4 000 Sénégalais bloqués en Mauritanie Décidément !
Le coronavirus qui a déjà désarticulé le monde, mis à terre les économies, continue d’affecter tous les secteurs. Des Sénégalais vivant à l’étranger continuent de souffrir des conséquences de cette pandémie. « L’As» a appris que près de 4 000 Sénégalais sont bloqués en Mauritanie. Il s’agit de 3 300 personnes recensées officiellement dans la capitale Nouakchott et 400 autres recensés à Nouadhibou et autres qui désirent rentrer. Mais puisque le transport interurbain est suspendu en Mauritanie, ils sont bloqués depuis lors et ne peuvent rejoindre l’autre rive. Hier, leur tentative de manifester a été réprimée par la police, actionnée par les autorités diplomatiques. Ce qui irrite d’ailleurs nos compatriotes en détresse. Joint au téléphone, une diplomate confirme l’état de fait et précise que le nécessaire a été fait tant au niveau de l’Etat mauritanien qu’au niveau de Dakar. «On ne peut faire que cela. Ils viennent tous les jours, mais on a saisi les autorités mauritaniennes pour une autorisation, Dakar est aussi avisé », dit-il.
Air Sénégal SA choppe la covid-19
Le virus a infecté plusieurs agents de la compagnie Air Sénégal SA. La compagnie nationale qui assure le rapatriement de nos compatriotes bloqués à l’étranger, a enregistré 05 cas testés positifs au coronavirus. Les malades sont répartis entre le siège où les résultats des tests de 04 agents sont revenus positifs et un à la Direction Technique. Toutefois, Air Sénégal rassure que les malades se portent bien et ils font présentement l’objet d’un suivi médical par les autorités sanitaires. Les locaux de la compagnie nationale ont été totalement désinfectés et toutes les personnes en contact avec les cas positifs ont été mises en quatorzaine.
Pétition pour l’annulation de la dette africaine
Après le lancement de l’appel pour l’annulation de la dette publique extérieure de l’Afrique, le Comité d’initiative de l’Iada présidé par Mody Guiro compte finaliser son plan d’action et son document-plaidoyer afin d’élargir et de structurer les bases du mouvement. Auparavant, le Comité lance l’opération de signature de sa pétition en ligne sur son site web www.iadafrica.org. Il invite tous les progressistes à signer et à faire signer la pétition pour l’annulation de la dette de l’Afrique qui est fortement impactée par la pandémie du coronavirus. Le comité s’est réjoui de la réussite de la cérémonie de lancement de l’Appel. Il a obtenu le soutien de des progressistes militants de la cause d’Afrique, du Nord au Sud en passant par l’Ouest et le centre, comme en Europe et en Amérique. Ces derniers réaffirment leur engagement dans le combat pour l’annulation de la dette publique extérieure de l’Afrique. Au plan national, plusieurs personnalités comme le président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse, le député Mamadou Diop Decroix sont intervenues pour exprimer leur soutien ainsi que près de 200 personnalités de la société politique, civile, syndicale, économique, des Ong, des organisations faitières des jeunes, des femmes du Sénégal.
Pad : Beye en phase avec ADD
Qui veut opposer le ministre des Finances au Dg du Port ? En tout cas depuis le 29 juin 2020, date de l’assemblée générale du conseil d’administration du Port de Dakar, des informations concernant la gestion interne de la structure, notamment le versement demandé et approuvé de la totalité de ses bénéfices dans les comptes de l’Etat, sont exposées dans la presse. Pourtant, d’après des proches de Aboubacar Sedikh Beye, la direction générale du Port de Dakar condamne fermement ces agissements qui portent hautement atteinte à l’image du Port. «La Direction Générale du Port de Dakar est en parfaite phase avec l’Assemblée générale du conseil d’administration. Les décisions prises par ses organes délibérants sont exécutées avec rigueur. L’Etat du Sénégal a fixé au Port de Dakar des objectifs stratégiques clairs adossés au Plan Sénégal Emergent pour un outil portuaire qui participe à la transformation structurelle de l’économie », précise-t-on du côté du Port. « C’est dans cette perspective que nous sommes sur le point de construire un Port de 4ème génération à Ndayane pour faire du Sénégal un Hub logistique et industriel sous régional », conclut la note.
L’Etat et le Sytjust invités à renouer le dialogue
L’enchaînement de la grève du Syndicat des Travailleurs de la Justice (Sytjust) a fini de plonger les usagers dans le désarroi. Les organisations de défense des droits humains montent au créneau pour demander à l’Etat et au Sytjust de reprendre les négociations pour mettre fin à la grève qui dure depuis bientôt un mois. Dans un communiqué conjoint, la Raddho, la Lsdh et Amnesty expriment leur préoccupation sur le mouvement d’humeur des travailleurs de la justice depuis le 15 juin et qui a entraîné la paralysie de fait de toutes les juridictions du pays. Ils soulignent que cette grève a de graves conséquences sur le droit des citoyens à un service public continu et de qualité de la justice. Aussi, ajoutent-ils, les droits des personnes privées de liberté sont particulièrement affectés par cette grève. Pour ces organisations de la société civile, c’est par le dialogue qu’une solution peut être trouvée. Par ailleurs, les défenseurs des droits humains demandent au gouvernement de respecter les engagements pris lors des négociations pour éviter les grèves récurrentes que connaissent tous les secteurs de la Fonction publique et qui ont de graves incidences sur les droits humains.
M. T. Sy décède dans la rue à Liberté 6
Une scène douloureuse est survenue hier au quartier Liberté 6. Momar Talla Sy est tombé dans la rue avant de rendre l’âme sur place. Les passants ont alerté les sapeurs-pompiers qui se sont déportés sur les lieux. Mais par précaution, les soldats du feu n’ont pas touché le corps. La crainte du coronavirus est passée par là. Finalement, le Service d’Hygiène est saisi pour désinfecter la dépouille et l’endroit. La famille Sy a été choquée par l’attitude des autorités. Puisque le corps sans vie de M. T. Sy gisait sur le sol de midi à 18h. Sa famille soutient qu’il n’était pas malade de coronavirus.
335 kilos de chanvre dans un dépôt à Kounoune
La Brigade spéciale de recherches des Douanes (Bsr) rattachée à la Subdivision de Dakar-extérieur a investi les milieux criminels et de trafic de stupéfiants. Suite à une filature de plusieurs heures, le lundi 06 juillet, les agents de la Bsr ont arrêté trois individus en pleine opération de déchargement de chanvre indien dans un dépôt situé au quartier Kounoune. La marchandise était dissimulée sous des sacs de paille d’arachide (8 sacs au total) et transportée à bord d’une fourgonnette de marque Renault trafic. C’est au moment du déchargement que les douaniers sont intervenus et ont arrêté les trois individus en question. Il s’agit notamment du propriétaire, du convoyeur et du gardien du dépôt. La drogue saisie est conditionnée en 335 paquets de 1 kg de chanvre indien, soit un total de 335 kg pour une valeur marchande estimée à 20 100 000 Fcfa.
Menaces sur les prélèvements de covid-19
Des techniciens de la santé menacent de bloquer la lutte contre la covid-19. Face à la presse, le secrétaire général du cadre unitaire des syndicats de la santé, Cheikh Seck annonce que les techniciens de la santé affiliés à la Cnts/FC ne vont plus faire de prélèvements pour la covid-19 à partir de mercredi. Pour cause, les conditions de travail et leur statut précaire dans la fonction publique. Ces techniciens exigent du chef de l’État le respect de ses engagements.
Licenciement à l’ambassade de Suisse
L’Ambassade de Suisse à Dakar est accusé de violation du code international du travail (BIT) par le secrétaire général du Sels/A par ailleurs secrétaire général adjoint de la CSA, Abdou Faty. Dans une lettre de dénonciation, le syndicaliste condamne le racisme et l’injustice sociale à la représentation diplomatique de Suisse. Pour cause, le licenciement de travailleurs dans ce contexte de covid-19 malgré l’ordonnance du Chef de l’État. Selon Abdou Faty, l’ambassade viole les accords de sièges. L’Ambassade de Suisse à Dakar confirme les licenciements tout en précisant que cela a été fait dans le respect scrupuleux des normes juridiques en vigueur au Sénégal.
La PNA sur la rupture du Phénobarbital
La Pharmacie Nationale D’approvisionnement (PNA) reconnaît la rupture de Phénobarbital, un médicament fondamental pour le traitement de l’épilepsie. Cette situation s’explique par l’arrêt de production de l’usine MEDIS fermée depuis décembre 2019. Toutefois, la Pharmacie nationale d’approvisionnement(PNA) rassure avoir importé 15 000 boîtes de 100 qui viennent d’arriver à l’aéroport et qui sont en cours de dédouanement. Les médicaments seront disponibles d’ici la fin de la semaine, puisque la PNA dispose d’une autorisation d’importation.
Manifestations
Les plateformes «Aar Li Nu Bokk», «Noo Lank» et «Doyna» reprennent la rue après une pause due à l’apparition du coronavirus au Sénégal. En réunion hier, les membres de ces plateformes, qui ont décidé de lutter ensemble, envisagent d’organiser une manifestation le vendredi 17 juillet 2020. Ils ont déposé la lettre d’information hier sur le bureau du Préfet de Dakar. La manifestation va servir de tribune pour dénoncer les nombreux litiges fonciers, les démolitions de maison, la violation des droits des travailleurs, la violation des droits et libertés des citoyens et exiger la libération de Abdou Karim Guèye, alias Xrum Xax incarcéré pour le délit d’opinion.
Le GIR tire sur Moustapha Cissé Lo
Le député Moustapha Cissé Lo est devenu l’homme à abattre pour l’Alliance Pour la République (Apr). Toutes les entités de la mouvance présidentielle tirent sur l’ancien président du Parlement de la Cedeao. Le Groupe d’Informations Républicains (GIR) n’est pas en reste. Il se réjouit de la décision de la commission de discipline de l’Apr d’exclure El Pistolero du parti pour son comportement qui était de nature à entacher l’image de l’Apr qui reste attachée au respect des valeurs d’éthique, de discipline et de loyauté. Le GIR pense que la liberté d’expression, garantie par la constitution, doit s’exercer dans la courtoisie et la discipline. C’est ce qui est attendu, à ses yeux, de tout acteur politique a fortiori ceux qui occupent des responsabilités institutionnelles.
La Gambie proroge l’état d’urgence
Alors que le Président Macky Sall a levé l’état d’urgence, son homologue gambien Adama Barrow, lui, l’a prolongé hier de sept jours à partir d’aujourd’hui. Le Président Adama Barrow rappelle dans un communiqué parvenu à «L’As» que les mesures prises antérieurement dans le cadre de la lutte contre la pandémie de la Covid-19 restent en vigueur. Il invite les Gambiens à respecter les gestes barrières pour se protéger et freiner la propagation de la Covid-19. Pour lui, la pandémie est sous contrôle en Gambie. 61 cas positifs sont enregistrés depuis le début de la pandémie dont 31 cas sous traitement, 27 guéris et 3 décès.
KEEMTAAN GI - I COMME INSULTES ET COMME…ICARE !
Certes, Moustapha Cissé Lô est un insulteur impénitent, un personnage ordurier, fruste, un rustre voire carrément un fou à lier. En plus d’être un adepte du pistolet, une arme dont il use et abuse au point d’avoir été surnommé par la presse « El Pistoléro ». Certes, il a bien mérité d’être exclu de l’APR en plus de devoir, certainement, répondre de ses insultes et accusations diffamatoires devant la Justice. Cette même justice qui a été terriblement indulgente avec notre homme depuis autant d’années ! Mais le problème c’est de savoir si c’est Moustapha Cissé Lô qu’il faut condamner ou bien celui qui lui a mis le pied à l’étrier, en a fait un député puis le premier vice-président de notre glorieuse Assemblée nationale avant d’en faire encore, au terme d’un intense lobbying diplomatique, le président du parlement de la Cedeao ! Macky Sall prétend découvrir aujourd’hui seulement la véritable nature de Moustapha Cissé Lô qu’il n’a jamais réellement réprimandé, et dont il a couvert toutes les frasques, toutes les avanies, toutes les saillies et toutes les injures. Jusqu’à ce qu’il commette l’insulte de trop, l’incartade fatale : une allusion à la Première dame et ses rapports avec Yakham Mbaye. Là, on ne s’amuse plus et l’heure est devenue grave. En 24 heures chrono, le sort de notre « Fou du Roi », qui avait osé s’en prendre à la Reine, a été réglé par des sicaires à la solde du Souverain. I rime avec Insultes, certes, mais Moustapha Cissé Lô aurait dû savoir que cette lettre de l’alphabet rime aussi avec Icare, ce héros de la mythologie grecque qui s’était brûlé les ailes à force de s’être trop approché du Soleil. Là, la cire qui retenait ses ailes collées à ses membres a fondu entraînant sa chute mortelle ! Moralité : on peut être les courtisans des rois, on peut même être leur fou, mais on ne doit jamais, jamais « entrer dans leur 18 » comme on dit. Au risque de le payer cher ! KACCOOR BI
APRES DIAKHATE, CISSE LO EXCLU PENURIE DE «MOUSTAPHA» AU SEIN DE L’APR
Désavoué par ses frères de l’APR, qui l’ont poussé vers la porte, Moustapha Cissé Lo peut compter sur l’autre Moustapha exclu lui aussi des rangs du parti présidentiel. L’ancien chef de cabinet du président de la République tente de voler au secours de Moustapha Cissé Lo mais tout en portant des gants. Selon Moustapha Diakhaté, son « toureundo » dont les messages ont fuité n’a pas parlé à la télé ni à la radio encore moins avec un journaliste. Et c’est pourquoi, estime-t-il, c’est à la justice de poursuivre ceux qui ont enregistré et diffusé les fameux audios où on attend l’ancien aperiste abreuver d’injures des responsables du parti présidentiel. Toutefois, Moustapha Diakhaté condamne ces propos injurieux qui sont au centre de toutes les conversations depuis le weekend dernier. Une chose est sûre, en tout cas : au rythme des exclusions, les « Moustapha » risquent de devenir rares à l’APR !
SOMMATION INTERPELLATIVE AYMEROU TRAQUE CISSE LO
Armé d’un fusil de calibre Insultant, diffamant, offensant et blessant, Moustapha Cissé Lo ou l’insulteur en série n’a pas chômé durant le week-end. A travers plusieurs audios, il a tiré à bout portant sur notre sympathique confrère Yakham Mbaye tout en achevant Farba Ngom. Malheureusement, les tirs du « Assane Diouf » d’Etat ont provoqué des dégâts collatéraux puisque Mme Gningue, l’épouse de l’honorable président Aymérou Gningue, a été atteinte par une balle perdue tirée par notre tirailleur. Morceau choisi de la mitraille ordurière de notre fou du roi pour ne pas dire fou tout court : « L’épouse du président du groupe Bby a bénéficié de 40 tonnes de semences d’arachide » a accusé Moustapha Cissé Lo. De telles accusations grotesques ont mis le président Aymérou Gningue dans tous ses états. Connu pour son éthique et sa droiture, il a décidé de laver son honneur et celui de son épouse. Passe encore qu’on s’en prenne à lui en tant qu’homme public. Mais s’en prendre à sa douce moitié, la très réservée Fatou Sylla, une femme au forer qu’on n’entend jamais dans les mondanités, encore moins les activités politiques, et qui n’a d’autre ambition que d’éduquer ses enfants ! Aymérou Gningue ne pouvait pas laisser passer un tel affront ! Pour ce faire, le président du groupe parlementaire BBY a activé son avocat, Me Antoine Mbengue, qui a servi une sommation interpellative à Moustapha Cissé Lo. Est-il réellement l’auteur de ces allégations virulentes et autres accusations de nature à porter atteinte à l’honneur et à la dignité des époux Gningue ? Autant de questions auxquelles Moustapha Cissé Lo devra répondre. Faute de quoi, il va répondre devant la justice pour les délits d’injures publiques et diffamation. Seulement depuis avant-hier, Moustapha Cissé Lo tente de semer les huissiers qui ont du mal à lui tendre une embuscade pour lui notifier la sommation. A l’Assemblée nationale comme dans ses maisons sises Dakar, point de Cissé Lo. A la dernière minute, « Le Témoin » quotidien a appris qu’il s’est « refugié » à Touba. Mais pour combien de temps ?
«TAAPALE» GOUVERNEMENTAL QUARANTAINE OU CONGES PARADISIAQUES ?
Le président de la République Macky Sall ne savait pas que sa récente mise en quarantaine ferait des émules sur fond de « tapalé » (simulations ou feintes) au sein de son gouvernement. Pour preuve, certains ministres se sont arrangés pour prendre des vacances ou congés prétextant une mise en quarantaine liée à un « contact » avec une personne testée positive à la covid19. Hier, un énième ministre a déclaré s’être auto-confiné après avoir contacté une personne malade de la covid19. « En accord avec le président de la République, et conformément au protocole sanitaire établi par le Msas, je m’auto-confine à partir de ce lundi 6 juillet 2020, pour une durée de 15 jours » dit-il dans un post. Faut-il vraiment le croire sur parole ? En tout cas, depuis que le président de la République a décidé de priver de vacances les membres du gouvernement, certains se taillent des alibis pour aller se la couler douce dans les hôtels, les résidences secondaires et stations balnéaires. Un conseiller technique dont le ministre s’était auto-confiné tout récemment confie au « Témoin » quotidien : « Comment un ministre en quarantaine peut-il se retirer avec toute sa famille dans une résidence de campagne ou dans un hôtel de la place ? Mieux, il appelait son assistant ou son Dage pour signer les courriers qui l’intéresse. Surtout des courriers qui ont des enjeux financiers. C’est pas du sérieux ! » se désole ce conseiller insolent. Conseil aux autres ministres qui n’auraient pas compris la manœuvre : Prétextez avoir été en contact avec un parent testé positif et…offrez-vous 15 jours de vacances gratuites !
CORNICHE/LITTORAL ATEPA ARRACHE LE «MAILLOT DE BAIN» D’ABY NDOUR
Encore, Atepa revient à la charge contre Aby Ndour sur les accusations de chantage charnel dont celle-ci semble l’accuser suite au contentieux foncier qui les oppose. L’architecte qui brandit une menace de plainte à l’encontre de la chanteuse, est revenu sur les péripéties de leur mésaventure tout en réitérant sa volonté de poursuivre le combat contre le bradage du littoral qu’il mène depuis des années. « Je ne suis pas une personne que l’on accuse fallacieusement. Et cette affaire va se régler dans les tribunaux. La lumière sera faite sur ses accusations surtout qu’à l’heure actuelle tous les appels téléphoniques dont a parlé Aby Ndour sont traçables » a martelé Pierre Goudiaby Atepa. Pour laver son honneur avant d’arriver au tribunal, le défenseur du littoral n’a pas manqué de brandir ses médailles ‘d’ordre national du Mérite’ qui lui ont été décernés par les différents chefs d’Etat qui se sont succédé à la tête du pays. Preuve, pour lui, de sa droiture en tant que citoyen du pays.
Fin de quarantaine pour Macky
Normalement le chef de l’Etat sortira de son confinement aujourd’hui. Auto-confiné pour avoir été en contact avec un malade de la covid-19 depuis 14 jours, Macky Sall devrait sortir de son domicile pour se rendre au travail au bureau , si tant est que son dernier test s’est révélé négatif. Son service de communication devrait édifier les Sénégalais. C’est tout le mal que nous lui souhaitons en tout cas, tant les dossiers brulants foisonnent sur sa table.
Thiès atteint les 688 cas de Covid-19
La région de Thiès a conforté sa place de deuxième région la plus infectée au coronavirus après Dakar. En effet, entre vendredi et hier lundi, la zone est passée de 650 à 688 cas positifs. La région a en outre enregistré un nouveau décès, ce qui porte à 15 le nombre de cas de décès. Sur les 688 cas positifs, 223 sont déclarés guéris alors que 380 sont encore sous traitement. Pour le bilan du lundi 6 juillet 2020, sur 130 tests effectués, la région a enregistré 9 nouvelles contaminations dont 3 cas contacts et 6 cas communautaires localisés à Thiès, Mbour et Khombole.
Notto Gouye Diama et la Covid-19
Notto Gouye Diama occupe une position carrefour sur la route des Niayes. En plus, la localité abrite un marché international de légumes, qui regroupe chaque jour un monde important, venu d’horizons divers. C’est pourquoi, depuis l’apparition de la pandémie du coronavirus, les autorités municipales sont sur le qui-vive, de peur que la maladie ne vienne perturber la tranquillité du patelin. Et à ce jour, souligne Maguèye Ndiaye, maire de Notto Gouye Diama, la commune n’a enregistré aucun cas de coronavirus. Il indique que ce résultat est obtenu grâce aux dispositions préventives prises par le conseil municipal. Grâce à cette organisation, ditil, le marché fonctionne normalement et la commercialisation des produits horticoles s’y déroule, sans aucun cas suspect de coronavirus. Dans le cadre de la résilience des effets économiques, Maguèye Ndiaye a procédé hier au lancement des opérations de distribution de l’aide alimentaire aux 1 284 ménages bénéficiaires. La commune a également distribué 50 tonnes de riz. Et d’ici une semaine, les familles n’ayant pas bénéficié de l’aide de l’Etat seront servies.
Kaolack est à 63 cas positifs
La région de Kaolack a enregistré hier son quatrième décès lié au coronavirus. La pandémie se répand dans le Saloum qui a enregistré depuis le début de la maladie 63 cas positifs, dont 23 guéris et 4 personnes décédées. Hier, les résultats de 05 personnes sont revenus positifs. Il s’agit d’un cas issu de la contamination communautaire et 04 cas qui ont eu des contacts avec une personne déclarée positive à la covid-19. Il faut rappeler que des malades de la région de Kaolack sont transférés à Kaffrine dont 10 sont actuellement sous traitement. Les huit sont internés au centre de traitement des épidémies (CTE) et 02 sont suivis à domicile.
La Douane de Mpack saisit 25 900 paquets de faux médicaments
La Douane maintient la dynamique dans le cadre de la croisade contre le trafic de faux médicaments. Les éléments du poste des Douanes de Mpack, dans le département de Ziguinchor, ont effectué une importante saisie de faux médicaments, dimanche dernier vers 10 h. Il s’agit de 25 900 paquets de 100 comprimés de storpack, de la famille du paracétamol. L’opération a eu lieu à quelques encablures de la frontière avec la Guinée Bissau. La Douane renseigne que les faux médicaments étaient dissimilés dans des cachettes aménagées d’un véhicule frigorifique qui revenait au Sénégal après une livraison de poissons à Bissau. La valeur des médicaments saisis est estimée à 72,875 millions Fcfa. Il faut rappeler que le 1er juillet, la brigade mobile des Douanes de Nioro avait saisi 3 000 boîtes de viagra et des centaines de boîtes de Corhinza. Les faux médicaments d’une valeur de 90,875 millions ont été saisis en une semaine par les Douaniers.
Youssou fracture le bras de son oncle
Youssou Diouf est poursuivi en justice par son oncle à qui il a cassé le bras. Il a été attrait à la barre des flagrants délits de Dakar pour coups et blessures volontaires (Cbv) au préjudice de son oncle. A l’origine de la bagarre, un problème de stationnement. Youssou Diouf a demandé à son oncle Abdou Diouf de déplacer son véhicule parce qu’il doit laver une voiture. Ce dernier refuse de s’exécuter et Youssou lui assène trois coups de pilon avant de le balancer par terre. Abdou Diouf réclame le franc symbolique. Le prévenu reconnaît les faits et demande pardon. Il avoue avoir battu son oncle avec un pilon qu’il prenait pour une cravache. Le juge n’a pas manqué de sermonner le mis en cause. Le parquet a demandé l’application de la loi. Quant à la défense, elle a plaidé la clémence. Youssou Diouf est condamné à 3 mois de prison ferme.
Thione n’a pas renoncé à son pourvoi en cassation
Il a été fait état du désistement de Thione Seck à se pourvoir en cassation dans l’affaire des faux billets, à la demande de ses avocats et sa famille. Son avocat Me Ousmane Sèye a précisé que son client n’a jamais désisté de son pourvoi en cassation. Ceux qui l’espèrent n’ont qu’à déchanter, dit-il. D’ailleurs, il venait de raccrocher au téléphone avec Thione Seck au moment où «L’As» l’appelait. A l’en croire, le lead vocal de Raam Daan a confirmé le maintien de son pourvoi en cassation. Pour Me Sèye, c’est de l’intoxication et de la désinformation parce qu’il y a des gens qui veulent que cet arrêt de la Cour d’appel ne soit pas critiqué.
Le ministre Alioune Sarr en quarantaine
Il est le troisième membre du gouvernement à se mettre en quarantaine en plus du président de la République. Le ministre des Transports Aériens et du Tourisme, Alioune Sarr, s’est isolé même si son test à la covid-19 s’est révélé négatif. Il a été en contact le week-end dernier avec une personne positive à la covid-19.
Pr Ndiaye coopté à l’OMS
Le Pr Daouda Ndiaye, chef du service de parasitologie pharmaceutique de la Faculté de Médecine, Pharmacie et d’Odontologie-stomatologie (FMPOS) de l’Ucad, est coopté par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans le comité des experts de l’OMS sur la médecine traditionnelle pour la riposte contre la covid-19. Ainsi l’inventeur du test «illumigene malaria» et les autres membres du comité vont aider les pays qui le désirent à concevoir et mener des essais cliniques sur les thérapies d’origine africaine. L’universitaire précise, toutefois, qu’il reste à Dakar et continue ses cours à l’Ucad.
Deux Aminata, même douleur
Retrouvailles émouvantes de deux amies unies par le même sort. Il y avait de l’émotion lundi chez la présidente du Haut Conseil des Collectivités territoriales (HCCT) Aminata Mbengue Ndiaye avec la visite de Aminata Touré (qui a perdu sa mère récemment) venue présenter ses condoléances, à la suite de la disparition de sa mère. A la tête d’une forte délégation du Conseil Economique Social et Environnemental (CESE), Aminata Touré a eu un entretien cordial avec l’ancien maire de Louga. La Présidente du HCCT, par ailleurs, Secrétaire générale du parti socialiste (Ps), a tenu à rappeler devant l’assistance que la présidente du CESE a passé la nuit chez elle lors du Conseil des ministres décentralisé de Louga. Elle avait préféré la maison d’Aminata Mbengue Ndiaye à l’hôtel. Un acte symbolique et plein de significations, d’après le leader du PS, que sa défunte mère avait apprécié à sa juste valeur. A l’en croire, sa mère a toujours manifesté son soutien et son affection à l’endroit de la Présidente du CESE. Aussi, avait-elle prié et exprimé son bonheur lorsque Mimi Touré a été nommée à la tête de l’institution.
Le désarroi des épileptiques du Sénégal
Les épileptiques ont des soucis à se faire avec la rupture constatée du Phénobarbital. La Ligue sénégalaise contre l’épilepsie dénonce son absence dans les pharmacies publiques et privées du Sénégal. Selon les membres de cette association, ce médicament est l’antiépileptique le plus prescrit au Sénégal et en Afrique, du fait de son efficacité et de son accessibilité aux bourses faibles. Dans un communiqué cité par «Lasnews.info», la Ligue sénégalaise contre l’épilepsie regrette la récurrence de cette pénurie depuis 5 ans. Et les rumeurs d’arrêt de fabrication de ce médicament au Sénégal inquiètent les malades, les familles et les professionnels de santé.
Un infirmier mort de la Covid-19 en Gambie
La Covid-19 s’installe petit petit en Gambie. Hier, lundi 06 juillet, le pays du Président Adama Barro a enregistré un mort et quatre nouveaux cas positifs à la Covid-19. Des chiffres confirmés par les autorités sanitaires gambiennes, d’après «Lasnews». Depuis le début de la pandémie, la Gambie a enregistré 61 cas positifs pour 3 décès. A noter qu’il y a eu 27 guéris et que 31 personnes sont encore sous traitement.
La CCR invite à tirer les leçons de cet épisode malheureux
La Convergence des Cadres républicains (CCR), qui condamne les injures de Moustapha Cissé Lo qui heurtent la bienséance, pense que le parti présidentiel va tirer les enseignements de cet épisode malheureux. Les cadres l’Alliance pour la République (APR) estiment que le parti doit être plus que jamais renforcé dans le fonctionnement de ses instances et dans l’animation à la base afin de promouvoir un débat d’idées fécond qui transcende les questions de personnes. Pour eux, l’Apr fondée sur les principes de travail, de solidarité et de dignité, ne doit être sapée, en aucun cas, par des forces centrifuges qui se livrent à des guerres intestines. C’est pourquoi, ils approuvent l’exclusion de Moustapha Cissé des rangs de l’Apr. La Convergence des Cadres républicains (CCR) lance un appel à toutes les structures de l’APR à faire preuve de retenue, de solidarité agissante et d’engagement militant afin d’accompagner le Président Macky Sall dans ce contexte particulier de crise aiguë et multiforme causée par la pandémie de Covid-19.
Les SFD plombés les 4 premiers mois de la crise de la Covid-19
Les systèmes financiers décentralisés (SFD) ont été fortement secoués par la crise liée à la pandémie de Covid-19, ont affirmé certains de leurs responsables, hier lundi, lors d’une rencontre avec la ministre de la Microfinance et de l’Economie sociale et solidaire. Le directeur général du Crédit mutuel du Sénégal (CMS), Amadou Jean Jacques Diop a confié à «L’Aps» que le secteur de la microfinance a vécu quatre mois très difficiles parce qu’il intervient dans le secteur de l’informel et ce dernier a été touché par la crise du Covid19. Il s’exprimait lors d’une audience accordée à l’Association des professionnels des systèmes financiers décentralisés (APSFD) par la ministre de la Microfinance et de l’Economie sociale et solidaire, Zahra Iyane Thiam Diop, dans le cadre de la préparation du document du Plan de résilience post Covid19.
par Jean Meïssa Diop
MANQUEMENTS COLLECTIFS DE JOURNALISTES SUR UN REPORTAGE
Que s’est-il passé pour que le public n’ait pas reçu les informations recueillies à Ndengueler par des journalistes le 8 février 2020 ? Les moyens de vivre auraient-ils pris le dessus sur les raisons de vivre ?
Que - des reporters - ont-ils fait des informations recueillies à la conférence de presse donnée à leur village de Ndengueler le 8 février 2020 par des paysans spoliés de leurs terres par un agrobusinessman ? L’affaire a connu, ces temps-ci, un rebondissement et une ampleur spectaculaires qui impliquent que des comptes et comptes-rendus soient demandés à des journalistes qui ont couvert cette rencontre, mais n’en ont pas encore fait une relation – une relation honnête, surtout. Il a fallu que le responsable politique du Pastef, Bassirou Diomaye Faye, par ailleurs inspecteur des Impôts et domaines, révèle que, à l’exception du portail Dakaractu.com, la majorité des organes de presse représentés à cette conférence de presse s’est comme autocensurée pour que le manquement commence à intriguer.
Que s’est-il passé pour que le public n’ait pas reçu les informations recueillies à Ndengueler par des journalistes ? Le fait n’a pas échappé au questionnement du journaliste et leader du syndicat de journalistes (Synpics) Bamba Kassé qui, sur sa page Facebook, soulève une question grave par ses implications d’ordre déontologique et éthique. Les mots sont si importants que nous n’avons pas résisté au besoin de les reproduire en intégralité : « Le 8 février, une conférence de presse tenue à Ndengueler, n'a été relayée que par Dakaractu, me dit-on.
Rien ne pourrait empêcher d’aucuns de suspecter que l’écrasement sous le coude par-ci, le black-out par là des informations ont été incités par des relations – occasionnels ou durables, motivées voire intéressées - entre ces organes de presse et l’agrobusinessman
« Où sont les 8 autres médias présents ? Où sont les articles et autres productions ? Shame on us !
« Une presse libre ne se soumet pas. Elle traite de tout sujet d'intérêt public ou même parfois d'intérêt privé à ramification publique. Parce que justement le public est notre raison d'être.
La seule limite c'est de toujours donner la parole à l'autre partie indexée.
Si Babacar Ngom et Sedima n'ont pas voulu se prononcer, cela justifie-t-il cette omerta ?
Oui ! Nous avons des relations sociales. Nous avons des amis, des ennemis, des parents etc...
Mais nous avons choisi le plus fidèle des compagnons : la vérité. C'est au nom de cette vérité que la presse jouit de privilèges et que le journaliste en sentinelle de la vérité est peu ou prou protégé.
« Oui la presse est précarisée. Les journalistes sont pauvres et l'état entretien cette pauvreté pour les rendre dépendants. Mais justement, en quête de notre indépendance nous ne devons pas nous compromettre.
« Certes il y a de bons clients commerciaux, qui donnent de la pub’ parfois à gogo, mais cela ne justifie pas une omerta organisée.
« Le Cored (Conseil pour l’observation des règles de déontologie et d’éthique dans les médias, Ndlr) doit se saisir de ce dossier et enquêter. Parce que ce n'est pas normal.
Que les réseaux sociaux existent ou pas ne dédouane pas la presse sénégalaise de traiter de tout sujet d'intérêt public.
« (…) Sur cette affaire, comme sur tant d'autres, on doit se contenter des faits, rien que les faits. Et garder notre sentiment à l'abri. Mais on doit le faire sans concession. »
En tous les cas, voilà un cas d’école ; et il mérite que les journalistes professionnels réfléchissent là-dessus. Parce qu’il y a beaucoup d’implications – et de très sérieuses. Qui, des organes de presse et des journalistes a réellement commis la faute ? Et pourquoi une telle défaillance ? Les moyens de vivre auraient-ils pris le dessus sur les raisons de vivre ? On peut être soupçonneux, mais ne tirer aucune conclusion tant que l’enquête de l’organe d’autorégulation de la presse sénégalaise n’aura pas été menée et tiré des conclusions.
Post-scriptum : Il convient aussi de reconnaître le mérite de Dakaractu qui, outre d’avoir été le seul organe de presse à avoir diffusé un compe-rendu de la conférence de presse, a recueilli la version du maire de Sindia dont l’institution municipale est mise en cause dans le dépassement de compétence territoriale a rendu possible la perte de leurs terres par les paysans de Ndengueler. Il serait intéressant d’entendre la version de l’édile de Ndiaganiao dont le territoire communal aurait été amputé de manière irrégulière par une commune voisine. Walf n° 8479 du 02 juillet 2020
Dakar, 6 juil (APS) – Les quotidiens reçus lundi à l’APS mettent en exergue, entre autres sujets, les insultes de Moustapha Cissé Lo à l’endroit de Farba Ngom et de Yakham Mbaye, dans une bande sonore, et la réaction de l’Alliance pour la République (APR, majorité).
’’Dans ses propos largement diffusés sur les réseaux sociaux, Moustapha Cissé Lo profèrent des injures à Yakham Mbaye et à son collègue député Farba Ngom’’, souligne le quotidien Enquête.
’’Injures, insanités, accusations au sommet, la République indisposée’’, déplore ce journal qui écrit : ‘’Rebelles, loufoques, très impulsifs, les bouffons au sommet de la République se sont encore signalés, ce week-end, de la manière la plus triste. Mais le plus choquant, pour les observateurs, c’est le silence incompréhensible du chef de l’Etat, face à ces insulteurs multirécidivistes’’.
Selon Libération, ‘’les Sénégalais sont révoltés et scandalisés’’ par les insultes du député Moustapha Cissé.
L’As parle de ‘’déballages, insultes au haut sommet de l’Etat’’ et affiche à la Une : ‘’Le peuple sous le choc’’ tandis que ‘’Macky Sall actionne la commission de discipline de l’APR’’.
En effet, dans un communiqué, L’Alliance pour la République ’’condamne avec la plus grande fermeté l’attitude de Moustapha Cissé Lô, dont les propos sont d’une tonalité d’une rare violence et empreints d’une indécence que récusent la morale et la bienséance sociale’’.
’’Incontestablement, cela témoigne d’une inacceptable dérive et constitue une brutale agression contre la République, ses Institutions et nos valeurs sociales. C’est pourquoi le Président Macky Sall, Président de l’Alliance pour la République, a instruit la Commission de Discipline de l’Alliance pour la République de se réunir dans les plus brefs délais, aux fins de statuer sur les mesures à prendre à l’endroit de ce camarade qui déshonore le parti et écorne l’image du Sénégal en Afrique, voire dans le monde entier’’, ajoute t-on la même source.
Selon La Tribune, ‘’Cissé Lô déchire +Le Macky+’’. Le journal informe que l’ancien président du Parlement de la CEDEAO a annoncé sa démission de son poste de 2e vice-président de l’Assemblée nationale et des instances de l’APR pour rester simple député, militant et membre fondateur du parti au pouvoir.
Commentant la réaction du parti présidentiel, Vox Populi titre : ‘’Macky Sall envoie El pistolero à la guillotine’’.
Source A livre les chiffre de la Covid-19 et prédit ‘’des lendemains sombres’’.
’’Les chiffres font froid dans le dos et l’inquiétude grimpe. Pour cause, le bilan des personnes emportées par le coronavirus s’est alourdi. Le pays a enregistré 4 nouveaux décès, portant le nombre total à 133 morts. A cela, s’ajoute l’augmentation des cas graves, qui sont au nombre de 48 patients. Une situation préoccupante dans la mesure où de nouvelles infections continuent d’être signalées sur la carte sanitaire du pays. Car, rien que durant ce week-end, 236 personnes ont été contaminées par le virus’’, écrit le journal.
Dans le journal Le Soleil, Pr Moussa Seydi signale que ‘’85% des malades décédés arrivent tard à l’hôpital’’.
Sud Quotidien ouvre un dossier sur la gestion des inondations de 2000 à nos jours et affiche à la Une : ‘’des milliards (engloutis) dans les égouts’’.