La Dic démantèle un réseau de trafiquants de drogue à Khar Yalla
Les éléments de la Division des Investigations Criminelles (DIC) ont démantelé un vaste réseau de trafic de drogue dans la capitale. Dans un communiqué parvenu à «L’As», la Police renseigne avoir mis fin aux agissements d’une bande de trafiquants de drogue à Khar Yalla. En effet, dans le cadre de la lutte contre le trafic de drogue sur l’étendue du territoire national, des éléments du Groupe de Recherches et d’Interpellation (GRI) de la Division des Investigations Criminelles (DIC) ont effectué une descente jeudi à Khar Yalla à la suite de l’exploitation d’une information. Sur les lieux, les éléments du GRI ont interpellé 07 individus. Des perquisitions faites à leurs domiciles ont permis de saisir 68 kilogrammes de chanvre indien. Les présumés trafiquants de drogue sont placés en garde à vue.
Trois Nigérians tombent avec de la cocaïne
Dans le cadre de la lutte contre le trafic de stupéfiants, le Commissariat d’arrondissement des Parcelles assainies a interpellé une bande de trois Nigérians pour détention et trafic de cocaïne. Il s’agit de Amos A.E âgé de 38 ans, Olivier K.O, 28 ans, Chibuiki F.A, 26 ans. Tous les trois de nationalité nigériane, croupissent en prison pour détention et trafic de cocaïne. Ils ont été alpagués par le Commissariat d’arrondissement des Parcelles Assainies.
Le film de leur interpellation
Tout serait parti d’une information reçue par les limiers des Parcelles Assainies faisant état d’un vaste état de trafic de drogue à Nord Foire. Sans tarder, les hommes du Commissaire Thierno Diop, plus précisément ceux de la Brigade de recherches (Br), entrent alors en action pour établir une planque non loin du domicile des dealers. Ce qui va porter ses fruits, puisque la descente inopinée à leur quartier général s’est révélée fructueuse. Les limiers de la Br découvrent 06 boulettes et 32 képas de cocaïne et 03 individus en train de couper la drogue, avec un autre sachet contenant une quantité d’environ 60 grammes d’une poudre blanche. Pris la main dans le sac, les trois quidams, qui n’avaient que leurs yeux pour pleurer, ont été conduits au Commissariat des Parcelles et placés en garde à vue pour les besoins de l’enquête. Au terme de leur garde à vue, Amos A.E, puis Olivier K.O et Chibuiki F.A ont été déférés au parquet pour détention et trafic de cocaine. La drogue saisie par devers eux, à savoir les 06 boulettes et 32 képas, ont été mis sous scellés.
Les handicapés portent plainte contre le député Mame Diarra Fam
La Fédération sénégalaise des associations des handicapés a décidé de porter plainte contre la députée Mame Diarra Fam qui a brandi une plainte contre Lamine Thiam, un des leurs. Selon leur président Yatma Fall, membre du Haut conseil des collectivités territoriales(Hcct), la députée libérale verse dans la manipulation. « C’est une voleuse qui crie au voleuse », ditil. Il précise que leurs avocats se sont constitués pour porter plainte contre la députée. Yatma Fall demande d’ailleurs la levée de l’immunité parlementaire de la députée libérale.
L’invite des Sages Républicains au secteur privé
Le Conseil National des Sages Républicains (CNSR) qui a salué la visite du Président Macky Sall dans les régions appelle le secteur privé à s’investir davantage dans l’agriculture et l’élevage. Aux producteurs, invite leur est faite de promouvoir l’organisation de coopératives. Les sages républicains espèrent des performances record pour la présente campagne. Ils pensent que si les fortes pluies ont causé des désagréments dans certaines localités, elles ont également ouvert de belles perspectives chez les acteurs ruraux. Abordant la question des inondations, le Conseil National des Sages Républicains appelle les acteurs politiques à éviter toute politisation de la gestion des inondations au regard de l’importance du volume d’investissement réalisé depuis 2012 dans ce domaine. Ils expriment leur satisfaction quant aux mesures prises par le chef de l’Etat dans le cadre du plan ORSEC.
Dr Mamadou Ndiaye nouveau Directeur du Cesti
Sa victoire n’est pas une grande surprise vu l’élan de solidarité en sa faveur sur les réseaux sociaux. Il avait une longueur d’avance sur son adversaire, la directrice sortante du Cesti Cousson Traoré Sall. L’enseignant en communication, Dr Mamadou Ndiaye, a été élu hier directeur général du CESTI avec 19 voix contre 18. Le nouveau patron de cette école de journalisme est décrit comme un enseignant proche des étudiants.
Sidiki Kaba au Cercle Mess des officiers
Le moins que l’on puisse dire est que le ministre des Forces armées est dynamique. Alors qu’il était à Ziguinchor puis à Louga, Sidiki Kaba a réceptionné hier un lot de matériels militaires en présence du chef d’état-major des forces armées, le Général Birame Diop. Le matériel est composé de 118 camionnettes neuves militarisées, 10 camionnettes neuves, 12 camions de transport de troupes, 57 camionnettes rénovées, 20 engins blindés de reconnaissance. Après la cérémonie, le ministre des Forces Armées, Me Sidiki Kaba, s’est rendu au Cercle Mess des officiers dont les travaux de rénovation viennent d’être achevés.
Sidiki Kaba (bis)
La maison des militaires porte désormais le nom de feu le Colonel Emmanuel Gomis. Ainsi, l’armée a immortalisé le Colonel Gomis, un pionnier, soldat émérite au parcours brillant, témoigne le ministre Sidiki Kaba. En effet, «les armées s’honorent», souligne le ministre qui rappelle les qualités et exploits de l’homme que fut le Colonel. Selon lui, Colonel Gomis n’a cessé d’étonner par son parcours atypique truffé d’exploits. Il a notamment été chef de section à la 6e compagnie et a servi dans les unités qui forment l’ossature de l’armée actuelle. Homme de distinction, l’officier supérieur a été un instructeur et commando de l’armée. Colonel Gomis a été attaché militaire naval du Sénégal en Allemagne. Bref, il incarne, dit-il, ce modèle d’intégrité, de désintéressement, ayant un sens du devoir, dont la nouvelle génération des armées s’inspire.
Renvoi du procès de Pape Abdoulaye Touré
Malgré le renvoi de son procès pour des raisons sanitaires, Pape Abdoulaye Touré reste toujours déterminé à aller au bout de son combat. Le membre du mouvement Sénégal Notre Priorité (SNP) continue toujours d’exiger et de réclamer l'orientation de tous les bacheliers qui ont décroché leur Bac depuis 2019 et qui n'ont pas été orientés, alors que nous sommes en septembre 2020. L’étudiant veut aussi l'attribution de machines et de clés de connexion à tous les étudiants de l'UVS déclarés non éligibles pour qu'ils puissent suivre correctement leurs cours en ligne. Il demande également du respect et de la considération à l'endroit de tous les étudiants orientés dans le privé par l'État du Sénégal en réglant, de manière définitive, la question de la dette qui a empêché beaucoup d'étudiants du privé de regagner les salles de classe, ainsi que de payer les bourses à temps pour ceux du privé. Arrêté ce lundi devant l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) par des éléments du Groupement d’intervention Mobile (GMI), l’étudiant Pape Abdoulaye Touré devait faire face hier au juge, mais son procès a été renvoyé au 30 septembre prochain.
Standing ovation pour Mandjibou Leye
L’émotion était vive hier, lors de la passation de service entre le nouveau commissaire de police centrale de Mbour Baïdy Sène et son prédécesseur Mandjibou Lèye. Ce dernier a reçu des témoignages plus qu’élogieux. A l’unanimité, les personnes qui ont pris tour à tour la parole ont déclaré que le désormais nouveau chef de la police de Guédiawaye a été une boussole pour ses hommes. Selon elles, sous son commandement, depuis trois ans, aucune bavure policière venant de ses hommes n’a été notée, car il demandait à ses éléments de prendre des vidéos lors de leurs interventions. Mais l'affaire qui a le plus marqué ceux qui témoignaient, c’est la manifestation des pêcheurs. Sur le terrain, il a sauvé un contingent du GMI dont la voiture s’était embourbée dans le sol sablonneux du quartier Teffess. Malgré l'affront qu'avait subi la police, il a su désamorcer la bombe en rencontrant les acteurs pour apaiser la tension. Le commissaire est également réputé être une véritable terreur pour certaines personnalités politiques, administratives et judiciaires. Son départ met ainsi la pression sur son successeur qui, sans doute, va vouloir faire plus que lui.
75% de taux réussite au Cfee et 82,3% au Bfem
L’Inspection de l’Education et de la Formation (Ief) de la commune de Saint-Louis a enregistré un taux de réussite de 75% à l’examen du Certificat de Fin d’Etudes élémentaires (Cfee) et 82,3% à celui du Brevet de Fin d’Etudes moyennes (Bfem). En d’autres termes, au Cfee, sur les 4 654 candidats présents, 3 520 ont été déclarés admis dont 1 931 filles et 1 589 garçons. S’agissant du Bfem, 3 078 candidats ont été inscrits dont 1 784 filles et 1 294 garçons, répartis dans 23 jurys. Réagissant sur l’organisation des examens, Cheikh YabaDiop, l’Inspecteur de l’Education et de la Formation de Saint-Louis, a déclaré que 462 enseignants ont été convoqués pour assurer la surveillance et le secrétariat du Cfee, 402 autres ont été mobilisés pour la surveillance du Bfem et 217 pour la correction. Il a précisé qu’avant la tenue de ces deux examens, et au regard de l’importance que le ministère de l’Education nationale accorde à leur bonne tenue, l’Ief de Saint-Louis avait pris toutes les dispositions utiles pour en assurer une parfaite organisation.
75% de taux réussite au Cfee et 82,3% au Bfem (bis)
Evoquant les bonnes performances réalisées par les élèves, Cheikh Yaba Diop s’en réjouit et affirme que c’est le fruit des nombreux sacrifices consentis par les acteurs du système éducatif, particulièrement les enseignants qui ont fait preuve de patriotisme en sacrifiant leurs vacances scolaires pour l’intérêt des enfants.Il n’a pas oublié d’annoncer que les résultats du concours d’entrée en classe de sixième seront proclamés dans les prochaines semaines en accord avec le ministère de l’Education. En attendant, Cheikh Yaba Diop demande à l'ensemble des acteurs de commencer dès maintenant à préparer l'année scolaire 2020-2021 dont la rentrée scolaire est prévue le 12 novembre prochain.
Nouveau livre
L’auteure sénégalaise Aïda Diop va présenter son premier roman intitulé «Expériences de vie : vers une aube nouvelle», samedi à 16 heures, au Radisson Blu, à Dakar. D’après l’Aps, ce roman de 210 pages, paru chez L’Harmattan-Sénégal, se lit comme un journal intime agrémenté de moments d’introspection et riche de réflexions rafraîchissantes sur des problématiques variées, dont l’éducation, la religion ou la place des femmes dans la société, à travers le mariage et la polygamie. L’auteure parle aussi du monde du mannequinat, des connaissances et du tissu relationnel, du cercle familial, de la problématique de l’amitié, entres autres questions. Aïda Diop est titulaire d’un diplôme de marketing et de communication. Elle est assistante de direction dans un cabinet d’avocats.
par Jean Pierre Corréa
LA PRESSE, PRURIT DE NOTRE DÉMOCRATIE
On ne peut pas continuer à être navrés par la qualité des « informations » que ces journaux nous dégueulent, confortés par la certitude hélas souvent validée, qu’ils ne font que donner aux Sénégalais ce que leurs désirs de frivolité requièrent
« La faute n’est donc pas au public, qui demande des sottises, mais à ceux qui ne savent pas lui servir autre chose. » Miguel de Cervantès
D’abord, la question à 100 balles : quel est l’apport de la vingtaine de quotidiens sénégalais à notre démocratie et à l’animation des cruciaux débats qui la traversent et qui sont sensés disposer notre cher Sénégal dans le temps du monde ?
Cette question me venait souvent à l’esprit, rien qu’à la vue de cette pléthore de journaux pendus dans nos rues, à des cordes à linge, et qui attirent tels des « mouches à merde », tous ces « titrologues » qui une fois repus de cette surenchère de « Unes » vendeuses et aguicheuses, s’en vont les commenter, faisant ainsi du « titre » la quintessence de l’information. Mais une opportunité professionnelle, m’ouvrant le bonheur de revenir à un des exercices préférés de mon métier de journaliste, la revue de presse, que je délivrerai chaque matin sur le site en ligne d’un grand quotidien sénégalais, m’a mis en situation depuis une dizaine de jours, parce que devant reprendre les marques de ce genre, de lire tout ce qui paraît et se considère comme estampillé « presse »… D’un rire un peu narquois, je dirai qu’on passe plus de temps à les compter qu’à les lire… Mais plus sérieusement, pour faire chaque matin une revue de presse digne de ce que ce genre journalistique requiert et implique, il s’est naturellement et éthiquement imposé à moi, le devoir de ne considérer pour poser une vraie revue de l’actualité, que les titres qui méritent d’être ce que l’on appelle « un journal », avec un « ourse » qui en honore le contenu et des « plumes » qui en illuminent la ligne éditoriale.
Comment notre espace médiatique s’est-il retrouvé saturé par cette pléthore de journaux qui se disputent la délicate mission de nous livrer les clés d’une actualité qui sous nos latitudes ne mérite pas tant de pages noircies ? Il convient d’interroger le modèle économique, qui a voulu offrir une information de qualité, populaire et éclectique au plus grand nombre, et au plus bas prix. Et ainsi naquit « le journal à 100 balles », qui ne peut pas évidemment coûter 100 balles. Un journal qui paye ses journalistes, au prix de leurs talents consacrés par les diplômes adéquats, leur donne les moyens d’investigations nécessaires, respecte leurs droits sociaux, les met dans les meilleures conditions technologiques d’exercice de leur métier, leur assure des salaires qui les mettent à l’abri du « transport corrupteur », un journal qui coche toutes ces cases, ne peut pas coûter 100 balles ! Surtout lorsque son tirage ne dépasse pas les 1 000 exemplaires dont seule la moitié est péniblement vendue…
Faire une revue de presse qui soit respectueuse du genre et des auditeurs, dans ce magma glauque de journaux improbables, impose un tri sélectif qui fasse part belle à l’information générale, et aux problématiques de société qui participent à la maturation de nos populations et respectent leurs intelligences. On ne peut continuer à subir les « groupes de pression » tapis derrière un Dirpub unique rédacteur de son torchon, qui se mue en sniper à la solde d’un adversaire politique ou économique, pour abattre un homme ou « carboniser » un enjeu économique, ou en maître chanteur, qui allongé dans un lounge d’hôtel de luxe avec son ordinateur diffuse de fausses nouvelles en espérant un démenti qui les accrédite ou un bon arrangement sonnant et trébuchant. On ne peut se laisser informer par des journalistes qui après deux années de rédaction dans un journal où pas un de leurs articles n’a fait avancer aucune idée ou cause, s’accoquinent avec un homme politique qui y blanchissant d’obscurs deniers, pour créer un organe de presse, qui abritera les pensées d’hommes obsolètes, qui viennent y déverser en une et sur deux pages des banalités dont personne ne leur a demandé de nous abreuver du haut de leur vulgaire prétention.
« Babacar Touré, Réveille-toi ! Ils sont contents d’être vils !
Qu’importe qu’il faille salir quelqu’un ou insulter la vérité. Le choix est clair. Parfois, que dis-je, souvent nos journalistes préfèrent être les premiers à dire une connerie qu’être les derniers à dire la vérité. Pourquoi se gêneraient-ils d’ailleurs puisque diffamer n’a aucune conséquence, et qu’on peut affirmer des fadaises, vautrés dans des approximations, juger une personne en toute désinvolture et trouver, fort de notre incompétence assumée, de troublants mais intéressés arrangements avec la vérité.
Il est urgentissime de donner aux sénégalais la presse qu’ils méritent et le respect qu’on leur doit. On ne peut pas continuer à être navrés tous les jours par le niveau et la qualité des « informations » que ces journaux, sites improbables, nous dégueulent chaque jour, confortés par la certitude, hélas souvent validée, qu’ils ne font que donner aux sénégalais ce que leurs désirs de frivolité et de vulgarité requièrent.
Tout n’est pas permis parce qu’on est journaliste… Une des dernières chroniques de Babacar Touré nous éclairait en nous enjoignant qu’« au total, c’est bien aux citoyens, - dont les journalistes - soucieux de la valeur de leur fonction, de leur éminente contribution dans la société, de la dignité de leur profession, de se faire respecter et de défendre becs et ongles leurs droits inaliénables. La liberté de presse tire son origine et sa substance dans la liberté d’expression du citoyen, de la citoyenne, en tant que droit fondamental et universel de la personne humaine dont elle est un des modes et parmi les modalités de mise en œuvre concrète et effective. Ne l’oublions jamais. La norme, c’est la liberté. Quant à la doctrine, elle s’ancre dans la responsabilité ».
Nous avons le devoir que les revues de presse ne deviennent pas des « revues de presque », avec des flibustiers en guise de journalistes et des titres provocateurs en guise d’informations. Il faut que cesse l’ère du soupçon qui nous oblige à lire un papier à deux fois pour y déceler souvent des relents fleurant bon la commande et la corruption, voire parfois une demande d’exécution d’une personnalité.
Quelle est aujourd’hui la ligne éditoriale de certains « canards » qui abritent ces nouveaux chiens de garde ? Il s’agit seulement de proposer aux chalands les « Unes » les plus vendeuses, et qui sont souvent les plus choquantes. La déontologie n’est enseignée nulle part dans les écoles de journalisme. C’est juste le mot qui dans notre profession remplace le mot passeport et visa de ce métier : l’éducation… Mais si déjà petits leurs propres mères les insultaient de mères…nous sommes mal barrés…
Question subsidiaire : Quelle est la définition de la pudeur ? C’est éteindre la lumière avant de lire certains quotidiens. Voire, après les avoir lus, renouveler ses ablutions. Je souhaite finir mes revues de presse sans me sentir souillé et respectueux de l’intelligence que j’accorde à mes auditeurs… C’est ma liberté…C’est ma responsabilité.
Trois individus interpellés avec de la cocaïne à Saly
La brigade de recherches de la gendarmerie de Saly a saisi de la drogue dure. Trois individus ont été interpellés par les éléments de la section de recherches en service à la brigade de Saly. Les pandores qui ont exploité des informations ont mis en filature des trafiquants de la cocaïne. Finalement, les nommés A. D, M.D, et S.G sont tombés dans les filets des pandores avec respectivement 15g, 17g et 25g de cocaïne. Ils sont conduits par les pandores en civile à la brigade. Ensuite, ces trafiquants qui ne sont pas encore connus du fichier de la gendarmerie ont fait face au feu roulant des questions des enquêteurs. Après leur audition, les trois présumés trafiquants seront conduits auprès du procureur près le tribunal de Grande instance de Mbour qui va sceller leur sort.
Le Ps lamine l’Afp à Diass
Finalement, il n’y a pas eu de surprise à l’élection du nouveau maire de Diass. Après le rappel à Dieu de Aliou Samba Ciss, responsable de l’Alliance des forces de progrès (Afp), l’intérim était assuré par son adjoint, Cheikh Tidiane Diouf, un responsable du parti socialiste. Dès lors, les progressistes qui ne voulaient pas perdre le fauteuil avaient entamé des tractations afin qu’un des leurs soit élu. Mais le candidat des progressistes, Issa Diouf, a perdu la bataille devant le socialiste. Il a fallu un deuxième tour pour départager le socialiste Cheikh Tidiane Diouf et son adversaire. Il sortira vainqueur devant le progressiste Issa Diouf avec 43 voix contre 29.
Deux corps sans vie découverts à Saly
La rixe a viré au drame. Dans la nuit du 23 au 24 septembre, deux individus se sont livrés à un Mortal Kombat, au croisement de Saly, qui s’est soldé par la mort d’un des belligérants. En effet, la victime répondant au nom de A ? D, mécanicien de son état, a reçu un coup de couteau au niveau de la carotide. Il s’est affalé au sol, gisant dans une mare de sang. Son présumé bourreau A K., un «coxeur» à la gare routière de Saly, a pris la fuite après le crime. Mais aux dernières nouvelles, il a été interpellé par les forces de l’ordre. Un deuxième corps sans vie a été aussi découvert à Saly. Il s’agit d’une personne de nationalité française qui a été retrouvée morte chez elle. Les sapeurs-pompiers ont transporté la dépouille au centre hospitalier de Mbour pour les besoins de l’autopsie. La police a ouvert une enquête pour élucider ce décès.
Rue Macky Sall en Guinée Bissau
Le Chef de l’Etat était l’hôte de la Guinée Bissau hier. Le Président Macky Sall a quitté Dakar hier pour prendre part à la fête de l’indépendance de la Guinée Bissau. Il a été invité par son homologue Umaro Sissoco Embaló, de même que le Président du Nigeria. Le Président bissauguinéen a baptisé une rue de la capitale du nom de Macky Sall.
Violence politique à Guinaw Rails Nord
La violence politique fait déjà rage dans la Commune de Guinaw rails Nord alors que la date des élections locales n’est pas encore connue. Hier, il y a eu des échanges de coups de poing, à l’occasion de la cérémonie de pose de première pierre de la Maison de la Femme de cette localité présidée par le ministre des Collectivités Territoriales, Oumar Guèye, en présence du maire de la Ville de Pikine, Abdoulaye Thimbo. Des militants proches du maire socialiste de Guinaw rails Nord, Pape Ndiamé Dieng, se sont battus dès les premières heures de la matinée, avant même la manifestation, avec ceux du conseiller municipal Adnane Diouf supposé être son adversaire. Selon nos sources, Adnane Diouf aurait porté plainte contre Adama Soumaré et un certain Bira Lèye, tous proches du maire Pape Ndiamé Dieng, après les échauffourées. Les chamailleries ne se sont pas arrêtées là. Puisqu’au cours de la cérémonie, des jeunes, membres du mouvement «And Defar Sa ma quartier», ont été également malmenés par des éléments de sécurité du maire Pape Ndiamé Dieng. Et n’eût été l’intervention de la Police de Guinaw rails, le pire allait se produire. Le péché de ces huit jeunes, c’est d’avoir porté des pancartes et des tee-shirts dont l’effigie est hostile à l’édile de Guinaw rails Nord. Ils ont été conduits par les forces de l’ordre au commissariat avant d’être libérés à la fin de la manifestation.
Violence politique à Guinaw Rails Nord (bis)
Restons dans la commune de Guinaw rails Nord pour signaler que les militants du Parti socialiste et ceux du Parti démocratique sénégalais (PDS) sont à couteaux tirés. D’ailleurs, ils ont décidé de résoudre leurs bisbilles à la police. Les deux parties se sont servies réciproquement des plaintes. Il s’agit du camp du maire socialiste Pape Ndiamé Dieng, conduit par Lamine Thiam et celui des libéraux, dirigé par la député Mame Diarra Fam. Hier, des éléments de la sécurité du maire Pape Ndiamé Dieng se sont affrontés avec ceux de Mame Diarra au Centre commercial. Comme pour dire que Guinawrails Nord est à surveiller aux prochaines échéances locales. Il faut souligner par ailleurs que le leader du Parti Pastef, Ousmane Sonko, était de passage avant-hier à Guinaw rails pour visiter les zones inondées de la commune et faire un détour chez sa collègue Mame Diarra Fam, victime d’une agression.
Abdoulaye Thimbo renforce sa sécurité
Connu pour sa sérénité, le maire de Pikine, Abdoulaye Thimbo, surveille maintenant ses arrières depuis la récente visite de la première Dame Marième Faye Sall.Il avait été hué par des jeunes de «l’Apr Pikine rouge» qui ont promis l’enfer aux responsables de Pikine qui tenteraient d’organiser des manifestations politiques. Il a pris au sérieux les menaces de ces jeunes apéristes. Pour preuve, hier, pour éviter toute mauvaise surprise lors de la cérémonie de pose de la première pierre de la Maison de la Femme, le maire de Pikine s’est déplacé avec un important dispositif sécuritaire. Abdoulaye Thimbo a mobilisé des gros bras en plus de ceux du maire socialiste Pape Ndiamé Dieng. De quoi ont-ils peur ?
Insolite : la Maison de la Femme porte le nom de l’adjointe au maire
Restons à la cérémonie de pose de première pierre de la Maison de la Femme pour souligner un fait insolite. Incroyable mais vrai ! La future Maison de la Femme de Guinaw rails Nord va porter le nom de l’adjointe au maire en exercice, Fatou Ndiaye. Cela a suscité beaucoup d’interrogations dans la commune. D’autant qu’il y a d’autres vieilles dames qui ont marqué l’histoire de cette commune. En tout cas, seuls le maire Pape Ndiamé Dieng et son conseil municipal peuvent répondre à ces interrogations.
Un taximan décédé aux Parcelles
On en sait un peu plus sur l’histoire du taximan retrouvé mort dans sa voiture à l’Unité 26 de la Commune des Parcelles assainies. D’après nos sources, Mactar Fall alias «Ndiaga» n’a pas été agressé. D’ailleurs, les résultats de l’autopsie ont révélé une mort naturelle. Aucune trace de violence n’a été trouvée sur son corps. D’ailleurs, son argent et son téléphone ont été trouvés à l’intérieur du véhicule. En plus, son véhicule n’a pas été vandalisé.
Guy Marius Sagna
Le Chef d’état-major général des armées (CEMGA) Birame Diop est dans le viseur de Guy Marius Sagna. L’activiste lui reproche d’être à la tête d’un groupe de chefs militaires qui désirent faire un coup d’État militaire foncier contre plus de 79 familles habitant depuis 40 ans, au moins, au quartier Terme Sud de Ouakam. Selon l’activiste, ces familles, composées de militaires retraités, de militaires en activité, de veuves et d’orphelins de militaires sont menacées de déguerpissement par le CEMGA et sa bande de copains. Le leader du Frapp France Dégage soupçonne Birame Diop et Cie de vouloir s’accaparer des maisons où ces familles résident depuis des décennies alors qu’elles sont prioritaires sur tout autre citoyen. Face à cette situation, Guy Marius Sagna, qui a déclaré également que 150 familles sont menacées de déguerpissent à Kounoune, propose d’unir toutes les victimes des politiques du Président Macky Sall pour faire face à ce qu’il assimile à une vaste entreprise antisociale, antinationale et antidémocratique.
Don de matériel médical
Pour appuyer le Sénégal dans la lutte contre la pandémie de la Covid-19, la société malaisienne Serba Dynamik a fait un don de matériel médical à notre pays. La cérémonie officielle de réception a eu lieu hier. Elle a été présidée Amadou Hott, ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération. Ce don, d’un montant d’environ 151 250 000 FCFA, est le fruit d’un partenariat entre la Banque Islamique de Développement (Bid) et la Société Serba Dynamik. La cérémonie a enregistré la participation de la Bid, de l’Ambassade de Malaisie au Sénégal et du Ministère de la Santé et de l’Action Sociale.
Réplique de D-Média au Synpics
Le Groupe D-media est très remonté contre le Secrétaire général du Syndicat des Professionnels de l’Information et de la Communication du Sénégal (Synpics). Sa Direction des ressources humaines pense que la réaction du Synpics sur le problème qui oppose des correspondants de D-média à leur direction, n’est qu’une attaque personnelle contre Bougane Guèye. Selon elle, Bamba Kassé et Cie manquent d’objectivité et n’ont pas vérifié les informations qui leur sont parvenues à propos de ce contentieux. Réfutant toutes les accusations formulées contre le groupe, la direction de D-media précise que les collaborateurs extérieurs en question, qui sont des prestataires de service, sont rémunérés en échange d’un service accompli. Or, selon elle, les deux correspondants qui ont saisi le Synpics n’ont pas fait plus de quatre envois durant tout le mois d’août et cette situation dure depuis très longtemps. Ce, dit-elle, malgré plusieurs injonctions du rédacteur en chef, M. Simon Faye. Pour mieux étayer ses propos, la direction affirme que le groupe D-media reste l’une des rares, si non la seule entité de presse en règle avec l’administration du travail, l’administration fiscale ainsi que toutes les institutions sociales.
DP World bouge…
Le directeur Général de DP World et le directeur régional Afrique de l’Ouest de DP World ont remis hier au ministère de la Santé et de l’Action sociale un don composé de 05 respirateurs pour un montant de 40 millions de FCFA. Selon le directeur régional Afrique de l’Ouest de Dp Word, Alassane Diop, leur action est une réponse à l’appel du président de la République, qui a demandé, dès que la pandémie s’est déclarée au Sénégal que le secteur privé et toute la nation se mobilisent pour porter le combat contre cette pandémie. D’après lui, la relation entre le ministre de la Santé et Dp Word date de très longtemps. Car, Dp Word a toujours été présente sur le terrain de la prise en charge des maux de la société, essentiellement en ce qui concerne le secteur de la santé. Et c’est à travers ces actions que les deux entités ont déjà eu une longue collaboration qui s’est traduite par des investissements au niveau de l’hôpital Dantec, dans la prise en charge aussi du cancer du col de l’utérus où Dp Word a déjà équipé d’appareil de cryothérapie 07 districts sanitaires.
…après une participation de 200 millions au Fonds force Covid-19
Prenant la parole, Alassane Mbengue, le secrétaire général du MSAS, a indiqué que ce geste n’est pas nouveau, car DP World a déjà contribué dans le cadre du Fonds force Covid-19 à hauteur de 200 millions Fcfa. Selon lui, depuis de nombreuses années, la société appuie le secteur de la santé à travers des actions dans différentes régions du pays et tout cela mis ensemble permet aujourd’hui de développer un partenariat assez fort avec cette entreprise qui est reconnue de par sa contribution à l’économie nationale. D’après Alassane Mbengue, le matériel permet de renforcer les équipements, en particulier ceux destinés à la prise en charge des cas graves. Et que cela va permettre de réduire voire de supprimer les cas de décès.
LE SYNPICS INVITE BOUGANE GUEYE À CESSER D'EXPLOITER SES EMPLOYÉS
Ces journalistes des régions accusent le directeur général du groupe D-media, de ‘’décider unilatéralement, sans accord préalablement consenti par les travailleurs, d’appliquer illégalement et de manière rétroactive un changement de contrat’’
Les correspondants du groupe D-media ont saisi le Synpics, pour dénoncer l’attitude de leur employeur. Ces journalistes basés dans les régions accusent le directeur général du groupe D-media, Bougane Guèye Dany, de ‘’décider unilatéralement, sans accord préalablement consenti par les travailleurs, d’appliquer illégalement et de manière rétroactive un changement de contrat’’.
En effet, les travailleurs qui avaient des contrats de prestation adossés à un salaire ou cachet mensuel, ont reçu, en début septembre, des appels téléphoniques les informant que, désormais, ils seront régis par un système de rémunération basé sur des piges. Et avant que ce ‘’changement de contrat’’ proposé ne fasse l’objet de discussion entre les employés et leur employeur, la direction de D-Media a décidé, selon les travailleurs, de l’appliquer unilatéralement.
Résultat : en lieu et place de leur salaire du mois d’août, les correspondants ont reçu, indiquent-ils, via Orange Money, des sommes allant de 12 095 à 32 000 F CFA. Ils ont, à cet effet, décidé de saisir le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication (Synpics) pour se plaindre.
Face à cette situation, le Bureau exécutif national du Synpics n’a pas tardé de réagir. En effet, les camarades de Bamba Kassé ont appelé, hier, à travers un communiqué, ‘’le groupe D-media à mettre un terme immédiat à ce qui s’assimile à de l’esclavage vis-à-vis de dignes travailleurs qui, très souvent, dans les régions notamment, se démultiplient pour réaliser la mission confiée’’. ‘’Sous-payés et exploités, les correspondants de presse dans les régions doivent aussi refuser cette forme de diktat que le statut de correspondant d’un média ne saurait justifier’’, dénonce-t-il dans un communiqué.
Le Synpics a aussi tenu à signifier au fondateur et PDG du groupe D-media, Bougane Guèye, ancien reporter et surtout ancien leader syndical, ‘’sa plus grande désolation de constater que son groupe fait partie de ceux qui, dans ce pays, respectent le moins les droits des travailleurs’’. ‘’Plusieurs récriminations portant sur des violations nous sont régulièrement faites. Il en est du refus systématique de délivrer la copie des contrats de travail aux bénéficiaires et du refus de voir les travailleurs rejoindre le Synpics. Les rares tentatives de mettre en place une section Synpics dynamique ont abouti curieusement à des actes de licenciement ou d’intimidation qui se sont terminés au tribunal’’, lit-on dans le communiqué du Bureau exécutif national du Synpics.
Le syndicat des professionnels de l’information dit regretter le système de management de Bougane Guèye qui consiste, souligne-t-il, à éroder par des recours intempestifs les travailleurs qui osent aller au tribunal pour faire respecter leurs droits. ‘’Nous avons encore en mémoire votre décision de licencier abusivement les jeunes confrères Pouye et Sy, deux victimes de votre système. Malgré le verdict favorable qui a condamné votre groupe, vous avez trainé plus d’un an avant de vous acquitter des sommes issues de l’exécution provisoire ordonnée par le tribunal du travail. Toutes choses qui ne grandissent pas un patron de presse doublé d’un ancien journaliste-syndicaliste’’, s’indigne-t-on dans le communiqué.
On a essayé d’avoir la version de la direction de D-media, en vain. La promesse de nous revenir n’a pas été tenue.
KEEMTAAN GI - C’EST MOCHE !
Regardez les avec leurs mœurs de parvenus. Aucune classe dans la tenue, ni dans le port, ni dans le parler. Du vrai misérabilisme comportemental. C’est à désespérer de ces gens que l’élégance a désertés, si elle les a jamais fréquentés d’ailleurs. l’un, du haut des pouvoirs qui lui sont conférés, a dépouillé une dame pour habiller une autre qui serait une parente. Pas la peine de s’en indigner ! Aucun homme, éduqué dans le respect de la femme et également drapé d’élégance, ne peut faire un tel arbitrage. C’est même moche que d’opposer deux consœurs qui partagent le même métier. Rendez à l’apothicaire son business ! Mais on peut douter qu’ils puissent faire preuve de tant de bonté. tout est désespérant chez eux. Rien de ce qu’ils font n’est gratuit. Ils sont habités par l’ostentation, le « m’as-tu vuisme », l’hypocrisie, l’égocentrisme et tant d’autres caractères exécrables que l’on ne retrouve que chez les parvenus. De la discrétion, de l’humilité, ils n’en font point leur bréviaire. ils ont tendance à oublier qu’ils étaient des zéros avant qu’un décret ne vienne les tirer de l’anonymat pour la lumière qui les rend aveugles et sourds. Voyez-les à travers les dons qu’ils font à leurs frères et sœurs en détresse. Ils veulent tous que leurs gestes soient connus de tous. Quand ils offrent une ambulance ou un corbillard, ils veulent que leurs noms soient inscrits sur le véhicule. L’un d’eux a poussé l’idiotie jusqu’à écrire son patronyme à la porte d’un établissement afin que nul n’ignore qu’il est à l’origine du don. oh, non pas de l’école elle-même, mais du …portail. ou mettre un tel individu si ce n’est de le classer dans la race des crétins. Ils sont si nombreux à nous regarder de haut ces parvenus, ces rustres, ces roturiers. Qu’ils sont moches. En tout !!! KACCOOR BI
MOSQUEE DE TIVAOUNE SERIGNE MOUNTAKHA MBACKE PARTICIPE A HAUTEUR DE 100 MILLIONS DE FRANCS
Le dialogue intertarikha est une réalité dans notre cher pays. Le geste posé hier par le khalife général des mourides en est une illustration vivante et plaisante. Serigne Mountakha Mbacké a décidé de participer à hauteur de 100 millions de francs à la construction de la mosquée de Tivaouane. Une délégation conduite par Serigne Bass Abdou Khadre s’est rendue hier à Tivaouane pour rencontrer le khalife général des Tidiane, Serigne Babacar Sy, et lui remettre cette contribution. le geste du khalife général des mourides a été bien apprécié au-delà même de Tivaouane. Ce soutien arrive plus d’une semaine après le lancement d’une campagne de souscription le 14 septembre dernier. la campagne aurait généré un pactole de 4 milliards de francs l’acte du guide mouride démontre la convivialité existant entre les tarikha (confréries) dans notre pays. Une exception bien sénégalaise qu’il faut magnifier et continuer à entretenir.
MOUVEMENT D’HUMEUR A PETROSEN
Ça chauffe à Petrosen Holding ! Hier, les employés ont manifesté leur courroux face à une « injustice » qu’ils disent vivre depuis longtemps. dans tous les bureaux, les travailleurs ont mis des brassards rouges et ont fait du porte-à-porte pour exprimer leur désarroi au personnel de Petrosen Holding. le motif de leur mouvement d’humeur ? Obtenir de meilleures conditions de travail ! Selon notre source, les protestataires fustigent le manque d’informations et le recrutement de nouveaux employés qui gagnent plus que les anciens. D’après toujours notre source, dans Petrosen aval (Trading Service), le personnel a une nouvelle grille salariale alors que ce n’est pas le cas pour le reste de Holding et exploration production. Dans cette boite, notre source nous renseigne que rien n’a changé et le personnel attend toujours la note d’affectation officielle. On aurait informé les travailleurs que c’est le président Sall qui a demandé de tout arrêter et d’attendre. or, cela fait déjà plus de 6 mois que cette attente dure ! Notre source souligne que depuis le départ de l’ancien pca rien n’a bougé.
AGRICULTURE : MACKY FELICITE LE MINISTRE MOUSSA BALDE
Satisfait de la production dans le domaine agricole cette année, le président de ma république a demandé au ministre de l’agriculture de veiller à la reconstitution « pragmatique » d’un capital semencier national de qualité. ainsi, il n’a pas manqué de féliciter le ministre de l’agriculture moussa Baldé et l’ensemble de ses services pour la bonne planification et le déroulement satisfaisant de la campagne agricole 2020-2021 qui a bénéficié d’un financement exceptionnel de 60 milliards FCFA, soit une augmentation de 20 milliards FCFA comparé à l’année dernière.
MACKY INVITE LE SECTEUR PRIVE A INVESTIR DANS L’AGRICULTURE ET L’ELEVAGE
L’agriculture et l’élevage sont devenus deux secteurs porteurs d’emplois. au conseil des ministres tenu hier, le président Sall a exhorté les acteurs du secteur privé à investir massivement dans l’agro-industrie et l’élevage, à travers l’implantation, sur l’étendue du territoire, de fermes et de domaines agricoles modernes, fortement créateurs d’emplois et de valeur ajoutée pour notre économie. il a notamment invité les ministres en charge de l’agriculture, de l’élevage, de l’industrie et du commerce, à créer des convergences efficientes entre l’institut Sénégalais de recherche agricole (iSra) et l’institut de technologie alimentaire (ita) afin d’asseoir une politique cohérente de recherche-développement, d’innovation, de productivité, de transformation locale et de commercialisation des produits agricoles et d’élevage. C’est ainsi qu’il a aussi demandé au ministre de l’élevage de finaliser, dans le consensus avec les acteurs impliqués, un programme de modernisation spécifique des filières « lait » et « Viande » afin de réduire significativement nos importations en la matière.
MACKY AU SECOURS DES PERSONNES VIVANT AVEC UN HANDICAP
Les handicapés diplômés peuvent déjà afficher un large sourire. Hier, lors du conseil des ministres, le président de la république, au titre du climat social, de la gestion et du suivi des affaires intérieures, a ordonné au ministre de la Fonction publique de veiller à l’examen systématique des dossiers de recrutement, dans le secteur public et parapublic, des personnes vivant avec un handicap et diplômées, selon les principes directeurs de la loi d’orientation sociale. mesures individuelles m. Pierre FAYE, conseiller des affaires étrangères, précédemment ministre-conseiller, conseiller technique au cabinet du ministre des affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, est nommé ambassadeur, Secrétaire général adjoint du ministère des affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur, en remplacement de monsieur Sonar Ngom appelé à d’autres fonctions ; m. Ousmane Mbaye commissaire principal aux enquêtes économiques, est nommé directeur de l’administration générale et de l’équipement au ministère du tourisme et des transports aériens, en remplacement de monsieur Daouda Mbaye, appelé à d’autres fonctions ; m. Souleymane NdiaYe, ingénieur de conception en génie civil, est nommé directeur des infrastructures aéroportuaires au ministère du tourisme et des transports aériens, poste vacant ; mme Ndèye Khoudia Sarr Fall, professeur d’enseignement secondaire, titulaire d’un diplôme d’études approfondies (dea) en Sciences de l’environnement, option qualité de l’eau, est nommée inspecteur technique au ministre de l’eau et de l’assainissement ;
NAVIGATION AERIENNE : DAKAR-YOFF, UNE ZONE AUX AVERSES TRES DANGEREUSES
Si les Antilles françaises demeurent une zone aux ouragans extrêmement violents et dévastateurs, Dakar-Yoff aussi est un espace aux averses très dangereuses (pluies soudaines et abondantes, mais de courte durée) pour la navigation aérienne. Comme l’atteste l’enquête du Bea sur l’accident de l’avion David diop (1960) dont « le témoin » quotidien publie les résultats en page intérieure de cette édition. En examinant de près ce rapport d’expertise, un ancien officier-pilote sénégalais de l’armée de l’air confirme que cet avion de ligne d’air France s’est abimé en mer dans les mêmes conditions météorologiques que celui du premier ministre mauritanien ahmed ould Bouceif. ce triste 27 mai 1979,se souvient notre interlocuteur, le lieutenant-colonel ould Bouceif a péri dans un accident d’avion provoqué par de fortes averses au large de dakar. Exactement comme le pilote français de l’avion David diop, le commandant de bord mauritanien avait refusé de suivre les conseils de la tour de contrôle de dakar-Yoff qui lui recommandait de rebrousser chemin. Voulant coûte que coûte atterrir à dakar-Yoff, l’avion a finalement disparu sous les averses. « en saison de pluies, seuls les pilotes connaissant très bien l’espace aérien de dakar-Yoff peuvent survivre aux averses dangereuses » estime notre officier-pilote ayant fait ses preuves à bord des « Fokker » de l’armée sénégalaise.
INONDATIONS UN SINISTRE D’ETAT NOMME NDIOGOU WACK SECK
Derrière les pauvres sinistrés de la banlieue dakaroise de Keur-Massar se cache un sinistré d’etat ! Et pas des moindres puisqu’il s’agit de l’honorable pca de la rts, ndiogou Wack Seck, par ailleurs ex-dirpub du journal « il est midi », combattant actif de la première heure aux cotés de l’actuel président Macky Sall alors opposant. Aujourd’hui, qui aurait cru que le président Macky Sall allait oublier ndiogou Wack Seck jusque ce qu’il devienne un pauvre sinistré des inondations. Sa maison en location est sous les eaux ! d’où son statut de sans domicile fixe (Sdf) au moment où les derniers transhumants de l’apr sont devenus de richissimes bailleurs immobiliers. malgré tout, « le témoin » quotidien constate avec désolation que ndiogou Wack Seck est toujours digne dans l’épreuve. Outre son misérable poste de pca de la rtS, il n’a reçu aucune autre promotion digne de son rang. Ainsi va l’apr des oubliés !
DROGUE LA DOUANE SAISIT PLUS DE 2 TONNES DE YAMBA A KOUNGHEUL
la Brigade mobile des douanes de Koungheul a saisi 2, 282 tonnes de chanvre indien d’une valeur estimée à 182 560 000 de francs cFa. Dans un communiqué, les douanes signalent que cette saisie a été effectuée mardi, à 19 heures, sur un camion en provenance du mali. elles expliquent que le produit prohibé était conditionné en 1141 sachets de 2 kg chacun, dissimulés dans des sacs bien arrangés dans une cachette aménagée dans le véhicule. «le camion qui paraissait vide au premier coup d’œil, se voulait banal pour échapper à la vigilance des agents des douanes’’, selon le communiqué, ajoutant que ’’le flair et le professionnalisme des douaniers ont eu raison sur le modus operandi des trafiquants’’ la même source annonce que la Brigade mobile des douanes de Kaolack a saisi au même moment 35 cartons de cuisses de poulets à hauteur de Bil Bambara dans la commune de ndiaffat.
COUP DE COM’ DE SON LIVRE TAS REVIENT A LA CHARGE AVEC LE PROTOCOLE HIP HOP
manifestement, en politique tous les moyens sont bons pour acculer son adversaire. Et, Thierno Alassane Sall, le leader de la république des Valeurs est loin d’organiser une conférence de presse pour parler de son livre dont les révélations ont retenti comme une bombe à fragmentation. Car au-delà des formes de communication habituelles, cette fois ci, c’est à travers le rap que taS s’est illustré pour marquer le coup avec son livre, « le protocole de l’Elysée ». En effet, la sortie ravageuse de Karballah, un jeune artiste rappeur qui secoue actuellement le monde du hip hop à travers un single clash intitulé ‘correction’ a fait sortir l’ancien ministre de l’énergie de son tabernacle. Quoi de plus opportun quand le rappeur en question fait référence à l’ouvrage pour mettre en garde ses adversaires-artistes ; soulignant dans la chanson, détenir des bombes de révélations à l’image de taS avec « ses secrets d’état ». une aubaine pour l’opposant farouche au régime de Macky Sall qui n’a pas tardé encore à se confesser. Sur sa page Facebook, postant le clip de l’artiste comme illustration, thierno Alassane Sall est revenu à la charge, encore plus radical que ses mots dans le bouquin. « Comme ceux de Karballah, vous croyez avoir berné le peuple par un écran de fumée dit secrets d’Etat. Vous, les comparses de Timis-le Crépuscule qui s’est dérobé avec un magot inépuisable ! Mais l’écho de Karballah hantera à jamais vos nuits de repus. Ecoutez et tremblez!», publie taS pour évoquer encore la dilapidation des ressources petro-gazières du pays dont il accuse le pouvoir en place. a noter que depuis sa sortie, le clip du jeune phénomène fait fureur sur les réseaux sociaux. pourvu que l’artiste basé à grand Yoff ne voie pas ses ailes brisées entre-temps par..
Dakar, 24 sept (APS) - La relance de l’économie sénégalaise est le sujet le plus en vue dans les quotidiens dakarois de ce jeudi.
A ce sujet, le quotidien L’As annonce qu’un conseil présidentiel consacré à la question se tiendra mardi 29 septembre "en présence de tous les acteurs et partenaires concernés".
"Macky convoque sa Task Force mardi", titre ainsi ce quotidien. Revenu sur le dernier conseil des ministres, le journal indique que le président Sall a évoqué à cette occasion les impacts économiques et sociaux de la pandémie de la Covid-19 et l’amélioration soutenue du climat des affaires au Sénégal.
Il a "réitéré au Gouvernement ses directives relatives à la préservation des emplois dans les entreprises, au maintien durable des mesures de promotion des investissements et de soutien au développement du secteur privé", souligne encore L’AS.
A propos de la rencontre convoquée par le chef de l’Etat sur la relance de l’économie nationale, Tribune parle d’"un conseil de sortie de crise". Le journal annonce des "investissements massifs dans l’agro-industrie et l’élevage".
Au sujet de l’impact économique de la pandémie de Covid-19, le Témoin quotidien écrit que selon l’économiste sénégalais Meissa Babou, la croissance de 0, 7 % prévue cette année par le FMI pour le Sénégal, illustre un "échec de la politique de résilience économique du Gouvernement".
Au chapitre santé, L’Observateur révèle que "le Covid Organics" malgache, un médicament censé soigner le nouveau coronavirus, "ne sera pas admis dans le protocole de soins des patients atteints du Coronavirus" au Sénégal.
Selon le journal, le professeur Moussa Seydi, responsable des soins des patients de Covid et Cie révèlent plusieurs obstacles concernant le traitement avec l’Artémisa, dans un rapport au Directeur de la pharmacie et du médicament (DPM)".
Le quotidien Enquête sent comme "un parfum d’arnaque" dans les tests que les voyageurs sénégalais sont obligés de subir pour quitter ou revenir dans le pays. Selon le journal, "déjà éprouvés par la crise, certains migrants sénégalais ont l’impression d’être considérés comme des vaches à lait par leur propre gouvernement".
Ce même quotidien évoque aussi les dossiers qui attendent le président Macky Sall à Touba à l’occasion de sa visite prévue samedi en perspective du Magal. Il relève que cette visite intervient à un moment où "des promesses n’ont jusqu’ici pas été tenues".
Le Quotiden annonce pour sa part le lancement, samedi, des travaux de dépollution de la baie de Hann, pour un montant de 70 milliards CFA. Le démarrage des travaux intervient 20 ans après que "l’idée a germé dans la tête des décideurs publics".
WalfQuotidien fait une "plongée dans le business des hydrocureurs" que favorise le pompage des eaux dans la banlieue dakaroise. "Contrairement aux sinistrés qui dorment à la belle étoile ou pataugent dans les eaux, les conducteurs des camions hydrocureurs se font eux plein d’argent avec le curage des canaux, des fosses septiques dans les maisons et les eaux de pluie qui ont submergé beaucoup de maisons et d’établissements scolaires".
Vox Populi annonce lui la saisie record de plus de 2, 282 tonnes de drogue d’une valeur estimée à plus de 182 millions à Koungheul, dans la région de Kaffrine (centre).