO DE MBOUR DE NOUVEAU FONCTIONNELLE
Mbour a désormais une morgue fonctionnelle. Cela faisait désordre de voir une ville aussi importante que Mbour transférer ses morts à … Joal parce que la morgue du centre hospitalier Thierno Mouhamadoul Mansour Barro de Mbour n’était pas fonctionnelle. Une telle aberration a fait réagir rapidement le président du conseil départemental, Saliou Samb, qui a installé samedi dernier un nouveau système de refroidissement. ’’Actuellement, la morgue de l’hôpital Thierno Mouhamadoul Mansour Barro de Mbour est fonctionnelle. La panne a été réparée. C’était une panne sérieuse qui a pris un peu de temps’’, a expliqué Saliou Samb au cours d’un point de presse. La directrice du centre hospitalier, Fatou Diop, avait sonné l’alerte le 08 septembre dernier.. ’’Par conséquent aucun corps ne pourra y être admis, la morgue est fermée le temps des travaux’’, avait-elle déclaré. ’’La directrice de l’hôpital avait contacté les services du ministère de la Santé qui ont bien voulu nous octroyer une nouvelle morgue que nous avons fini d’installer aujourd’hui même (samedi) au niveau de la salle des autopsies’’, a annoncé le président du conseil départemental. M. Samb a indiqué que la collectivité territoriale ’’va faire un virement de crédits pour [...] construire une nouvelle salle d’autopsie. L’hôpital de Mbour dispose actuellement de deux morgues fonctionnelles et nous notons aussi l’augmentation de la capacité d’accueil’’. Il dit regretter le transfèrement des corps dans les autres structures de santé de la localité. ’’A un moment il y avait un accident [...]et il fallait amener les corps sans vie dans les autres points de santé du département. Cela a créé de l’émotion au niveau des familles que nous comprenons. Une panne est souvent imprévisible surtout quand il s’agit d’un système de froid de la morgue d’un hôpital’’, a indiqué Saliou Samb. Pour une meilleure prise en charge sanitaire des malades dans le département de Mbour, la construction d’un hôpital a été retenue par les autorités. ’’Le président de la République a décidé de doter Mbour d’un hôpital de niveau 3 de plus de 300 lits avec toutes les commodités et tous les services en plus d’une unité de dialyse qui permettra aux malades de rester dans le département», a conclu Saliou Samb.
La semaine dernière, Kosmos Energy informait que les typhons, survenus en Chine, ont fait dériver son bateau en construction. Et c’est le bateau qui doit assurer la productions, le stockage et de déchargement du Gaz naturel qui sortira du gisement gazier
La semaine dernière, Kosmos Energy informait que les typhons, survenus en Chine, ont fait dériver son bateau en construction. Et c’est le bateau qui doit assurer la productions, le stockage et de déchargement du Gaz naturel qui sortira du gisement gazier Sénégalo-Mauritanien. Ce vendredi, la compagnie pétrolière a donné des nouvelles.
C’est donc plus de peur que de mal. Jeudi dernier, la Chine avait été frappée par le typhon Muifa. Malheureusement, l’opérateur du champ gazier Grand Tortue Ahmeyim avait informé que le navire qui doit assurer la production et le stockage du Gaz a subi des impairs.
Mais, Kosmos Energy, qui a fait une mise à jour, a informé que le dégâts ne sont pas graves. Le bateau en question, qui avait dérivé, le Fpso a été ramené à quai, au chantier. «Les inspections effectuées à ce jour n'ont pas identifié de dommages importants», informe Kosmos Energy.
Le plan prévisionnel, selon la compagnie, consiste à terminer toutes les inspections et à intégrer les réparations à faire dans les travaux restants avant le départ du Fpso vers le gisement gazier.
Pour rappel, la compagnie avait annoncé que, pendant le typhon, les lignes d’amarrage du Fpso «ont été compromises, ce qui a entraîné la dérive du navire». Des opérations avaient été lancées pour ramener le navire à quai.
LES EAUX REFUSENT DE CÉDER LA PLACE AUX POTACHES
La rentrée scolaire risque d’être perturbée dans plusieurs écoles de la banlieue de Dakar sous les eaux. Les autorités travaillent sans relâche pour permettre aux élèves de démarrer les cours le 6 octobre. Le Oubi tey jangui tey n’est pas garanti.
La rentrée scolaire risque d’être perturbée dans plusieurs écoles de la banlieue de Dakar sous les eaux. Les autorités travaillent sans relâche pour permettre aux élèves de démarrer les cours le 6 octobre. Le Oubi tey jangui tey n’est pas garanti.
À l’Inspection de l’éducation et de la formation (Ief) de Pikine, on s’attèle aux derniers réglages pour l’ouverture des classes. « Les conditions de travail risque d’être difficiles pour les élèves », souffle un membre de l’Ief, l’une des composantes de l’Inspection d’académie (Ia) de Pikine Guédiawaye qui comprend 36 écoles primaires, 6 collèges publics, 4 structures préscolaires publiques et 101 structures privées, selon Matar Guèye, secrétaire général de l’Ief de Pikine. Pour avoir un aperçu sur la situation des écoles qui sont sous les eaux, il suffit juste de franchir la porte de l’Ief de Pikine pour se retrouver de l’autre coté en face de l’école Elimane Ndiaye qui est dans une situation catastrophique. « Ici, ce sont les eaux usées et non les eaux de pluies », renseigne d’emblée M. Guèye. « Les écoles Elimane Ndiaye 1 et 2, une partie de l’école 7A, l’école Mame Yelli Badiane et l’école Kabirou Mbodj sont tous sous les eaux », informe-t-il. Mais le secrétaire général de l’Ief assure que les autorités sont à pied d’œuvre pour que tout puisse se passer normalement avant l’ouverture des salles de classes.
Le cri du cœur du directeur de l’école Elimane Ndiaye
Les raccordements de l’Office national de l’assainissement (Onas) qui sont passés par l’école Elimane Ndiaye, située en face du centre de santé Baye Talla Diop, ne font qu’empirer la situation. A chaque fois, ce sont les mêmes désagréments notés. La cour de l’école est remplie d’eau, les portes et les fenêtres des classes sont devenues vielles et les tables-bancs cassés. Les eaux ont fini d’envahir presque toutes les salles de classe, même le bureau du directeur n’est pas épargné. Une situation difficile pour M. Badji, le nouveau directeur de l’école, qui lance un appel aux parents d’élèves et aux bonnes volontés pour permettre à ses élèves de débuter les cours en même temps que leurs camarades des autres écoles.
A Diamegueune-Sicap Mbao, deux collèges encore sous les eaux ...
Diamegueune-Sicap Mbao fait partie de ces communes les plus touchées par les inondations. « Depuis plus de deux semaines, nous sommes dans le pompage pour évacuer les eaux. C’est pourquoi en ce moment, il ne reste que deux collèges qui sont encore inondés. Les autres écoles primaires sont en train d’être pompées, même si la nappe nous cause énormément de problèmes. Des motopompes de 150 m3 et 80 m3 sont mises à notre disposition pour évacuer définitivement les eaux de pluies des maisons et des écoles », a dit Abdou Samath Diouf, président de la plateforme de lutte contre les inondations.
Les sapeurs-pompiers au secours des écoles de Thiaroye
Les sapeurs-pompiers ont du pain sur la planche. A l’école Ndiawar Diagne de Thiaroye, les soldats du feu procèdent au pompage des eaux, aidés en cela par plusieurs jeunes membres du collectif pour la lutte contre les inondations. Ce dispositif est mis sur place dans plusieurs endroits de la banlieue, surtout dans les écoles, renseigne un membre de ce collectif qui pense que la situation risque d’être très difficile pour l’ouverture prochaine des classes.
COMMENT LA SOCIÉTÉ CIVILE SÉNÉGALAISE COMPTE SE FAIRE ENTENDRE
Pour appeler à plus de justice climatique, une centaine de mouvements communautaires et d’organisations de la société civile participent actuellement à la Caravane africaine pour le climat qui va sillonner l’ensemble du continent jusqu’en Égypte ...
Pour appeler à plus de justice climatique, une centaine de mouvements communautaires et d’organisations de la société civile participent actuellement à la Caravane africaine pour le climat qui va sillonner l’ensemble du continent jusqu’en Égypte où se tiendra la COP27 du 06 au 18 novembre 2022. Après les étapes de Kolda, Kédougou, du Delta du Saloum, de la Petite-Côte et de Saint-Louis, les caravaniers sénégalais, se retrouvent ce lundi 03 octobre 2022 à Bargny pour l’étape finale de leur itinéraire national, nous indique un communiqué parvenu à Emedia. La même source révèle que cette caravane est une occasion pour les différentes organisations qui la composent, de relayer les doléances des communautés qu’elles ont mobilisées tout le long de leur périple et d’inviter les autorités étatiques à porter leur voix lors des négociations de Sharm El Sheikh.
Dans toute l’Afrique, des communautés, des pays, des écosystèmes entiers paient le prix de l’inaction climatique mondiale. « Nous assistons à un effondrement des écosystèmes à une échelle jamais vue auparavant », note le communiqué qui souligne le cas de Maguette Ba, membre de Jeune Volontaire pour l’Environnement (JVE Sénégal) qui en a fait l’expérience dans le Delta du Saloum. Pour elle, tout est question de volonté politique. « J’ai été extrêmement impressionnée par les femmes que nous avons rencontrées dans le Delta du Saloum et toutes les mesures d’atténuation qu’elles ont pu mettre en œuvre avec si peu de moyens. Elles méritent une place à la table des négociations de la COP27 tant elles ont à apprendre à nos dirigeants ! », explique Maguette Ba.
Dans tous les cas, poursuit le communiqué, ce mouvement citoyen inédit appelle les pays riches - historiquement responsables du changement climatique - à assumer leur juste part pour aider le continent à affronter l’escalade de crises climatiques qui le frappent. Abdou Salam Thiam, Responsable des Campagnes et du Plaidoyer d’Oxfam au Sénégal, l’une des organisations participant aux Caravanes, rappelle à cet effet que « le rapport publié cette semaine par Oxfam montre que l’aide des pays riches à l’Afrique de l’Ouest pour faire face aux changements climatiques est insuffisante et, pire, aggrave dangereusement les niveaux d’endettement ».