KEEMTAAN GI - AMUSER LA GALERIE
Vous êtes en quête de « Buzz » ? Vous rêvez de quitter le noir pour la lumière, et accessoirement plaire au Prince ? Eh bien, il suffit de titiller le vilain Ousmane Sonko, leader de Pastef. A tous les coups, on est sûr d’avoir sa part de gloriole, même éphémère. C’est à ce jeu de pingpong que s’exercent ces messieurs et dames de la mouvance présidentielle, et en particulier les ministres de ce charmant pays où il y a pourtant plein d’autres urgences que de faire du Sonko bashing. Plutôt que de s’occuper des inondations par exemple, ou de l’économie à la ramasse, ils sont en train de marquer à la culotte Sonko. Quand l’ancien Inspecteur des Impôts, radié par le Chef dans un accès de colère, tousse, tous ces vaniteux de la République éternuent dans un vacarme. Et c’est toujours dans des platitudes qu’ils s’illustrent quand le plus virulent ou le seul opposant du Chef leur oppose des arguments techniques. Des trucs du genre que le mec aurait rampé afin que le veinard Beau-frère lui trouve une audience auprès du « Goro » de président. Tu parles ? Et quoi encore? Notre très professionnelle police. Quand elle ne casse pas de l’opposition ou que les étudiants sont en vacances, elle s’exerce sur les hommes et femmes des médias. Comme s’en prendre à une jeune femme à qui on devrait offrir des fleurs plutôt que de la rouer de « liifs ». Pas du tout héroïque. Tout comme cette convocation du juge Teliko dont le crime serait de dire ce que tout le monde pense de l’affaire Khalifa Sall. Sauf bien sûr le Chef et ses obséquieux juges. Puisque la tendance est d’amuser la galerie comme le font les gens d’en haut, il nous faut bien mettre notre grain de sel. Et c’est pour nous blottir derrière la belle, douce, voluptueuse, tendre et richissime… Soxna Aïda Diallo. Akassa ! Puisqu’elle est devenue persona non grata un peu partout, nous qui n’avons jamais cessé de lui jurer amour, nous autres Kàccoor, donc, lui proposons de tenir son « Magal » dans nos murs, surtout que nous ne sommes pas loin de la plus grande mosquée de l’Afrique Occidentale. Bénédictions garanties ! KACCOOR BI
MACKY SALL, SI J’AVAIS LA COVID…
Lors du Conseil présidentiel sur la relance de l’économie, le président de la République a révélé qu’il avait écarté toute idée d’aller se faire soigner à l’étranger s’il avait attrapé la covid. « Il était malvenu d’envoyer des malades en Europe, ou même des autorités. Nous n’avions qu’un choix, vivre ou mourir chez nous. C’est clair. Moi, en tout cas, si jamais j’avais la covid-19, j’excluais de me faire transporter en Europe. Ce n’est pas possible», a déclaré le chef de l’Etat Macky Sall. D’où, souligne-t-il, l’importance de mener une politique sanitaire sérieuse. « Donc la questions sanitaire doit être prise au sérieux. Le relèvement du plateau sanitaire est devenu un impératif », a indiqué le chef de l’Etat. Cependant, le président Macky Sall suspend la mise en œuvre du programme sanitaire, dont le budget est de 500 milliards de francs, à un préalable : « Il faut une réforme de la gestion des hôpitaux au Sénégal. Mettons les moyens qu’il faut, mais il faut que cette question aille en même temps que les équipements. On ne peut pas mettre 500 milliards pour rester dans le même système où on ne peut même pas retracer le malade qui passe », martèle-t-il. Ce que le président Macky Sall veut, c’est, entre autres, une informatisation du circuit du malade, un bon recrutement du personnel et de spécialistes avec l’équité dans leurs affectations dans les territoires éloignés. «Qu’il y ait des spécialistes, des gynécologues, des chirurgiens dans toutes les régions du pays. Cela est devenu un impératif», dit-il. Que pensent nos amis de « And gueusseum » de tout ça ?
BANDITISME FONCIER À DAKAR-YOFF LES SYNDICALISTES DE L’ANACIM CRIENT AU VOL D’ETAT !
De grâce, il ne faut surtout pas supprimer la Cour de Répression de l'Enrichissement illicite (Crei) ! Car demain, cette juridiction aura de quoi tirer dans le tas des vautours et autres charognards qui ont fini de dépecer le périmètre aéroportuaire de Dakar-Yoff. Et les Bulldozers feront le reste ! La révélation vient des syndicalistes de l’Agence nationale de l'aviation civile et de la météorologie (Anacim). Dans une déclaration conjointe envoyée au « Témoin » quotidien, le syndicat et la coopérative d’habitat de l’Anacim révèlent que depuis le moins de mars 2020, au moment où tous les esprits étaient occupés par la Covid19, des personnes mal intentionnées se sont accaparées des terres de l’Aéroport militaire Léopold Sédar Senghor. Après coup, ces personnes dont la majorité sont des ministres, des députés, des magistrats, des maires, des marabouts, des politiciens, des ambassadeurs et des femmes d’affaires (maitresses) se sont partagé un butin foncier de 557 parcelles situées dans le patrimoine aéroportuaire. « Ainsi, ils ont laissé en rade les vaillants travailleurs sénégalais ô combien méritants qui s’y rendent quotidiennement pour servir l’Etat, parce que tout simplement apolitiques » dénoncent les pauvres travailleurs de l’Anacim. Insatiables, les vautours fonciers envisagent même la fermeture de la piste d’atterrissage N°03/21 de 1.500 mètres qui sert à l’aviation légère pour y aménager de nouvelles parcelles. « Pour se justifier, ils disent que ces parcelles sont destinées à dédommager les impactés de la cité Tobago. Même des cadres de la Caisse de dépôts et Consignations (Cdc) feront partie des bénéficiaires » se désolent les syndicalistes de l’Anacim criant au voleur d’Etat. Joint par « Le Témoin », un membre de la Coopérative d’Habitat de l’Anacim jure que tous les assassins fonciers de Dakar-Yoff répondront tôt ou tard devant la Chambre criminelle des Bulldozers. Pendant ce temps, certains syndicalistes de l’Asecna nous soufflent qu’ils sortiront bientôt de leur réserve foncière pour avoir subi pire que leurs « cousins » de l’Anacim.
PRÉSIDENTIELLE 2020 LES GUINEENS DE DAKAR EXCLUS DU SCRUTIN ?
Se sentant très minoritaire au Sénégal, le président guinéen sortant Alpha Condé a décidé d’exclure les Guinéens vivant à Dakar de la présidentielle du 18 octobre prochain. De Conakry, « Le Témoin » quotidien a appris qu’un membre du Gouvernement très influent aurait donné des instructions fermes pour que le matériel électoral ne soit pas acheminé à Dakar sous prétexte de la fermeture des frontières liée à la…pandémie. Certains observateurs politiques se disent toutefois convaincus que le président Alpha Condé craint un vote ethnique massif en faveur de son principal opposant Cellou Dalein Diallo. Ce, compte tenu du fait que les Peulhs sont majoritaires parmi les Guinéens vivant au Sénégal. Des guinéens qui risquent d’être privés de leur droit de vote. Une étincelle de plus qui peut brûler la Guinée où, déjà, le troisième mandat d’Alpha Condé a déjà mis le feu dans la savane !
MAGAL 2020 : SERIGNE MOUNTAKHA À IDRISSA SECK « NOUS APPRECIONS BEAUCOUP VOTRE DEMARCHE»
En prélude au Magal 2020 qui sera fêté le 06 octobre prochain, un ballet des grands dirigeants de ce pays défile à Touba. Après le président Macky Sall, c’est le président de Rewmi, Idrissa Seck, accompagné du leader du Grand Parti, Malick Gakou, de Ahmeth Kourouma et de son vice-président Déthie Fall qui a été reçu hier par le khalife général des mourides, Serigne Mountakha Mbacké. Le patron de Rewmi et sa délégation restreinte sacrifiaient à la ziarra traditionnelle en prélude au Magal de Touba. Arrivé à 12H 10, Idrissa Seck est allé directement d’abord chez le khalife général des Mourides qui a formulé des prières à son endroit. Le guide religieux a loué la démarche constante du président du Conseil départemental de Thiès. « Vous pouvez tout avoir dans la vie, seul Dieu décide et je suis ravi de votre posture dans ce pays. Nous saluons et apprécions beaucoup votre démarche. Tout est salutaire. Nous ne sommes imprégnés dans rien qui ne soit la religion et ne sommes intéressés que par la bonne conduite. Que Dieu nous aide tous à avoir la paix sociale. Rien n'est impossible dans la vie. Seul Dieu fait et défait !"» dira le guide religieux à l’endroit d’Idrissa Seck. Ce dernier n’a pas voulu s’adresser à la presse à sa sortie de la résidence du marabout, c’est Malick Gakou qui l’a fait au nom de la Grande Alliance. Interpellé sur la posture silencieuse de l’opposition, Malick Gakou a répondu : "nous ne sommes pas silencieux. Nous travaillons pour le Sénégal. Dans notre action pour le Sénégal, il y a des moments d'action, il y a des moments de terrain, il y a des moments de réflexion et des moments de communication. Mais ce qui demeure évident, c'est que personne ne peut douter de notre engagement patriotique pour le Sénégal ». Sur les velléités de mise en place d'un gouvernement d'union nationale, le leader politique de Guédiawaye a refusé d’apporter une réponse tranchée. "J'ai dit partout qu'on ne nous a pas parlé de gouvernement d'union nationale. En politique, nous n'avons pas l'habitude de répondre à des questions qui ne sont pas posées. Cela n'a aucun intérêt pour le Sénégal. Nous préférons parler de choses qui intéressent le Sénégal. Et aujourd'hui, la seule chose qui intéresse le Sénégal, c'est la survie de la Nation, la pérennité de la Nation. Et c'est la raison pour laquelle nous ne pouvons pas répondre à une question qui ne nous a pas été posée" a éludé le leader du Grand Parti. La délégation du président de Rewmi a ensuite rendu visite à Serigne Moussa Nawel, marabout d’Idrissa Seck.
KHALIFA SALL A VECU L’ANNIVERSAIRE DE SA LIBERATION A TOUBA
Coïncidence ou hasard du calendrier, Khalifa Sall a vécu le premier anniversaire de sa libération de prison le 29 septembre 2019 hier à Touba. L’ancien maire de Dakar était dans la ville sainte pour sa ziarra en prélude au Magal 2020 qui sera célébré jeudi prochain. Après avoir été reçu par le Khalife Général des Mourides, Khalifa Sall a rencontré le président du comité d'organisation du Grand magal, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre. Dans son discours devant le chef religieux, l'ancien maire de Dakar a rendu hommage à Serigne Touba pour son immense œuvre et fait part de son bonheur de se retrouver en ce 29 septembre 2020 à Touba, faisant allusion de manière astucieuse à sa libération sur grâce présidentielle, le 29 septembre 2019, il y a donc un an jour pour jour...
Macky Sall vole au secours d’AKS
Les membres de l’UNACOIS qui étaient présents lors du Conseil présidentiel ont tiré à boulets rouges sur le ministre de l’Environnement Abdou Karim Sall (AKS) à cause de l’interdiction du plastique. «S’il doit l’interdire, il doit le faire dans les frontières, mais il ne peut pas attendre que ce produit soit dans les boutiques pour venir l’interdire », fulminent El Malick Cissé et ses camarades. Face à ces critiques, le chef de l’Etat est monté au créneau pour défendre AKS. Selon Macky Sall, AKS applique la politique environnementale du gouvernement. Toutefois, le Président trouve que le ministre de l’Environnement pèche dans la communication. «Je l’ai toujours dit, il doit être plus conciliant dans les négociations et arrêter d’être toujours renfrogné.»
Macky Sall va retirer les cars rapides
Le président de la République va retirer les Cars rapides de la circulation. «Un véhicule qui a plus de 40 ans ne doit plus transporter des personnes », a déclaré le Chef de l’Etat. Macky Sall, qui présidait le conseil présidentiel sur l’investissement, affirme qu’il va moderniser les transports en commun et cela passe, selon lui, par le retrait des cars rapides. Quant au Train express régional (TER) qui va assurer le transport entre Dakar et l’aéroport international Blaise-Diagne (AIBD), le chef de l’Etat annonce qu’il sera mis en service dans les prochains mois. Ce qui lui fait dire que notre pays va connaître, dans les prochains mois, un développement très moderne du transport urbain, avec le démarrage du Train express régional bientôt en 2021.
Niasse bouclier de son patron
Décidément, la langue de «Kocc» pose des problèmes. Et ce, jusqu’au plus haut sommet de l’Etat. Hier, voulant traduire «Serigne Abdou Lahad néna sa kharit warou la tek loumou atanoul, warou la khagne loumou meune», Macky Sall a eu tous les problèmes du monde. Et c’est le président Moustapha Niasse qui a volé à son secours pour lui permettre de poursuivre son discours.
Idrissa Seck à Touba…
A quelques jours du Grand Magal de Touba, le ballet des hommes politiques continuent dans la capitale du Mouridisme. Après la visite du président de la République Macky Sall chez le khalife général des mourides ce lundi, Idrissa Seck était hier dans la cité religieuse. Le patron de Rewmi était accompagné de Malick Gakou, Déthié Fall et Amath Kourouma. Arrivé à 12h10mn dans la ville sainte, il est allé directement chez Serigne Mountakha qui a formulé des prières pour lui et sa délégation, avant de passer chez Serigne Moussa Nawel. Le candidat malheureux lors de la dernière élection présidentielle n’a pas fait de déclaration au sortir de son audience avec le successeur de Serigne Sidy Moukhtar.
…Khalifa Sall aussi
Idrissa Seck n’était pas le seul opposant à aller à Touba pour rendre visite au patriarche de Darou Minane. L’ancien maire de Dakar a été également reçu par le khalife général des mourides. A l’instar de ses autres collègues politiciens, Khalifa Ababacar Sall a eu droit à des prières de la part du saint-homme. Après avoir pris congé du chef suprême des mourides, le leader politique a rencontré le président du comité d’organisation du Grand Magal, Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadre. Lors de leurs échanges, Khalifa Sall a rendu hommage au fondateur du mouridisme, Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, pour son immense œuvre.
120 kg de chanvre indien saisis à Koungheul
Quelques jours seulement après une saisie record de 2,282 tonnes de chanvre indien à Koungheul, les soldats de l’économie ont mis la main sur 120 autres kilogrammes. La saisie a été effectuée dans la région de Ziguinchor, plus précisément au village de Koba, situé dans le département de Bignona. D’après le Colonel Abdoulaye Diallo, chef de subdivision au Bureau régional Sud des Douanes, les éléments du poste de Selety à Bignona ont fait cette prise au cours d’une opération de contrôle dans le village. Selon le Douanier, la drogue était transportée sur une moto. Mais dès qu’il a vu les gabelous, le trafiquant qui conduisait l’engin a pris la fuite, laissant tomber ses quatre sacs pour se fondre dans la nature. C’est ainsi que les soldats de l’économie ont pris les quatre colis.
Sokhna Aïda Diallo vers Médinatou Salam
Les nombreux bœufs qui ont été acheminés à Keur Samba Laobé laissent croire que Sokhna Aïda Diallo, qui réclame sa légitimité sur le trône des Thiantacounes, pourrait tenir son magal à Keur Samba Laobé (Mbour). Après que l’interdiction lui a été faite de tenir un magal à Ngabou, et son hadiya refusé, beaucoup de camions ont transporté des bœufs à Médinatou Salam. Mais, c’est motus et bouche cousue chez les talibés. Ces derniers, comme l’a demandé leur guide, n’ont pas voulu donner des explications. Toutefois, à Keur Samba, cela risque aussi de ne pas être aussi facile d’y tenir un magal, car l’autre camp des Thiantacounes qui a fait allégeance à Serigne Thioune, fils aîné de Cheikh Béthio, se veut formel : «A Médinatou Salam, il n’y aura pas de manifestation religieuse, car le Ndigël de Serigne Touba est à suivre à la lettre.» D’après certaines indiscrétions, ces bœufs sont réservés au gamou et s’ils sont aussi nombreux, c’est parce que Sokhna Aïda veut battre le record par rapport à l’année passée.
Ibrahima Wade risque 3 mois de prison
Son nom ne dit pas grand-chose, mais il s’agit du jeune homme qui a heurté avec sa moto le policier Abdoulaye Diouf, lui occasionnant une fracture à la jambe. Et l’agent était dans l’exercice de ses fonctions. Hier au tribunal de Mbour, Ibrahima Wade, poursuivi pour refus d’obtempérer, conduite sans permis et coups et blessures contre le flic, a comparu. Le jeune homme dont les blessures sont visibles sur le corps n’était pas sorti indemne de l’accident. Devant la barre, il a réfuté le délit de refus d’obtempérer. Toutefois, il a présenté ses excuses pour avoir commis une faute. Selon l’avocat du prévenu Me Seyni Ndione, la famille d’Ibrahima Wade a pris en charge les frais médicaux. Pour permettre à son client de se soigner, il a demandé la liberté provisoire qui, malheureusement, a été rejeté par le tribunal qui a mis l’affaire en délibéré jusqu’au 13 octobre prochain.
Mouvement «Guédiawaye laa bokk»
Guédiawaye est sous haute tension avec l’approche des élections locales et la volonté du maire de la Ville, Aliou Sall de procéder à la location de certains édifices. Un acte jugé incohérent et insoutenable par le mouvement «Guédiawaye laa bokk» que dirige le journaliste du groupe de presse Dmedia, Ahmed Aïdara. Par la voix de Ramatoulaye Diène, les responsables de ce mouvement appellent à la mobilisation générale contre les agissements du maire Aliou Sall et de son équipe. Selon eux, la situation de la Ville est sérieuse avec les problèmes liés au bradage du foncier sur le littoral, l’hypothèque de certains espaces municipaux et la décision de baptiser du nom de Macky Sall un établissement scolaire. Autant de maux qui, selon Ramatoulaye Diène, nécessitent une mobilisation citoyenne de tous les dignes fils de Guédiawaye contre ce qu’elle considère comme l’injustice du siècle dans l’histoire de la décentralisation à Guédiawaye.
Insécurité aux Hlm Patte d’Oie
Les langues se délient aux Hlm Patte d’oie de Grand Yoff, plus précisément au niveau de la gare des cars rapides qui font face à la station d’essence. Des agresseurs y ont effectué une descente inopinée en s’attaquant à des gens qui se rendaient très tôt au travail. Armés de couteau, les bandits ont emporté de l’argent et violenté les personnes qui refusaient d’abdiquer pour ensuite se fondre dans la nature. Arrivée quelques minutes plus tard, la Police n’a fait que constater que les dégâts.
A Ba viole sa fillette
Qu’est-ce qui se passe dans la tête de A. Bâ au point qu’il viole sa propre fillette âgée seulement de 11 ans ? Ce sont les questions qui alimentent les conversations à Tally Bou Mak. Âgée de 11 ans, la fillette est issue de son premier mariage. Dénoncé par sa mère et son ex-épouse, le quidam a été déféré au parquet. Les faits se sont produits jeudi dernier. Et c’est la dame A.B.B, habitant Yeumbeul, qui s’est présentée spontanément à la Police de Pikine. Elle aurait expliqué que sa fille de 11 ans aurait dit à sa grand-mère paternelle qui réside à Pikine Tally Bou Mak, dans la même maison que son père A. Ba, que ce dernier abusait d’elle et qu’elle en avait marre de subir ses sévices sexuels. Sans tarder alors, les hommes du Commissaire Arona Ba dont ceux de la Brigade de recherches se lancent aux trousses du mis en cause A. Ba âgé de 37 ans, pour le placer en garde à vue pour les besoins de l’enquête. Interrogé sur ses agissements délictuels, A. Ba réfute les faits qui lui sont reprochés avant d’accuser son ex-femme A.B.B et sa sœur homonyme de sa fille d’avoir orchestré cette affaire de viol. Cependant, les résultats des examens gynécologiques, suite à une réquisition de la Police, ont prouvé des attouchements sexuels sur la fille de 11 ans. Suffisant alors pour qu’A. Ba soit placé en garde à vue avant d’être déféré au parquet pour viol commis sur sa fille.
Thierno Bocoum sur la relance de l’économie
La relance de l’économie sénégalaise durement affectée par le coronavirus fait toujours débat. De l’avis de Thierno Bocoum, celle-ci se fera par un changement de paradigme dans notre approche de résolution des problèmes, mais pas dans l’activation d’un guichet de distribution d’espoir. Pour le leader du mouvement Alliance Générationnelle pour les Intérêts de la République (Agir), le programme de résilience économique et sociale mis en place durant la pandémie Covid-19 a montré les faiblesses de l’Etat en termes de diagnostic et de proposition de solutions. Selon lui, la démarche de résilience n’a finalement abouti qu’à une vulnérabilité de notre économie avec l’utilisation inefficiente de nouvelles ressources financières par voie d’emprunt. La conséquence, d’après l’ancien compagnon d’Idrissa Seck, c’est que le Sénégal continuera après la Covid-19 à subir les méfaits liés aux échanges extérieurs ou aux flux financiers. Thierno Bocoum sur la relance de l’économie (bis) Thierno Bocoum est convaincu que l’espoir nourri par l’exploitation du gaz et du pétrole peut être freiné par la non-maîtrise des fluctuations des cours internationaux de ces ressources. Le leader du mouvement Agir affirme que la forte dépendance du Sénégal à l’importation de denrées essentielles met notre pays à la merci de l’évolution imprévisible des cours mondiaux de ces produits. Selon lui, à cela, il faut greffer les incertitudes autour de notre politique monétaire avec le renvoi aux calendes grecques de la mise en place d’une nouvelle monnaie. L’ancien membre du parti Rewmi précise que ces facteurs exogènes viendront s’ajouter aux choix de politiques budgétaires déséquilibrés, un endettement exponentiel, des investissements non productifs et un affaiblissement de notre secteur privé national. Convaincu que les mêmes causes produisent les mêmes effets, Bocoum demande un changement de paradigme. Car, selon lui, la relance de l’économie sénégalaise ne devrait pas se fonder sur les mêmes pratiques.
LE SYNPICS CONDAMNE L'AGRESSION D'UNE CAMERAWOMAN PAR LA POLICE
Nous avons appris avec consternation et indignation que la camerawoman Adja Ndiaye de Dakaractu a été sauvagement bastonnée par la Police ce lundi 28 septembre à Dakar.
Nous avons appris avec consternation et indignation que la camerawoman Adja Ndiaye de Dakaractu a été sauvagement bastonnée par la Police ce lundi 28 septembre à Dakar.
L'équipe de Dakaractu comme d'autres média, étaient au niveau de la direction de la Police sise au quartier de la Medina, pour couvrir l'affaire de l'activiste Dj Malick qui répondait ce lundi à une convocation de la brigade en chargé de la Cybercriminalité.
Des premiers témoignages recueillis par le Synpics, il apparaît que c'est suite à l'adresse de Fatima Mbengue du mouvement Frapp France Dégage, que les policiers sont venus encadrer les journalistes, leur intimant l'ordre de quitter les alentours de la Direction Générale de la Police.
Sur ce, la presse obtempère et se déplace au niveau de la Porte du Millénaire, afin de recueillir la déclaration de Dj Malick du mouvement "luttons contre l'indiscipline des sénégalais", une page Facebook qui alerte sur certaines dérives notées dans l'espace public local.
C'est au moment où les journalistes avaient en face d'eux Dj Malick, que la police revient à la charge, et s'adressant au groupe qui s'était formé, leur interdit tout rassemblement sur la voie publique.
Alors que les journalistes remballent leur matériel, un élément du Gmi prend en apparté la Camerawoman de Dakaractu, et lui administre un violent coup avant de la pousser à terre. Celle ci, perdant du coup sa caméra fortement endommagée, se rebelle avant de se faire arrêter par toute la meute d'agents de police présents sur les lieux.
Mise dans le panier à salade, elle sera selon les témoignages de plusieurs journalistes présents, menottée, bastonnée, insultée par la nuée d'agents aidée par un ASP (Agent de sécurité public non détenteur du droit d'usage de la violence) comme une malpropre.
Non contents de ce forfait, les agents de police vont arrêter tous ceux qui avaient exhibé leur téléphone pour filmer l'incident et vont les sommer un à un de supprimer les captures et vidéos.
Il s’agit là de plusieurs violations indignes d'un pays comme le Sénégal, qui plus est, surviennent ce 28 septembre, Journée Mondiale de l'accès à l'information.
En interdisant aux journalistes de faire leur travail sur la devanture de la direction de la Police, les agents ont fauté par excès de zèle et ont de ce fait, porté atteinte à la liberté de presse et à celle d'expression.
En leur interdisant une seconde fois, sur la place du Souvenir Africain de tendre leur micro, ils ont consacré une deuxième violation des droits les plus fondamentaux en plus de la liberté d'aller et de venir que consacrent toutes les lois et traités du monde.
Enfin, en agressant physiquement une camerawoman, une femme, au point de lui occasionner des blessures que les examens médicaux ne tarderont pas à révéler, la Police Sénégalaise par certains de ses éléments, vient une nouvelle fois de porter un sérieux coup aux libertés que consacrent notre régime démocratique.
Last but not least, en torturant notre consoeur Adja Ndiaye puis en usant de la menace pour faire effacer les vidéos des témoins, les agents ont une nouvelle fois porté une atteinte grave aux principes qui font du Sénégal, un pays de libertés.
Face à cette situation, le Synpics qui a informé aussi bien le Directeur de la Sécurité Publique que le ministre de l'intérieur, condamne avec toute la rigueur qui sied ces actes dignes d'une dictature.
Se préoccupant d'abord de l'état de la victime de ces actes barbares, le Synpics suit avec une attention stressante l'évolution de son état de santé et prend pour responsable l'Etat du Sénégal de tout ce qui pourrait arriver à Adja Ndiaye.
Notre consoeur, actuellement hospitalisée dans une clinique de la place est la énième femme de médias, victime cette année de l'exagération de forces de police.
Le Syndicat lui marque sa solidarité totale et entière et donnera avec elle toute suite judiciaire appropriée à cette affaire.
Nous rappelons aux forces de l'ordre que le pouvoir de coercition, au besoin, qui leur est accordé au point qu'elles peuvent user d'une violence légitime pour maintenir l'ordre, découle de la LOI.
Qu'il ne saurait être question dans une République que le port d'une tenue, soit transformé en un permis de matraquer ou d'humilier en toute impunité en usant de la violence et se couvrant du statut d'agent public de sécurité.
La récurrence des actes d'agression contre des journalistes (Touba durant le Covid, Place de L'indépendance, marche de Guy Marius Sagna sur le Boulevard de la République) ne nous fait pas mériter notre place dans le top 50 des pays les mieux classés en matière de liberté de presse.
La police doit, comme récemment au Quai de pêche de Mbour, déployer toutes ses ressources pour protéger les citoyens, dont les journalistes, et non les violenter gratuitement.
KEEMTAAN GI – SUFFISANCE
C’est dit ! Et sans rappel sur un ton qui ne souffre aucune contestation. Il a dû le dire avec mépris. Lui, il n’a de comptes à rendre qu’au Beau-frère. Comme hier l’autre qui ne parlait qu’au Papa. Elle est belle la République ! Le Beauf, dans sa belle générosité, lui a confié 69 milliards à distribuer aux « Miskines ». De ses qualités de gestionnaire, on ne sait rien. Son mérite est d’être de la famille et d’avoir mouillé le maillot pour le succès de l’époux de sa sœur lorsque ce dernier était à la conquête du pouvoir. Sorti du néant pour la lumière, on lui confie comme ça, outre plus de quatre ministères dont les budgets réunis font plus que celui d’un pays comme la Guinée-Bissau, un consistant magot à distribuer. De l’argent sorti de la poche des Sénégalais et que lui devait partager entre impactés du coronavirus. Et le voilà qui vient regarder ses compatriotes dans le blanc des yeux pour leur balancer qu’il ne justifiera 69 milliards de francs CFA de dépenses publiques que devant le Président qui se trouve être son beau-frère. Et bien sûr, si magouilles il y aurait, le « Goro » les couvrirait. On n’envoie pas le frère de l’épouse en prison comme un vulgaire adversaire politique, genre Karim Wade ou Khalifa Sall, voyons ! Les compatriotes qui ont porté plainte auprès de l’Ofnac n’ont qu’à aller se rhabiller. Le Beauf a dû le rassurer sur ce plan, s’il se permet de faire preuve de tant de mépris et d’arrogance vis-à-vis des moins que rien que nous sommes. Et pourtant, les 69 milliards qu’il a dépensés ne sont pas sortis de la poche du beau-frère, mais de celles du peuple dans toute sa composante. Mais voilà, la politique dans ce charmant pays a ceci de magique qu’elle peut sortir des individus du néant pour leur faire porter des habits trop larges pour eux. Au point de leur faire perdre la raison ! Et Dieu sait qu’ils sont nombreux dans toutes les sphères de l’Etat parasitées par des militants de l’APR incultes, incompétents et à l’épaisseur intellectuelle douteuse. Kaccoor Bi
PETROSEN
« Le Témoin » vous avait annoncé la semaine dernière une crise au sein de Petrosen. Les deux directeurs de Petrosen Holding et Petrosen Exploration Production se sont rencontrés. D’après notre source, la rencontre s’est tenue au siège de Petrosen à Hann. Il y avait la présence effective du bureau de l’Amicale. Eh bien c’est le même président de l’Amicale que Le Témoin avait joint l’autre jour et qui avait nié le mouvement d’humeur dans la boite en indiquant qu’il n’était « pas au courant », qui a introduit les débats en revenant sur les causes de leur courroux ! Il a dû être au courant entretemps… Dans les motivations des protestataires, il y avait le manque d'informations sur la restructuration en cours de l’entreprise, le non-paiement des augmentations promises, le non démarrage des activités de la Holding toujours aux mains du Dg Mamadou Faye et Petrosen E&P S.A. managé par l’ingénieur Joseph Oufam Médou pendant que Petrosen Trading et Services (TS) ou Petrosen Aval dirigé par El Hadji Manar Sall déroule allégrement son programme d'activité. A cet effet, le Dg de la Holding, Mamadou Faye, a reconnu que pour le moment il ne gère que les affaires courantes. Cela du fait que, depuis le départ de l'ancien Pca et l'arrivée du nouveau, qui n’est autre que l’ancien ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Pr Mary Teuw Niane, le président de la République leur avait demandé de tout geler. Pour l’histoire de la grille salariale, notre source nous souligne que le directeur général a confirmé que les employés de TS ont de meilleurs salaires que leurs autres collègues. Une chose illégale. Il a même indiqué, d’après toujours notre source, que le président de la République a demandé de tout arrêter.
PETROSEN (BiS)
En réalité, la colère des travailleurs de Petrosen Holding et Petrosen E&P S.A. trouve son origine dans le manque d’engagement notoire du Dg Mamadou Faye. Ce dernier aurait mis le coude sur tout le mécanisme de prise en charge de la nouvelle grille des travailleurs de Pétrosen qui ont été affectés au niveau de ces deux entités depuis la nomination des différents directeurs généraux en janvier 2020. Il est même prétendu dans les couloirs que le DG Mamadou Faye, qui est à la retraite depuis près de trois ans, serait de mèche avec les travailleurs. Il ne respecterait pas les consignes venant du président de la République surtout qu’il a profité du départ de l’ex-président du conseil d’administration, Abdourahmane Seck dit Homère, pour remettre en cause tout un ensemble d’acquis obtenus par les travailleurs. D’ailleurs, l’on nous signale qu’il a « déchiré » le contrat de location que Petrosen E&P» S.A. Joseph Oufam Médou qui devait déménager aux alentours du marché Kermel pour mener «Petrosen E&P» S.A., à travers les activités d’exploration et de production pétrolière et gazière qui seront renforcées, car depuis sa création en 1981, Petrosen, qui est l’instrument d’application de la politique pétrolière de l’Etat du Sénégal, ne s’était concentrée que sur la promotion du bassin sédimentaire. Seulement les mauvaises langues du côté de Hann disent que Joseph Oufam Médou peine à prendre son indépendance vis-à-vis de Mamadou Faye qui exerce un ascendant énorme sur lui et avec qui il a cheminé pendant toute sa carrière jusqu’à devenir son numéro deux à Petrosen. Tous les deux sont des ingénieurs géologues. On comprend ainsi leur proximité. Ce contrôle Mamadou Faye ne peut pas l’exercer sur El Hadj Manar Sall de Petrosen Aval qui a réussi à prendre ses marques puisqu’il a déménagé vers Mermoz aux abords du siège de Dakar Dem Dikk. En homme de sérail, très respecté dans le milieu des hydrocarbures, El Hadji Manar Sall, ce diplômé de Hec Paris connaît bien le secteur où il a passé plus d’une trentaine d’années dans les grandes compagnies pétrolières. Avant son nomination, M. Sall appuyait le ministère du Pétrole et des Energies au niveau de l’aval. Le renforcement de ce département devrait permettre de lancer les réseaux de distribution et créer toute une série d’industries liées au pétrole et au gaz. Bref, si Manar Sall déroule (au fait, on se demande si son épouse est enfin retournée à son poste à l’ambassade du Sénégal à Washington !), du côté de Mamadou Faye et Joseph Oufam Médou, ça cale.
FORCE-COVID19 LE DEPUTE TOUSSAINT MANGA DEZINGUE MANSOUR FAYE
« Je n’ai pas de comptes à rendre au Comité de suivi de la mise en œuvre des opérations du FORCE-COVID 19 ». Cette déclaration du ministre Mansour Faye a fait sortir de ses gonds le député Toussaint Manga. Cette posture du beau-frère du Président Macky SALL « est très grave et constitue un précédent dangereux. C’est pourquoi, en tant que membre du dit comité et représentant du groupe de l’opposition parlementaire, je condamne fermement de tels propos qui n’ont pas leur place dans une République normale » a réagi le parlementaire qui siège au comité de suivi Force-Covid19 en tant que représentant du groupe parlementaire Liberté et Démocratie. Le député PDS invite le ministre à lire et relire le DÉCRET N° 2020 - 965 PORTANT CRÉATION ET FIXANT LES RÈGLES D'ORGANISATION ET DE FONCTIONNEMENT DU COMITÉ DE SUIVI DE LA MISE EN ŒUVRE DES OPÉRATIONS DU « FORCE COVID 19 » en son Article premier. Lequel article 1er stipule qu’ « Il est créé, auprès du Président de la République, un organe dénommé « Comité de suivi de la mise en œuvre des opérations du FORCE COVID 19 », chargé de suivre les opérations menées par le « FORCE COVID 19 » et d'en rendre compte selon les modalités prévues par le présent décret ». En outre c’est par souci de transparence et par gage de bonne gouvernance que le chef de l’Etat Macky SALL justifiait la création du comité. Nous avons pour mission de suivre toutes les opérations liées à la mise en œuvre du « Force Covid-19 ». Ainsi, tous ceux qui ont exécuté des crédits dans le cadre du fonds se soumettent obligatoirement au suivi du comité. « Rassurez-vous monsieur le ministre car vous ne pouvez pas ne pas rendre compte des opérations menées avec les 69 milliards par vos soins jusqu’ au dernier centime au comité de suivi des opérations du FORCE COVID-19. Vous n’aurez ni le choix ni l’opportunité de vous soustraire aux rigueurs de la mission du comité auxquelles se sont soumis tous vos collègues. Nul n’est au-dessus de la loi » assène Dr Toussaint Manga. « Vous venez de remettre en cause la légitimité et le bien-fondé de la mise en place dudit comité dont l’objectif est de promouvoir la transparence dans la mise en œuvre des opérations de la riposte contre la pandémie avec les 1000 milliards prévus. A la limite, vous avez méprisé sans élégance les membres du comité composé de personnalités respectables et respectées issus de diverses institutions qui travaillent sans relâche et qui acceptent beaucoup de sacrifices pour atteindre les objectifs assignés au comité. Monsieur le Ministre, si vous ne voulez pas rendre compte parce que vous le trouvez contraignant, autant démissionner de votre poste de ministre et vous éloigner de la gestion des affaires de l’Etat c’est plus simple. Je suis désolé mais apparemment, vous confondez souvent la République et la famille » conclut Dr Manga.
MBAYE NDIAYE ASECNA UN GRAND COMMIS DE L’ETAT HONORE !
Après plus de 40 ans de bons et loyaux services rendus à l’Aviation civile, Mbaye Ndiaye Asecna devait être fête en grande pompe par ses collègues à travers un pot d’adieu. Malheureusement à l’époque, la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei) ou l’arc étatique de chasse aux sorcières avait tout remis en question ! C’était compter sans la justice divine puisque l’honorable Mbaye Ndiaye Asecna reste et demeure la seule personne à avoir été purement et simplement relaxée par la Crei. Mieux vaut tard que jamais car l’ancien Dg de la Représentation de l’Asecna et ex- patron des Aéroports du Sénégal (Ads), Mbaye Ndiaye Asecna, vient d’être honoré par la République. Car, le nouveau Dg de l’Ads et ses pairs reconnaissants ont baptisé la grande salle de conférences de l’Union des gestionnaires des aéroports de l’Afrique de l’Ouest (Ugaaco) au nom de « Mbaye Ndiaye ». La cérémonie a eu lieu dans un cercle restreint le jeudi 24 septembre dernier à l’Aéroport international Blaise Diagne de Diass. Un honneur qui vient à son heure pour celui qui fut l’une des grandes personnalités de l’aviation civile au Sénégal. Mbaye Ndiaye « Asecna », comme l’indique son nom qui s’identifie à l’Asecna et à l’Ads, a été un grand commis de l’Etat. Durant toute sa longue et riche carrière, il a contribué au rayonnement de l’aviation civile africaine. Ce, jusqu’à devenir un modèle et une référence d’excellence pour de nombreuses jeunes générations de l’aéronautique sous-régionale.
AND SUXXALI HABIB NIANG A TOUBA
Le mouvement And Suxxali Sénégal (MASS) ouvrira prochainement une permanence à Touba. Le président Habib Niang étendra ainsi ses tentacules dans cette partie importante du Sénégal. Cette décision a été prise hier suite à une rencontre à Dakar avec le secrétaire général du mouvement Agir pour le développement (ADS), Cheikh Nar Amar. Ce dernier indique que c’est depuis la ville sainte de Touba qu’il a eu écho des actions du président Habib Niang. Il a ainsi décidé de rejoindre le mouvement pour travailler aux côtés du Niang pour accompagner ce dernier dans sa vision de faire émerger le Sénégal. D’ailleurs très prochainement, le président Habib Niang rendra visite à M. Cheikh Nar Amar pour installer une permanence à Touba. Ce samedi 26 septembre à Thiès, la jeunesse du MASS a organisé une journée portes ouvertes dans la capitale du Rail. Elle a cherché à faire connaître la biographie et les objectifs de son président. Une manifestation qui a connu un vif succès surtout en termes de nouvelles adhésions. Une manière pour les Thiessois d’afficher leur soutien aux multiples actions posées par le président Habib Niang.
Et si Ahmed Aidara avait raison …
Le maire Aliou Sall a convoqué demain le Conseil municipal de Guédiawaye pour examiner plusieurs points de l’ordre du jour. Cette réunion suscite des soupçons sur la volonté de l’édile de Guédiawaye de «légaliser» des actes qu’il avait déjà posés sans l’aval du conseil municipal. Surtout le point sur l’autorisation de mise en valeur d’infrastructures communales. Il remet au goût du jour la polémique sur une supposée vente de terrain à Auchan. Puisque sur les convocations des conseillers, le maire de Guédiawaye évoque sa volonté de mettre en valeur certaines infrastructures communales. Dans son argumentaire, Aliou Sall fait état de signatures de convention de location, de cogestion, de partenariat public-privé etc. pour rentabiliser ces infrastructures. Ainsi pour ce faire, il a visé des infrastructures telles que l’actuel l’hôtel de ville, l’actuel état civil, la bibliothèque municipale, les esplanades et équipements connexes des stades Amadou Barry et Ibrahima Boye, le bloc scientifique et technique, le pole internet et services associés. La liste est loin d’être exhaustive, d’après la note du rapport de présentation dont «L’As» détient une copie. Ce point de l’ordre du jour sera soumis au conseil municipal pour examen afin de donner l’aval au maire de signer des conventions. En tout cas, si le conseil municipal autorise une quelconque convention d’occupation des esplanades et équipements connexes des stades Amadou Barry et Ibrahima Boye, Aliou Sall fera face à une révolte des mécaniciens qui étaient déguerpis des parages et qu’il avait promis de reloger ailleurs. Pourtant son rival Ahmed Aïdara l’avait accusé d’avoir déjà vendu certains espace à Auchan. Visiblement d’après le camp de Aïdara, Aliou Sall cherche à valider « son forfait par une majorité mécanique ». Les conseillers vont se pencher aussi sur d’autres points inscrits à l’ordre du jour. Il s’agit de l’autorisation spéciale portant fonds de concours de la décentralisation 2020, le virement de crédits, le parrainage d’établissements scolaires, le vote et l’adoption du compte administratif 2019. La rencontre risque d’être électrique au vu des points qui seront débattus.
La Justice autorise l’expulsion des occupants de Terme Sud Ouakam
La Comico peut désormais pousser un ouf de soulagement. Après avoir acquis à titre onéreux auprès de l’Etat du Sénégal, en octobre 2018, le terrain sis à Ouakam Terme Sud, la Comico a l’aval de la justice pour expulser les occupants dudit terrain. En effet, la Comico avait intenté une action judiciaire dans le but de recouvrer ses terres. Accédant à leur requête, la Cour Suprême avait débouté le collectif formé par les occupants de leur site dont d’anciens militaires à qui des logements par nécessité de service avaient été attribués à Terme Sud et qui n’ont pas voulu les libérer une fois partis à la retraite. Mieux, elle avait ordonné l’expulsion des occupants. Et la Comico avait commis un huissier de justice pour leur notifier l’expulsion. Aussitôt, le collectif des occupants avait introduit un référé sur difficultés au Tribunal de Grande Instance de Dakar. Ainsi, après deux audiences, informe une note de la Dirpa reçue à «L’As», le juge des référés a décidé, par l’ordonnance n° 274 du 28 août 2020, que la COMICO pouvait continuer la procédure d’expulsion sans délai et sans nouveau référé. Autrement dit, la COMICO a été confirmée dans ses droits par le tribunal. Et à cette fin, la DSCOS a été saisie pour mettre en exécution la décision de justice. La Dirpa indique que toutes les dispositions seront prises pour la poursuite des programmes d’habitat au profit des adhérents de la coopérative.
Reprise de la grève à l’hôpital Abass Ndao
Après une pause de quelques jours pour permettre la tenue de la réunion du Conseil d’Administration (CA) jeudi dernier, le Comité de lutte de la section «And Gueusseum de Abass Ndao» reprend la lutte. Indigné par le mépris du conseil d’administration, les syndicalistes déclenchent encore un mouvement d’humeur. A ce propos, le comité de lutte décrète une grève de 48 heures mercredi et jeudi prochain avec respect des urgences et du service minimum. Le comité procédera à l’évaluation de la grève vendredi prochain. Ce qui a poussé le Comité de lutte à déterrer la hache de guerre, ce sontles manœuvres dilatoires pour le pourrissement de la situation. Puisque, selon les syndicalistes, la représentante du personnel n’a reçu, comme promis par le vice-président du Conseil d’Administration, aucune convocation, en flagrante violation de son droit, pour prendre part à la réunion du Conseil d’Administration. Mieux, ajoutent-ils, malgré tous ces gages de paix et de stabilité, aucune solution sérieuse de sortie de crise n’a été proposée.
10 nouvelles contaminations au Sénégal sur 929 tests
Tendance baissière de la contamination au Sénégal. Selon le ministère de la Santé et de l’Action Sociale, sur 929 tests réalisés, 10 sont revenus positifs, soit un taux de positivité de 1,08%.Il s’agit de 3 cas contacts suivis, un cas importé et 6 cas issus de la transmission communautaire. Ces derniers proviennent de Hann Bel-Air 01 cas, Kédougou 01 cas, Khombole 01 cas, Mermoz 01 cas, Popenguine 01 cas et Sicap Dieuppeul 01 cas. Le ministère de la Santé a déclaré 118 patients guéris. On a dénombré 14 cas graves qui sont pris en charge dans les services de réanimation et un décès. Notre pays est à 14 919 cas déclarés positifs dont 12 231 guéris, 309 décédés et donc 2 378 sous traitement.
Médina Baye intransigeant sur les gestes barrières au Gamou
Le doute plane sur la tenue du Gamou à Médina Baye à cause de la pandémie du coronavirus. Tous les disciples de Baye Niasse voulaient savoir si le Gamou de Médina Baye aurait lieu ou pas. Eh bien ! La naissance du Prophète Mohamed (PSL) sera célébrée cette année comme d’habitude à Kaolack. Le Khalife Cheikh Mahi Niasse a décidé qu’il aura bien lieu, a soutenu d’emblée son porte-parole lors d’un point de presse dans la cité religieuse. Toutefois, le petit-fils de Baye Niasse souligne que le Khalife exige aux disciples de respecter toutes les mesures barrières édictées par les médecins. A l’en croire, le Gamou va se tenir dans un contexte très particulier cette année et le Khalife est intransigeant concernant le respect des gestes barrières et la discipline. Par ailleurs, Cheikh Mahi Cissé estime que célébrer le Gamou peut absoudre tous les péchés et endiguer la pandémie grâce à la dimension du prophète de l’Islam.
Des responsables de l’Apr de la Casamance pilonnent Sonko
Les attaques d’Ousmane Sonko à l’endroit du président de la République, lors de sa visite des champs de ses militants, ont fait sortir les responsables du parti au pouvoir de la Casamance de leurs gonds. Ils tentent de démolir le leader de Pastef dans une déclaration parvenue à «L’As». Le péché de Sonko, à leurs yeux, c’est d’avoir dit que «le Président Macky Sall et son gouvernement n’aiment pas la Casamance». Les signataires de la déclaration sont Benoît Sambou, Innocence Ntap Ndiaye, Abdoulaye Badji, Abdoulaye Diop ministre, maire de Sédhiou, AbdoulayeBaldé, député-maire de Ziguinchor, Abdoulaye Bibi Baldé, maire de Kolda, les ministres Moussa Baldé, Aminata Assome Diatta, Aminata Angélique Manga et Mamadou Lamine Keita maire de Bignona. Ils préviennent Ousmane Sonko que la soif de pouvoir n’autorise pas tous les excès puisqu’à force de jouer avec le feu, on finira par se brûler les ailes. A les en croire, le leader de Pastef est assurément trop petit pour brûler le Sénégal. Ils promettent de faire face au nom de la Casamance qui travaille pour la paix définitive. Contrairement au propos de Sonko, ces responsables de l’Apr estiment que jamais la région n’a été autant destinataire d’investissements publics sous le régime de Macky Sall.
Fermeture de la frontière Guinée-Sénégal
Va-t-on vers une crise diplomatique entre le Sénégal et la République de Guinée ? En tout cas, les dernières informations distillées par des médias guinéens semblent aller dans ce sens. Nos confrères font état de la fermeture de la frontière entre les deux pays. Une décision, selon des organes de presse, prise unilatéralement par l’Etat guinéen, sans préavis, ni communication officielle. D’après africaguinee.com, cette information est loin d’être une rumeur. Le site d’information, qui déclare avoir interrogé Aboubacar Mboup Camara, le préfet de Koundara, une préfecture située au nord de la Guinée, confirme qu’Alpha Condé et son gouvernement ont décidé de fermer momentanément les frontières. Selon toujours nos confrères, l’information a été confirmée par le gouverneur de la région de Labé qui a affirmé que c’est à cause de l’élection présidentielle prévue le 18 octobre dans le pays que cette décision a été prise. La mesure concerne également la Guinée-Bissau.
Un groupe d’hommes d’affaires guinéens saisissent la Cedeao
Restons sur la fermeture des frontières guinéennes pour signaler que la décision a soulevé l’ire du Groupe organisé des hommes d’affaires (GOHA) dont le business est menacé. Le groupe a interpellé la Cedeao sur cette décision impopulaire de la Guinée. Dans un communiqué, ces hommes d’affaires diront que cette mesure inappropriée crée une situation très préoccupante pour les opérateurs économiques transfrontaliers déjà soumis aux difficultés liées à la COVID-19. Il va sans dire, ajoutent-ils, que d’énormes pertes et des privations induites vont s’ensuivre, juste pour satisfaire les caprices du Président Alpha Condé. Ils rappellent qu’en cette période préélectorale, la Guinée traverse une période très délicate pour tout le peuple, et surtout pour les opérateurs économiques. Ils demandent à la Cedeao d’intervenir rapidement en sommant le Président Alpha Condé de rouvrir les frontières sans délai.
A Niang fait coffrer sa belle-sœur pour diffamation
A.T. Niang et sa belle-sœur N. Bousso se regardent désormais en chiens de faïence. A. T. Niang accuse cette dernière de diffamation et d’injures publiques. Selon le plaignant, il vit dans le même domicile que la nommée N. Bousso, laquelle est la femme de son grand frère. Mais, dit-il, depuis trois ans, ils sont confrontés à des divergences. A l’en croire, le mis en cause a pris pour habitude de le provoquer par des propos diffamatoires. «Notre différend a commencé durant le mois de février 2020. Moment où mon grand frère qui est son mari s’est déchargé sur moi en ce qui concerne la gestion du loyer de notre domicile familial. Sur ce, la dame Bousso a confisqué une chambre que je lui avais prêtée et qu’elle avait transformée en cuisine. Voulant récupérer ladite chambre, elle est allée se plaindre auprès du commissariat de la Médina mais j’ai obtenu gain de cause. Ce qui l’a poussée à abandonner les locaux », explique A. T. Niang. Depuis lors, la dame Bousso le traite de dealer et profère des injures à son endroit. C’est dans ces circonstances que le beau-frère a déposé une plainte contre N. Bousso. Le témoin, M. H. Niang a conforté ses dires. D’après lui, la dame Bousso a un différend avec un individu nommé Marcos qui habite dans la maison familiale. «Bousso avait utilisé l’argent que ce dernier épargnait auprès d’elle à d’autres fins. Après leur altercation, la dame s’est permise d’insulter tous les occupants de la maison. Ne se limitant pas là, elle a invité des nervis à bord de deux véhicules, prêts à en découdre avec Marcos. Elle a ainsi proféré des menaces à l’endroit de ce dernier et des autres membres de notre famille. Par la suite, elle a traité mon jeune frère de trafiquant de chanvre indien. C’est dans ce contexte qu’on lui a suggéré de porter plainte », a-t-il indiqué. Balayant d’un revers de main ces accusations, N. Bousso a narré une autre version. Selon elle, son différend avec A. T. Niang a été réglé suite à une plainte déposée au commissariat de la Médina par ce dernier. «Depuis lors, j’évite tout contact avec lui dans la maison. Cependant, il s’est permis de porter plainte à nouveau contre moi et sans raison. Je ne l’ai jamais insulté et je ne lui ai pas adressé la parole», s’est-elle dédouanée. Malgré tout, elle a été déférée au parquet
Dakar, 28 sept (APS) – Le refus déclaré du ministre Mansour Faye de déférer à une éventuelle convocation de l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC) et d’autres sujets occupent les journaux parvenus à l’APS, lundi.
‘’Si l’OFNAC me convoque, je n’irai pas. L’OFNAC n’a pas vocation à convoquer un ministre. Cela ne fait pas partie de ses compétences. En tant que ministre je ne répondrai pas’’, a notamment déclaré la veille, le ministre du Développement communautaire, de l’Equité sociale et territoriale dans une émission diffusée sur la RFM, une radio privée basée à Dakar.
Une sortie publique largement commentée par la presse quotidienne à l’image du journal Enquête qui ne passe par quatre chemins : ‘’Mansour Faye invalide l’OFNAC’’, écrit-il à sa Une.
‘’Le ministre du Développement communautaire, de l’Equité sociale et territoriale n’entend pas répondre à une convocation de l’OFNAC, dans le cadre de la gestion du fonds de riposte contre les effets du Covid-19. Si Mansour Faye explique que l’organisme n’a pas les prérogatives de convoquer un ministre les textes régissant la structure disent le contraire’’, soutient ainsi la publication dans ses colonnes.
‘’Mansour Faye dit non à Seynabou Ndiaye Diakhaté (présidente de l’OFNAC)’’, relaie à son tour le quotidien L’Info en évoquant cette affaire partie de deux plaintes visant le maire de Saint-Louis auprès de l’OFNAC pour sa gestion de la distribution de l’aide alimentaire d’urgence financée à partir de fonds publics (Force Covid-19).
Cette affaire est prétexte pour l’Observateur d’évoquer les ‘’failles’’ décelées dans les attributs ou prérogatives de l’OFNAC.
Crée le 28 décembre 2012, l’OFNAC peine à jouer pleinement son rôle de vigie de la bonne gouvernance, alors que le chef de l’Etat l’avait vendu comme efficace organe de lutte contre la corruption, pointe ainsi le journal qui prolonge le débat en donnant la parole à des spécialistes.
‘’L’OFNAC, un simple machin’’, ironise de son côté La Tribune qui montre de façon stirique Mansour Faye ignorant les interpellations de la présidente de l’OFNAC et coordonnateur du comité de suivi du fonds Force Covid-19 tout en courant pour répondre au président de la République assis sous un arbre.
Pendant ce temps, Sud Quotidien analyse l’attribution aux gouverneurs du pouvoir de valider des délibérations d’affectation ou de réaffectation de terre portant sur au moins 50 hectares.
Le journal parle d’un décret de la controverse en se demandant si le président de la République n’avait-il pas mis la charrue avant les bœufs dans sa volonté de lutter contre la spoliation foncière en permettant aux gouverneurs d’approuver les délibérations municipales.
Des administrateurs civils marquent leur étonnement de voir les gouverneurs déjà écartés du contrôle de la légalité par la suppression des régions comme collectivités territoriales, dans l’Acte 3 de la décentralisation, approuver des délibérations dans les circonscriptions administratives où ils n’ont pas la qualité de représentant de l’Etat, explique le journal.
La question foncière préoccupe également Le Quotidien à travers une enquête consacrée au déboisement et constructions sur la Bande des Filaos ;
"La bande des filaos Guédiawaye étouffe sous la pression démographique. Le seul espace d’extension pour ce département né en 2002, aiguise ses appétits, alors que la procédure pour accéder au foncier dans cette forêt classée n’est pas toujours respectée. Avec l’avènement de la VDN 3, les mairies, avec la complicité d’agents des domaines, du cadastre et des autorités déconcentrées, multiplient les délibérations au moment où le président de la République donne plus de pouvoirs aux gouverneurs, préfets dans l’affectation des terres’’, soutient ainsi la publication.
S’intéressant également à la décentralisation, +Source A+ révèle l’existence d’un rapport sur l’évaluation de l’Acte 3 de la décentralisation sur la table du chef de l’Etat.
Le président de la République a maintenant à sa disposition un rapport portant sur l’évaluation de l’Acte 3 de la décentralisation. Le cabinet d’experts choisi pour faire ce travail a fait à Macky Sall deux recommandations de taille : la création de grandes régions et la suppression de certaines communes, croit savoir le journal.
Pour sa part, Walf Quotidien plonge déjà dans l’ambiance du grand Magal de Touba, manifestation religieuse commémorant le départ en exil de Cheikh Ahmadou Bamba, fondateur du mouridisme. Le journal publie notamment une interview du président de la commission communication et culture de l’évènement prévu le 6 octobre.
‘’Le Sénégal est classé 2e sur le plan mondial dans la gestion de la pandémie du Covid-19. On ne voudrait pas au sortir du Magal qu’il perde ne serait-ce qu’une place. Il y a une baisse de la pandémie à Touba, la région de Diourbel comptabilise en tout 7 cas actifs’’, fait valoir Abdou Lahad Mbacké dit ‘’Gaindé Fatma’’.
Le Soleil, de son côté, replonge ses lecteurs dans l’histoire en proposant un reportage sur la localité d’Orkadiéré, ancienne cité des Satigi qui porte encore la mémoire des Deenyanke.
‘’Dynastie régnante du Fuuta de 1512 à 1776, les Deenyanke avaient fait d’Orkadiéré, situé à une soixantaine de kilomètres de Matam, sur la route de Bakel, leur fief (dans le nord du pays). Deux stèles l’une sur la place publique du village, l’autre à l’arrière-village, rappellent cet épisode’’, explique par exemple le journal.