Serigne Saliou Gueye, invité de Pape Alé Niang dans l’émission Autour du Micro.
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DEPART DE LA DEPUTE MARIETOU DIENG DE BENNO ET L'INSTALLATION DU CEMGA AU MENU DE LA REVUE DE L'ACTUALITE DE L'APS CE MERCREDI
Les parutions de ce mercredi 26 avril évoquent le départ de la député Mariétou Dieng du groupe parlementaire Benno et l'installation du Général Mbaye Cissé dans ses fonctions.
Les parutions de ce mercredi 26 avril évoquent le départ de la député Mariétou Dieng du groupe parlementaire Benno et l'installation du Général Mbaye Cissé dans ses fonctions. Suivez dans cette vidéo la point de l'actualité fait par l'Aps.
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OBJECTION AVEC MOMAR THIAM
L'expert en communication électorale commente l'actualité sociopolitique nationale marquée par les sorties de Macky Sall et d'Idrissa Seck, au micro de l'émission dominicale de Sud FM avec Baye Omar Gueye
L'expert en communication électorale commente l'actualité sociopolitique nationale marquée par les sorties de Macky Sall et d'Idrissa Seck, au micro de l'émission dominicale de Sud FM avec Baye Omar Gueye.
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IL Y VA DE LEUR INTÉRÊT DE VENIR DISCUTER AVEC LA MAJORITÉ
Le président de la République a confirmé samedi la volonté du gouvernement de faire amnistier les faits pour lesquels plusieurs opposants, notamment Khalifa Sall et Karim Wade, ont été privés de leurs droits de voter et d’être éligibles
‘’Il y va de leur intérêt de venir discuter avec la majorité. On ne devrait pas discuter seulement de questions d’éligibilité’’, a dit Macky Sall en parlant de sa main tendue à l’opposition et du projet de loi d’amnistie de faits concernant certains leaders politiques.
S’exprimant en wolof comme invité de l’émission ‘’Yoon Wi’’ de la radio privée RFM, il a nommément cité Khalifa Sall et Karim Wade comme de potentiels bénéficiaires, avec ‘’d’autres’’, de ce projet d’amnistie visant à leur restituer leurs droits de vote et d’être éligibles.
Khalifa Sall, ancien maire de Dakar, et l’ancien ministre Karim Wade ont été respectivement condamnés à cinq et six ans de prison pour des faits d’escroquerie sur les deniers publics et d’enrichissement illicite.
Pour cette raison, le Conseil constitutionnel avait invalidé les candidatures à l’élection présidentielle de 2019 de ces deux opposants.
Selon Macky Sall toujours, aucune médiation n’est en cours pour apaiser les relations tendues qui existent entre lui et une partie de l’opposition, la coalition Yewwi Askan Wi notamment, dirigée par Ousmane Sonko et Khalifa Sall.
‘’Je ne suis au courant d’aucune médiation. J’ai lancé un appel au dialogue mais je ne suis au courant d’aucune médiation’’, a-t-il dit.
Le président de la République a déclaré aussi n’avoir jamais conclu avec Idrissa Seck une alliance pour l’élection présidentielle de février 2024.
Le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE) a annoncé ce samedi qu’il va remettre, lundi, à Macky Sall, sa lettre de démission de la présidence de ladite institution.
Au cours de cette semaine, des membres du bureau du CESE ont bloqué son fonctionnement pour faire payer à Idrissa Seck le fait de déclarer sa candidature à l’élection présidentielle de 2024 sans prévenir ses alliés de Benno Bokk Yaakaar et d’avoir dit que Macky Sall n’a pas le droit d’entrer en lice.
Le chef de l’Etat a confirmé à la RFM la rupture de leur alliance scellée en 2020.
Il a salué l’engagement de son épouse aux côtés des personnes malades, auxquelles elle vient en aide avec la fondation Servir le Sénégal.
Marième Faye Sall n’exerce toutefois aucune fonction officielle à ses côtés, a-t-il précisé. ‘’La Première Dame faisait partie de l’organigramme de la présidence de la République. C’est moi qui ai mis fin à cela’’, a-t-il dit.
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MACKY SALL RENOUVELLE SON APPEL AU DIALOGUE
Le chef de l’Etat a réaffirmé, samedi, à Dakar, en marge de la prière de l’Aïd el fitr, son ouverture au dialogue avec toutes les forces vives de la Nation dans le respect de l’Etat de droit
Le chef de l’Etat a réaffirmé, samedi, à Dakar, en marge de la prière de l’Aïd el fitr, son ouverture au dialogue avec toutes les forces vives de la Nation dans le respect de l’Etat de droit.
‘’(…) profitant de cette journée, je renouvelle mon appel à toutes les forces vives de la Nation. Un appel au dialogue et à la concertation dans le respect de l’Etat de droit’’, a-t-il déclaré, après avoir relevé que l’Islam était aussi ‘’une religion d’humanité, de paix, de solidarité et de justice sociale ; une religion de concertations sur nos affaires communes’’.
Macky Sall s’exprimait à la fin de la prière de l’Aïd el fitr à la grande mosquée de Dakar en présence du Premier ministre, du ministre de l’Intérieur, entre autres.
Le 3 avril dernier, dans son message à la Nation, à la veille de la célébration de l’accession du Sénégal à la souveraineté internationale, le chef de l’Etat s’était dit ouvert au dialogue.
‘’Dans cet esprit, je reste ouvert au dialogue et à la concertation avec toutes les forces vives de la nation, dans le respect de l’État de droit et des institutions de la République, pour un Sénégal uni, un Sénégal de paix, de stabilité et de cohésion nationale’’, avait dit Macky Sall.
Ce samedi, à 17 heures, le président de la République sera l’invité de l’émission ‘’Yoon wi’’ sur la FRM, animée par le journaliste Assane Guèye.
La bande annonce de l’émission indique que Macky Sall abordera, entre autre sujets, la question du troisième mandat, son alliance avec Idrissa Seck, ses rapports avec l’opposant Ousmane Sonko, l’arrestation de plusieurs responsables de Pastef, la question de l’amnistie de Karim Wade et Khalifa Sall.
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LE F24 POUR FAIRE BARRAGE À MACKY SALL
Plus de 100 organisations politiques et de la société civile ont lancé dimanche à Dakar une coalition contre un éventuel troisième mandat du chef de l'État, à 10 mois de l'élection présidentielle
Plus de 100 organisations politiques et de la société civile ont lancé dimanche à Dakar une coalition pour faire barrage à un éventuel troisième mandat du président Macky Sall, à 10 mois de l'élection présidentielle, a constaté un journaliste de l'AFP.
Le "Mouvement des forces vives du Sénégal F24", en référence à la présidentielle prévue en février 2024, a été lancé en présence de plusieurs chefs de l'opposition, dont Ousmane Sonko. La coalition est formée notamment de partis, d'organisations de la société civile et de personnalités indépendantes. Elle vise "le respect par le président Macky Sall (élu en 2012 et réélu en 2019) de la Constitution et de la parole donnée et son renoncement à présenter sa candidature pour un troisième mandat illégal et illégitime", selon sa déclaration publiée dimanche.
Le président Sall, après plusieurs déclarations dans lesquelles il affirmait qu'il ne se présenterait pas en 2024, reste aujourd'hui muet sur ses intentions par rapport à ce scrutin, alors que ses opposants estiment qu'il finit ses deux mandats légaux. Le dirigeant sénégalais a maintenu ouverte la question de sa candidature en faisant valoir que seuls des facteurs politiques, et non pas constitutionnels, l'empêcheraient de se présenter, dans un entretien publié mi-mars par le magazine français L'Express. "Sur le plan juridique, le débat est tranché depuis longtemps" en sa faveur, déclare-t-il dans cet entretien. "Maintenant, dois-je me porter candidat pour un troisième mandat ou non ? (...) Je n'ai pas encore apporté ma réponse. Le moment venu, je ferai savoir ma position".
Plus de 120 entités ont signé dimanche la charte du Mouvement F24, selon ses initiateurs. La coalition réclame aussi la libération des "détenus politiques" arrêtés lors des manifestations liées au procès en diffamation intenté contre Ousmane Sonko par le ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang, également responsable du parti présidentiel.
Des centaines de personnes ont été ces dernières semaines arrêtées lors de ces manifestations, selon le parti de M. Sonko, à qui le ministre Niang reprochait d'avoir déclaré qu'il avait été épinglé par un rapport d'une institution de contrôle pour sa gestion d'un fonds pour l'emploi des jeunes. M. Sonko doit être jugé en appel lundi, après avoir été condamné le 30 mars à deux mois de prison avec sursis et 200 millions de francs CFA (300.000 euros) de dommages et intérêts. L'opposant conserve cependant son éligibilité pour la présidentielle de 2024, selon ses avocats. Le parquet et la partie civile ont fait appel de ce jugement. M. Sonko et ses soutiens accusent le pouvoir d'instrumentaliser la justice pour l'empêcher de se présenter à la présidentielle de 2024.
Le parti présidentiel accuse de son côté M. Sonko de vouloir paralyser le pays et de se servir de la rue pour échapper à la justice. En mars 2021, la mise en cause de M. Sonko dans une autre affaire, de viols présumés, et son arrestation sur le chemin du tribunal avaient contribué à déclencher les plus graves émeutes depuis des années au Sénégal, ilôt de stabilité dans une région ouest-africaine troublée. Elles avaient fait au moins une douzaine de morts. Le procès n'a pas encore eu lieu.
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OBJECTION AVEC MAMDOU SALIF SANÉ
L'enseignant-chercheur, maître de conférences à la faculté des Sciences juridiques et politiques de l'UGB évoque l'actualité sociopolitique nationale au micro de Baye Omar Gueye ce dimanche sur Sud FM
L'enseignant-chercheur, maître de conférences à la faculté des Sciences juridiques et politiques de l'UGB évoque l'actualité sociopolitique nationale au micro de Baye Omar Gueye ce dimanche sur Sud FM.
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IDRISSA SECK SE LANCE POUR 2024
L'ancien Premier ministre a annoncé vendredi sa candidature à la présidentielle tout en s'abstenant de dire si Macky Sall, son allié actuel dans le camp présidentiel, pouvait légalement ou non se présenter à ce scrutin après deux mandats
La candidature de M. Seck, 63 ans, était attendue. Chef de gouvernement entre 2002 et 2004 sous l'ex-président Abdoulaye Wade, il était deuxième lors de la présidentielle de 2019 et également candidat malheureux aux élections présidentielle de 2007 et 2012. Opposant au président Sall, M. Seck avait ensuite rejoint en novembre 2020 le camp présidentiel et avait été dans la foulée nommé par le chef de l'Etat à la tête du Conseil économique, social et environnemental (Cese), une institution consultative.
"Quelqu'un peut-il imaginer une élection présidentielle au Sénégal sans Idrissa Seck ?", a-t-il déclaré vendredi lors d'une conférence de presse dans la ville de Thiès (ouest), son fief. "La réponse est oui", a-t-il dit, après une question sur sa candidature en 2024. Il n'a pas donné d'avis personnel sur la légalité d'une éventuelle candidature du présidentiel Sall en 2024, mais affirme avoir consulté un professeur de droit constitutionnel réputé au Sénégal qui lui a dit que l'actuel chef de l'Etat ne peut pas juridiquement se représenter.
Le président Macky Sall, élu en 2012 et réélu en 2019, reste muet sur ses intentions à propos de la présidentielle de février 2024, pour laquelle une vingtaine de candidats se sont déjà déclarés. Le Sénégal, réputé comme un rare îlot de stabilité dans une région troublée, est sous tension depuis des mois en raison de la confrontation tendue entre la majorité présidentielle et le camp de l'opposant Ousmane Sonko.
M. Sonko doit être jugé en appel lundi pour diffamation contre le ministre du Tourisme Mame Mbaye Niang, un responsable du parti présidentiel. Ce dernier lui reprochait d'avoir déclaré qu'il avait été épinglé par un rapport d'une institution de contrôle pour sa gestion d'un fonds pour l'emploi des jeunes. M. Sonko a été condamné le 30 mars à deux mois de prison avec sursis et doit verser 200 millions de francs CFA (300 000 euros) de dommages et intérêts au ministre. L'opposant conserve cependant son éligibilité pour la présidentielle de 2024, selon ses avocats. Le parquet et la partie civile ont fait appel du jugement. M. Sonko et ses supporteurs accusent le pouvoir d'instrumentaliser la justice pour l'empêcher de se présenter à la présidentielle de 2024.
Le parti présidentiel accuse de son côté M. Sonko de vouloir paralyser le pays et de se servir de la rue pour échapper à la justice. En mars 2021, la mise en cause de M. Sonko dans une autre affaire, de viols présumés, et son arrestation sur le chemin du tribunal avaient contribué à déclencher les plus graves émeutes depuis des années dans le pays. Elles avaient fait au moins une douzaine de morts. Le procès n'a pas encore eu lieu.
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SYSTÈME ÉDUCATIF DÉSUÉT, ÉGAL CHÔMAGE EN MASSE
Le Sénégal produit au moins 200.000 diplômés chaque année selon le ministère de l’Économie. Mais combien sont recrutés ? Quel est le nœud gordien du chômage au Sénégal ? Comment le dénouer ? Réponses avec l'entrepreneur Moustapha Diop
Diplômé en Commerce international depuis 2021 et également nanti d’un diplôme de technicien supérieur, Moustapha s’est vu confronté à la dure réalité du chômage comme de milliers d’autres jeunes sénégalais. Mais depuis tout petit, la fibre entrepreneuriale sommeillait en lui. S’étant trouvé en situation, celle flamme s’est ravivée et il s’est lancé dans l’auto-emploi parce que pour lui, il était hors de question d’attendre un hypothétique emploi et surtout de devoir courir après un patron. En se lançant dans l’entrepreneuriat, il découvre que l’école sénégalaise est une usine de fabrique de gros chômeurs étant donné la désuétude du système éducatif qui n’enseigne pas du tout des soft skills et autres besoins du monde actuel. Inspiré par son expérience du terrain, il y a écrit un livre pour partager ces compétences. Il en parle dans cette entrevue avec AfricaGlobe Tv.
Il y a quantité de précieuses choses que l’école sénégalaise n’enseigne pas aux apprenants et qui pourtant devraient figurer en bonne place dans les curricula de formation. Or, l’absence de ces aptitudes expose davantage les jeunes au chômage et à la précarité malgré leurs diplômes ronflants acquis en fin formation. Mais fort heureusement, de plus en plus, certains y découvrent par eux-mêmes, par accident ou presque ces choses. C’est le cas de Moustapha Diop, ce jeune entrepreneur qui vient de publier : «Ce que l’école ne nous apprend pas» ; un livre dans lequel, il décline des compétences apprises sur le tard/tas et qui lui ont permis de se sortir du chômage et de la galère en devenant entrepreneur.
Pour sûr cas, être employé d’un tiers n’était pas tout à fait une option première pour Moustapha. Il a lancé sa startup Sunugal Communication & Business, spécialisé dans le coaching, marketing, commerce en ligne, etc. et aujourd’hui l’histoire lui a donné raison au vu de la situation que connaissent ses camarades de promotion. S’y ajoutent des aptitudes personnelles que lui a pu acquérir dans sa petite expérience entrepreneuriale. Il a en effet découvert combien le système éducatif est carrent, voire désuet et archaïque. D’ailleurs, son désir d’entreprendre s’est davantage aiguisé grâce à sa rencontre avec un de ses futurs collaborateurs, auprès de qui il apprendra davantage.
Avec l’entrepreneuriat, il y a comme une lumière qui a jailli en Moustapha Diop. Certaines parties de son cerveau semblent s’être allumées puisqu’en côtoyant le monde de l’entrepreneuriat, il va découvrir toute la panoplie de soft skills qu’offre le développement personnel : des compétences en art oratoire et le leadership, à l’intelligence financière en passant par des techniques de vente, à la vertu de l’échec. Quelque part, il se dit peu ou prou s’il n’avait pas été la meilleure copie de lui-même si l’école lui avait enseigné plus tôt ces choses-là. Pour sûr, il les a découvertes sur le tard. C’est bien des compétences indispensables qu’il a décidé de partager dans son ouvrage avec d’autres jeunes afin de provoquer un choc dans leurs mentalités pour qu’ils trouvent par eux même la solution au chômage.
Enrichi de ses capacités, Moustapha Diop s’est rendu compte du niveau de désuétude du système éducatif du Sénégal et de bien des pays africains. C’est encore plus choquant pour lui de savoir que les dirigeants persistent à ne rien changer, en s'évertuant à transmettre les mêmes manières d’enseigner alors que les exigences du monde contemporain imposent que le système éducatif change et s’adapte. Faute de cela, les pays africains continueront d’être des usines de fabrique de gros chômeurs.
In fine, l’entrepreneuriat lui a appris en si peu de temps ce que l’école sénégalaise ô combien archaïque, ne lui a jamais appris en plus de 20 ans années de formation.
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LE PDS A UN FONDEMENT PARTICULIER
"Nous avons un parti qui ne ressemble à aucun de toute l’opposition", a déclaré l'ancien président de la République et secrétaire général du parti libéral Abdoulaye Wade, mardi à l'occasion de l'une de ses rares sorties publiques
L’ancien président Wade a reçu la commission nationale du parti démocratique sénégalais chargée du suivi des révisions des listes électorales. Le Secrétaire Général National, Me Abdoulaye Wade, en a profité pour féliciter les responsables désignés pour ce travail préélectoral. Mais en fin politique, l’ancien chef d’État encourage ses militants : « Nous avons un parti qui ne ressemble à aucun de toute l’opposition. Le parti démocratique sénégalais a un fondement particulier qui le différencie des autres… », a rappelé le secrétaire général du PDS.
Me Abdoulaye Wade, revenant sur le contexte politique, interroge ses propos en tant qu’opposant actif du milieu. « Un professeur espagnol m’avait posé la question sur la conquête du pouvoir. Il est écrivain aussi, et il me disait que le PDS l’intéressait. Il m’a demandé si c’est moi qui avait dit ne jamais marcher sur des cadavres pour accéder au pouvoir. Je lui ai répondu par l’affirmative », indique le leader des libéraux qui explique ce choix comme « le respect de la constitution et des chartes qui la régissent. Me Abdoulaye Wade en démocrate, rappelle qu’au Sénégal, il y a cette chance de donner à chaque citoyen, son opportunité de s’exprimer de manière démocratique. Le pape du Sopi invite ses militants à porter ces valeurs du parti qui font de lui aujourd’hui ce qu’il est devenu durant des décennies.
Pour finir son propos lors de cette rencontre avec la délégation du PDS, le président Wade considère que « chaque militant doit être un citoyen modèle pour participer de manière patriotique à la consolidation de la démocratie ».